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    Ne ricanez pas derrière votre ordi ou votre iPhone, les loups-garous, ça existe réellement ! Vous savez, ces hommes, encore appelés lycanthropes, qui prennent l'apparence du loup pour dévorer leurs victimes. Témoin, l'arrêt du 18 janvier 1574 du parlement de Dole condamnant Gilles Garnier à être brûlé vif pour "avoir en forme de loup-garou dévoré plusieurs enfants et commis autres crimes"... À remarquer, le plus abominable dans cette affaire, pour les juges, c'est que ledit loup-garou ait mangé de la "viande" un Vendredi saint. Oui, un vendredi, jour du poisson ! 

     

    Ce Gilles Garnier est qualifié d'ermite, non pas en raison d'une vocation religieuse, mais parce qu'il vit retiré dans une forêt, celle de la Serre, au nord de la cité de Dole. Du reste, il vient de prendre pour femme, une certaine Apolline. Cet hiver-là, une effroyable famine règne en Franche-Comté. Rien à manger, surtout pour un ermite ne possédant ni terre ni bétail. Et aucun Resto du coeur à cent kilomètres à la ronde. Le pauvre hère bat la campagne jour et nuit à la recherche de quelque chose à se mettre sous la dent et sous celle de son épouse. Les paysans le voient passer, la mine maladive, courbée en avant. 

    Ultérieurement, le doyen de l'église de Sens, commentant le procès, écrira : "Il prit l'habitude ainsi qu'il arrive souvent à des êtres rudes, méfiants et désespérés, de parcourir les bois et les lieux sauvages. C'est là qu'il fit un jour la rencontre d'un fantôme à forme humaine qui lui dit pouvoir faire des miracles. Il prétendit qu'il pouvait lui enseigner l'art de se métamorphoser à son gré en loup, en lion, en léopard, et le loup étant l'animal le plus commun dans ces contrées, Garnier choisit le loup."

     

    Chair humaine

    C'est à l'automne 1573 que le loup-garou Gilles prend son premier repas de chair humaine. Dans la vigne de Chastenoy, près du bois de la Serre, il rencontre une petite fille de 10 à 12 ans, seule. Il a tellement faim et elle semble tellement appétissante... Il l'attrape, l'étrangle, la dépouille de ses maigres hardes et, oubliant toutes les bonnes manières enseignées par Nadine de Rothschild, il arrache des lambeaux de chair aux bras et aux cuisses pour s'en repaître goulûment. Une fois rassasié, il n'oublie pas de confectionner un doggy bag pour nourrir sa compagne. A-t-il pris, à ce moment-là, l'apparence du loup ? Aucun témoin n'est là pour l'affirmer, mais son comportement relève de la bête féroce et affamée. 

    "Piques, hallebardes, arquebuses et bâtons"

    À la Toussaint, l'ermite remet le couvert avec encore une petite fille se promenant près de la Ruppe, sur le territoire d'Authume. Il n'est pas encore midi. Il la course en hurlant comme un loup, l'attrape. Elle se débat, elle appelle au secours. Garnier est méconnaissable, un rictus le défigure. Sans attendre, il mord à pleines dents dans la chair fraîche encore palpitante. Entendant les hurlements, trois paysans se précipitent. Ils aperçoivent - diront-ils plus tard - une créature monstrueuse en train de déchiqueter l'enfant. Celle-ci s'enfuit, laissant sa proie qui saigne par cinq blessures. La fillette mourra quelques jours plus tard. Certains paysans prétendent avoir vu un loup, d'autres pensent avoir reconnu l'ermite.

    Le parlement de Dole publie un arrêt autorisant la chasse audit loup-garou au moyen de "piques, hallebardes, arquebuses et bâtons", quitte à le tuer "sans encourir la moindre peine ou sanction". Cela n'empêche pas Garnier de rapidement récidiver. Cette fois, il s'attaque à un garçonnet de 10 ans, encore une fois dans une vigne, entre Gredisans et Menotey. Il l'étrangle, avant d'apaiser sa faim en lui arrachant des morceaux de chair des cuisses, jambes et du ventre. Il détache une jambe pour l'apporter à son domicile, pensant à sa petite femme. 

