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CONFERENCE DE MOSHE IDEL
- LA CABALE -
MARDI 6 FEVRIER 1996
MARDI 16 CHEVAT 5756 DE LA CREATION DU MONDE
La Bible parle des sujets historiques et rituels. La Bible propose une réponse à la question : quoi? Qu'est-ce que l'histoire juive et le rituel juif?
La littérature rabbinique pose la question : comment? Comment agir rituelement, comment le récit biblique doit être interprêter, comment comprendre la Bible.
La Cabale pose la question : pourquoi? La Cabale est un grand effort pour répondre aux mystères posés par le sens de l'histoire juive et du rituel juif.
Quel est l'intérêt de base de la Cabale, comment aborde-t-elle la question du pourquoi?
La Cabale donne à un Juif traditionnel une technique mystique, une Loi, une méthode pour arriver à un contact direct avec Dieu. Le rituel Juif est une méthode pour achever un contact direct. L'idée est que dans le Judaïsme, il y a une voie vers le divin, cette voie c'est la Cabale.
Ouvrir une voie directe à Dieu dans le cadre du Judaïsme.
Autre intérêt dans la Cabale, c'est la vision scientifique de l'Univers et du divin. Le Judaïsme est non seulement une religion, un rituel particulariste, mais également un cadre général, une vision générale de l'Univers par la Cabale, qui rejoint les traditions hermétiques, pythagoriciennes, occultes.
Il y a corrélation entre rituels et histoire, vision scientifique et structure de l'Univers.
Visions quelque fois très bizarres de l'Univers, dynamique symphonique entre l'Univers et l'homme, qui peut expliquer le sens du rituel et de l'histoire. Le cabaliste peut influencer le processus de l'Univers, l'Univers n'est pas statique.
1°) Technique
2°) Scientifique
3°) Herméneutique
Dans la Cabale il y a une activité herméneutique. L'approche herméneutique est une technique de base, elle coordonne la vision scientifique et la Bible. La Cabale a développée et articulée les méthodes herméneutiques les plus détaillées qu'il soit.
Le dernier intérêt cabalistique est de maintenir que non seulement herméneutique mais tradition norale, chacun doit recevoir une tradition. Un Cabaliste est quelqu'un qui a un contact avec Dieu en direct, dans un cadre structuré. Il croit que la Cabale est une tradition orale très ancienne. Pour un cabaliste, la Cabale appartient à la révélation sinaïtique. Du point de vue d'un cabaliste traditionnel, la notion de base se trouve dans la révélation sinaïtique. Du point de vue académique, la Cabale est connue en Provence à la fin du XIIe siècle, comme courant mineur. Ai XIIIes. la Cabale s'étend en Catalogne.
Le Zohar appartient à cette époque, c'est un corpus littéraire qui est produit.
A la fin du XVe s., après l'expulsion d'Espagne, la Cabale appartient au patrimoine de toutes les communautés Juives. La Cabale est alors connue de presque tout le Peuple Juif. A la fin du XVe s., en Italie à Florence, les premiers cabalistes chrétiens, comme Pic de la Mirandole ou Yohann Reuchlin apparaissent. A partir du XVIe s. des textes cabalistes sont traduits à Paris.
A Safed, village de Galilée (Eretz-Israël), un groupe de cabalistes produit des chefs d'oeuvre cabalistiques, transmis à la diaspora. Au XVIIe s. la Cabale a produit le mouvement messianique de Shabbataï Shevi, au XVIIIe s. elle produit la Hassidisme, qui constitue une vision très mystique du Judaïsme.
De nos jours, il existe des milliers de manuscrits cabalistiques inédits dans les bibliothèques de Paris, Londres, New-York, Buenos-Aires, Melbourne....
Cabale et Temple de Salomon
La Cabale est comme une substitution du Temple salomonien. A Gérone en Catalogne, des textes disent que la Cabale est une forme substitutée du temple salomonien. La Cabale est l'alternative du Temple, elle peut se substituer au rôle joué par le Temple.
Ce type de vision de la Cabale est la centralité du Temple. Tout le rituel Juif consiste à attirer l'influence divine et angélique sur la Terre.
En Italie, la cabale à une vision magique notamment chez Marcel Ficin et Pic de la Mirandole. Le rituel a pour objet d'attirer le pouvoir divin sur le cabaliste, cet effort d'attirer le divin, peut-être interprété de manière mystique.
Ce type de mystique, qui consiste en attirer le pouvoir divin, pouvoir extraordinaire, le cabaliste peut devenir un magicien, la mystique et la magie sont complémentaires.
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C'est une attitude templaire, le corps humain est le canal de l'influence divine. A la renaissance ce type de vision est importante, dans la dernière phase de l'histoire de la Cabale, ce type de vision templaire de l'être humain est devenu le nucleus de la Cabale.