    Aveux

    Pendant ce temps, les parents signalent la disparition de leur enfant. L'ermite loup-garou continue sa virée sanglante et s'empare, quelque temps plus tard, d'un garçon de 12 à 13 ans, assis sous un poirier près du village de Férouse. Il lui saute dessus, l'immobilise et le traîne dans un bois pour l'étrangler à l'aise. Il n'a pas le temps de se mettre à table que des passants, qui avaient vu la scène de loin, surgissent et s'emparent de Garnier. Horreur, il a voulu manger de la viande un Vendredi saint !

    Le procès est vite expédié. L'ermite reconnaît tout. Le 18 janvier 1574, la cour du parlement de Dole émet un arrêt condamnant Garnier "à être aujourd'hui conduit et traîné à l'envers sur une claie par le maître exécuteur de la haute justice depuis ladite conciergerie jusqu'au tertre de ce lieu : et là par ledit exécuteur être brûlé tout vif, et son corps réduit en cendres, le condamnant en outre aux dépens et frais de justice". C'est ainsi que périt le loup-garou de Franche-Comté, victime de sa boulimie.

     

    source le point  ET 


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  • cette photo à été prise sans flasch vers 2 heures du matin la veille de l'ouverture de la boutique d'une amie qui fait des produits naturels et merveilleux en   cosmetiques ,la boutique de Daena  à la roche sur foron  venez en parler avec elle .

     


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  • cette photo a été prise aujourd'hui au dessus du lac à gumefens pendant un violent orage rien de visible au moment de la photo à part un rideau de grêle et de pluie mélangé , 7 objets volants et lumineux sont pourtant sur la photo il y à quelques mois j'avais photographié un visage d'alien sur ce même lac 

     

     

     

     

     


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    les fées, les ondins et ondines sont dans nos flux d'eau il suffit de regarder et vous les verrez .

     

     

    l'eau à une mémoire mais elle abrite aussi des êtres fantastiques

     

    voici une photo que j'ai prise sur le site d'une villa gallo( gal eau romaine ) romaine on y voit clairement le visage d'un apollon ( d'un ap'eau long )

     

    en comparaison avec une mosaique l'effet est troublant 

     

     

    en allant plus loin au lieux dit le trou des fées j'ai pu en photographier quelques unes

     

    ces reflets du soleil sur l'eau n'a t'il pas son effet ? et que dire de la suivante sur le lieux dit de la grotte de la vierge 

     

    et pour finir elle grave dans la pierre ce que l'homme a du mal à voir au lieux dit des duides de la lune j'ai trouvé ce petit menhir 

     

    oui l'eau en dit long sur son histoire et ses habitants du présent et du passé 


    3 commentaires
  • A-satan-D

    Cela commence il y a fort longtemps, puisque nous sommes sans doute au IXe siècle. Où ? L’histoire ne le dit pas, mais probablement dans quelque pays enveloppé dans les brumes du nord ou de l’est. Allemagne ? Angleterre ? Hongrie peut-être, ou Pologne. En tout cas, il s’agit d’un pays qui croit aux sorcières, et qui les pourchasse avec férocité.


     

    Une sorcière… Comment se nommait-elle ? On l’ignore aussi. Ahriman, peut-être… Elle a été confondue, jugée, condamnée, brûlée. Brûlée en partie seulement, car quelqu’un – un autre sorcier ? – s’est approché après le supplice du bûcher auquel les restes de la sorcière, noircis par les flammes, pendaient encore.

    Cette personne décroche le corps de la femme martyrisée et emporte le cadavre, dont le visage calciné montre encore une expression terrifiante de haine et de douleur. Il l’emmène chez lui. Que veut-il en faire ? On n’ose y songer…

    Des années plus tard apparaît sur le marché un livre d’aspect sinistre, noirci comme par les flammes d’un bûcher. Quand on l’ouvre, on lit sur les premières pages parcheminées : Grimoire d’Ahriman. Les caractères sont gothiques et le texte est tout entier consacré à des recettes de magie noire. Certains disent que le livre, feuillets et couverture, est entièrement fait de peau humaine : la peau de la sorcière suppliciée. Pour l’instant, nous sommes encore au tout début du IXe siècle, car c’est le couronnement de Charlemagne, à Aix-la-Chapelle. Un magistrat de la ville, dit la légende, offre le volume inquiétant au nouvel empereur. Ses intentions sont-elles amicales, ou hostiles ? Quand on connaît la suite de l’histoire, on ne se pose plus la question.