Pour la première fois ce type d'attitude templaire, le hassidisme est organisé autour, pour ces mystiques, le corps humain est le lieu de la manifestation de l'énergie divine. C'est l'idée du Temple qui peut distribuer l'énergie. Nous pouvons comparer l'attitude du Franc-Maçon et du Cabaliste, appartenant à des communautés très structurées. Le corps-temple se trouve également dans la Cabale Chrétienne, cette idée véhiculée dans la cabale chrétienne a contribuée au développement de l'Occulte en Europe, ainsi qu'au développement de la Franc-Maçonnerie.
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REDECOUVERTE DE L’ARCHE PAR LES TEMPLIERS
L’Ancien Testament précise que l’Arche d’Alliance reposait dans le « Saint des Saints » du Temple de Salomon, où seul le Grand Prêtre avait le droit de pénétrer une fois l’an.
Le roi Salomon qui a fait construire le premier Temple qui portait son nom, déclare que l’Arche résidait dans l’obscurité (ROIS 8.(12,13)).Plus tard, elle était devenue « silencieuse », et chose « incroyable », il semblerait que les Hébreux l’aient oubliée... puisqu’il est fait état de sa redécouverte (NdA), au temps* du jeune roi Josias !
« ... J’ai trouvé le Livre de la Loi dans la maison de l’Eternel... »
ROIS 22.(8)En 587 avant J.C., peu avant la prise de Jérusalem par le roi Nabuchodonosor, l’Arche fut cachée,et si bien, qu’après l’exil à Babylone qui dura 51 ans, (Le roi Perse Cyrus le Grand libéra les Juifs et les autorisa à rentrer s’établir chez eux en -536), le Secret avait été perdu. Aucun texte religieux Juif, connu, n’en fait plus mention depuis...
Il est écrit que le prophète Jérémie l’aurait fait cacher (-629) dans une caverne située sous le mont Nebo**, puis aurait fait supprimer tous les témoins. (II MACCABEES, II, 4 à 7)
Une autre version qui circulait à Jérusalem au XIIème siècle, rapportée dans « La vision de Baruch », soutient au contraire que « Les Hébreux l’aurait cachée précipitamment dans une caverne sous le Temple de Salomon » avant que celui-ci ne soit détruit.
Ne s’agissant pas de la même époque, une version n’en exclut pas une autre...LA QUESTE DES TEMPLIERS
Le comte Hugues de CHAMPAGNE, né en 1077, qui n’avait pas participé à la première croisade, s’était rendu en Terre Sainte vers l’année 1104, pour en revenir en 1108.
Selon Louis CHARPENTIER, il prit contact à son retour, avec l’abbé de CITEAUX, et le monastère se mit à l’étude des textes sacrés hébraïques ; il se fit même aider par des rabbins de Haute BOURGOGNE, alors même que partout ailleurs, on les persécutait...
En 1114, Hugues de CHAMPAGNE retourna un an en Terre Sainte, et à son retour offrit le val de l’abscinthe, où Bernard de FONTAINE fonda l’Abbaye de CLAIRVAUX.En 1118, Bernard de « CLAIRVAUX » recruta en CHAMPAGNE, neuf parmi les meilleurs Chevaliers , pour leur foi, leur bravoure et leur chasteté ; parmi ces neuf Chevaliers dont les noms sont connus aujourd’hui, figurent Hugues de PAYNS (qui avait déjà accompagné Hugues de CHAMPAGNE en pèlerinage), futur Grand Maître de l’Ordre du Temple, ainsi que le propre oncle de Bernard de CLAIRVAUX, André de MONTBARD, en qui il avait toute confiance.
Les neuf Chevaliers sont partis pour JERUSALEM où ils retrouvèrent successivement les Rois BAUDOIN (1er puis 2ème), avec un message de Bernard de CLAIRVAUX.
Les autres chevaliers étaient : GONDEMARE, Godefroy de SAINT-OMER, RORAL (ou ROSSAL), Payen de MONTDESIR, Geoffroy BISOL, Archambaud de SAINT-AGNAN (ou de SAINT-ANIAN), et Godefroy.* Avant la prise de Jérusalem. ** Nebo fut le nom d’ordre de Stanislas de Guaïta.
DECOUVERTE DE L’ARCHE
La première croisade avait vu Godefroy de BOUILLON élu ROI (en 1099) par un collège secret ; mais il avait refusé de porter la couronne, prétendant n’être que l’avoué du CHRIST, (plus digne que lui d’être le Roi de JERUSALEM).
Son frère, BAUDOIN 1er, qui lui succéda, portera la couronne royale, puis logea à leur expresse demande les neuf Chevaliers dans les anciennes écuries du Temple de SALOMON, situées EXACTEMENT sous l’ancien Temple ; c’est pour cela qu’on appela les premiers Templiers :
« Pauvres chevaliers du Christ et du Temple de Salomon ».Les neuf Chevaliers sont partis officiellement pour protéger la route des pélerins, mais on ne les verra pas, (et ils sont si peu nombreux) accomplir cette mission.
Pendant les neuf ans de leur présence, ils restèrent extrêmement discrets, et s’attelèrent à la tâche gigantesque de pratiquer des fouilles dans l’enceinte des anciennes écuries qui pouvaient contenir plus de 2000 chevaux.
A la fin de 1126, ils furent rejoints par le Comte de CHAMPAGNE, qui avait abandonné définitivement pour sa mission, sa famille, ses titres et tout ce qu’il possèdait (alors qu’il était aussi puissant que le Roi de France).En 1127, les dix chevaliers sont repartis au complet et définitivement, ce qui prouve que leur recherche a abouti. Ils ont discrètement ramené et escorté l’Arche, remise à Bernard de Clairvaux après une courte visite chez le Pape, à Rome. (Demande d’aide de Baudoin II).
L’Arche rejoignit le St Sépulcre dans la « Forêt d’Orient », en Champagne ; cette forêt qui était un vaste labyrinthe truffé de souterrains et constellé de marais, représentait une citadelle inexpugnable de l’Ordre du Temple, et le plus adéquat des endroits pour dissimuler un Secret...
C’est ce que rapporte dans les « Préliminaires » à la création de l’Ordre du Temple, rédigés par Bernard de Clairvaux, une phrase à double sens dont il avait le secret...
« Bien a œuvré DAMEDIEU avec nous et notre Seigneur JESUS-CHRIST ; lequel a mandé ses amis de la Sainte Cité de JERUSALEM, en la Marche* de France et de Bourgogne... ».
Qui doit se lire :
Bien a œuvré DAME-DIEU ; avec nous EST notre Seigneur JESUS-CHRIST ; lequel a mandé ses amis de la Sainte Cité de JERUSALEM, en la Marche* de France et de Bourgogne...* C’est à dire en forêt d’Orient.
http://www.rennes-le-chateau-la-revelation.com/dossier7.htm
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Les bâtisseurs de Dieu
Opération de «magie collective» pour la reconquête des lieux saints, les croisades ont favorisé l’essor des cathédrales gothiques dans tout l’Occident. Fondé sous l’impulsion de saint Bernard de Clairvaux, l’ordre des Templiers a versé son sang sur les champs de bataille des croisades et protégé les bâtisseurs de cathédrales, auxquels il a confié de nouveaux savoirs.
exemple du savoir-faire des artisans de l’art gothique: la rosace de la cathédrale de Chartres (S. Abramovicz)
Pourquoi, comment, s’est-il trouvé, tout à coup dans l’Occident chrétien, des «dompteurs» de pierre comme on n’en avait jamais vu depuis les pyramides? D’où tenaient-ils leur savoir d’initiés? Combien de générations de maçons et de tailleurs de pierre faudrait-il, aujourd’hui, pour produire des maîtres capables de réaliser l’équivalent des cathédrales de Chartres ou d’Amiens?
On objectera que ce phénomène, unique dans l’histoire de l’architecture, est aussi une question de «mode». Le propre de l’architecture n’est-il pas de s’adapter à l’esprit de son temps? En témoigne l’œuvre du dernier bâtisseur de cathédrales, le Tessinois Mario Botta, concepteur de celle de la Résurrection à Evry, près de Paris (1995). Pour lui, l’architecture moderne ne s’applique pas qu’aux supermarchés, mais aussi aux églises, aux mosquées et synagogues…Mystérieux bâtisseurs
Des bâtisseurs de jadis ont laissé leurs signatures, sur des poutres ou des pierres. On connaît des noms d’architectes et de maîtres d’œuvre, pour Amiens, mais pas pour Chartres… Le fait est que l’on sait peu de choses sur l’origine de ces constructeurs, sur le savoir-faire dont ils ont été les dépositaires.
Ils étaient réunis en confréries, fraternités. Ou compagnonnages, un mot qui vient de «compas», leur outil de prédilection, et signifie aussi «qui partage le même pain».
Les confréries les plus connues avaient pour nom les Enfants du père Soubise, les Enfants de Maître Jacques ou les Enfants de Salomon. Elles ont aujourd’hui pour héritiers les Compagnons des devoirs du Tour de France. Certains d’entre eux ont gardé une tradition initiatique et morale de savoir-faire et de «chevalerie de métier» en refusant, par exemple, de construire des forteresses et des prisons, leur œuvre étant dévolue aux hommes libres. La cathédrale, dans cette éthique, apparaît paradoxalement comme un édifice laïc, au sens originel du terme, car construit pour l’âme du peuple et non pour la gloire des seigneurs.