    On raconte que ce grimoire, cadeau précieux, fut exposé plus tard dans une vitrine fermée. Mais, un matin, on eut la surprise de retrouver le grimoire sur le sol. La vitrine était brisée. Quelqu’un commente :

    « On dirait que ce livre maudit a cherché à s’échapper, qu’il a cassé la vitrine de l’intérieur. De toute manière, la salle est hermétiquement close, et absolument personne ne peut y pénétrer pendant la nuit. »

    On juge plus prudent d’enfermer l’ouvrage noirci dans une armoire de fer. Quelques jours plus tard, celle-ci est découverte, forcée par une main inconnue : quelqu’un s’est emparé du Grimoire d’Ahriman, et uniquement de cet ouvrage. On perd ensuite la trace du livre pendant de longues années.

    Il réapparaît, un peu plus noirci encore, quand, des siècles plus tard, la maison d’un brocanteur brûle de fond en comble. Déjà, on peut se demander d’où il tenait le dangereux écrit. Et si les propriétaires successifs avaient ou non souffert de le détenir… Peut-être connaissaient-ils le mode d’emploi ? Peut-être étaient-ils, eux aussi, sorciers et nécromants, héritiers de la sorcière ?

    Nous arrivons en 1566, et c’est chez un diamantaire juif d’Amsterdam qu’on retrouve le manuscrit. Cet homme, selon la rumeur publique, possède le grimoire. Et le diamantaire, qui est du genre bavard, raconte une étrange histoire : « J’ai voulu nettoyer mon grimoire. La reliure était toute maculée de fumée. Mais à peine avais-je commencé à le frotter que le livre s’est échappé de mes mains et qu’il a littéralement plongé dans une cuve d’eau qui était devant moi. Cette eau, qui l’instant d’avant était toute fraîche, s’est mise à bouillonner… Incroyable ! ». En tout cas, le diamantaire bavard a sans doute ravivé la malédiction en parlant à tort et à travers car, un peu plus tard, un malfaiteur s’introduit chez lui, le frappe et le laisse à moitié mort. Quand il reprend ses esprits, il s’aperçoit qu’on lui a dérobé… le grimoire.

    Pendant deux siècles, le dangereux ouvrage demeure dans un oubli de bon aloi. Jusqu’au jour où, à Prague, ville de sorciers et de nécromants s’il en est, deux frères héritent du grimoire. On le sait, car ils s’en disputent la propriété et leur querelle devient publique. Ils se disputent à tel point qu’ils n’hésitent pas – nous sommes au XVIIIe siècle – à se défier en duel. Et l’un des deux frères tue l’autre. Le vainqueur emporte le manuscrit chez lui, dans la célèbre rue des Alchimistes. Le lendemain, les habitants de la rue font la chaîne et dressent des échelles pour essayer de maîtriser l’incendie qui ravage sa maison. On craint que le sinistre ne se propage à tout le quartier.

    En tout cas, le grimoire maléfique ne disparaît pas tout à fait puisqu’on en retrouve la trace au début du XXe siècle. Dans un endroit bien différent, puisqu’il s’agit rien moins que des registres de la célèbre compagnie d’assurances Lloyds.

    Un passager célèbre a éprouvé le besoin de faire assurer ses bagages avant un voyage transatlantique. Comme il est milliardaire, on peut comprendre qu’il ait des objets de valeur, des bijoux. Mais il fait assurer tout particulièrement le Grimoire d’Ahriman, qui est parvenu jusqu’à lui. Par quel truchement ? On l’ignore.
    Le milliardaire se nomme John J. Astor, et le bateau qu’il emprunte pour traverser l’Atlantique n’est autre que le Titanic, que l’on disait insubmersible…

    L’orgueilleux paquebot, heurté par un iceberg, disparaît dans les flots glacés avec 1513 passagers, Astor et son grimoire qui depuis, Dieu merci, ne s’est plus manifesté.

    source http://actusphere.fr/le-grimoire-maudit-de-ahriman/

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