De saint Louis, ardent croisé, les bâtisseurs de cathédrales obtinrent des franchises royales qui en firent des «maçons francs». C’est dire la reconnaissance et l’estime dont ils jouissaient. Ces privilèges, le roi Philippe le Bel, dans son acharnement pour anéantir les Templiers, les supprima sèchement…Sous protection templière
En effet, les bâtisseurs de cathédrales furent pourchassés lors du procès des chevaliers du Temple, leurs protecteurs. Si bien que beaucoup disparurent, signe de leur inclusion dans l’ordre, d’autres entrant dans la clandestinité.
La cathédrale de Chartres a dû être construite par les Enfants de Salomon, qui édifièrent la majorité des autres grands sanctuaires gothiques, comme Amiens et Reims. Les bâtisseurs étaient très liés aux Templiers, qui les avaient instruits et pris sous leur protection. Et on peut remonter plus loin. Car ces constructeurs puisent leurs origines dans les écoles initiatiques de l’ancienne Egypte.
L’art gothique, en tout cas, prospère en même temps que l’ordre du Temple. Et il déclinera avec lui, de même que l’art du vitrail, tel que splendidement pratiqué à Chartres, lorsque l’ordre sera brisé, au terme d’un des procès les plus scandaleux de l’histoire.Mythes et Templiers
La Chevalerie des pauvres chevaliers du Christ du temple de Salomon occupe une partie importante de la mythographie médiévale. Nés d’un temple à Jérusalem et morts sur les bûchers parisiens, condamnés par un pouvoir royal en pleine création, contre leur propre pouvoir et celui du pape, les Templiers ont rempli l’imaginaire des siècles suivants. Pauvres chevaliers maniant des fortunes, ils ont nourri la littérature historique et ésotérique. Ainsi, plusieurs auteurs, dont Louis Charpentier (Mystères de la cathédrale de Chartres et des Mystères templiers) ou Patrick Rivière sont convaincus que les Templiers, qui ont versé leur sang sur les champs de bataille des croisades, étaient les «dépositaires des Arcanes majeurs de la tradition primordiale», connaissances qui leur ont permis d’instruire les bâtisseurs.
Ainsi, les premiers Templiers auraient occulté leur mission officielle de défenseurs des routes pèlerines pour se livrer à d’intenses fouilles (neuf ans!) dans le temple de Salomon à Jérusalem et y auraient trouvé l’Arche d’alliance, réceptacle des Tables de la Loi. Des objets non pas «magiques», mais porteurs de lois mathématiques régissant l’univers. La clé, en quelque sorte, du progrès humain. Ramenés secrètement en France pour être mis en lieu sûr, ces objets auraient été contemplés par quelques initiés, dont saint Bernard de Clairvaux, le phare spirituel de l’Occident. Mais il n’existe aucune preuve de cela… Une absence qui participe au mystère des Templiers.Bases d’une civilisation
C’est au retour de ces neufs Templiers, tous connus, qu’a été promulguée, en 1128, la règle de l’ordre du Temple lors du Concile de Troyes, convoqué sous l’impulsion du même saint Bernard. Dès lors, l’ordre se développe d’une façon extraordinaire. Il organise un solide système d’économie publique, protège cultures et récoltes, sécurise routes et transport, crée la lettre de change. Les Templiers se muent en trésoriers.
Ce sont eux qui payeront l’énorme rançon pour libérer saint Louis, fait prisonnier en 1250 en Egypte. Eux, encore, qui financent les chantiers des cathédrales et qui prêtent des sommes faramineuses à Philippe le Bel, qui prend peu à peu ombrage de la puissance grandissante de cet état dans l’Etat. Accusés d’hérésie, les Templiers, dont leur grand maître Jacques de Molay, périssent sur le bûcher en 1314.Dans la foulée de Cluny
Richissime, l’ordre du Temple avait réussi à poser les fondements d’une nouvelle civilisation. Les cathédrales, dans la mystique de saint Benoît puis de saint Bernard, en étaient la dimension spirituelle, l’aboutissement du long labeur élaboré à l’abbaye de Cluny, où ont été établies les fondations de la civilisation chrétienne occidentale. Plus de 1300 monastères se rangeront en effet sous la règle clunisienne. Et c’est de Cluny, aussi, qu’est issu le pape Urbain II, qui prêchera la première Croisade.
Parfaitement organisés, les Templiers avaient assuré le nécessaire vital, le blé, l’outil, l’argent. Avec les cathédrales, ils ont donné au peuple la clé de l’éveil spirituel qui lui manquait. Pour agir sur la pierre, il fallait des constructeurs initiés à certaines lois, à l’instar des constructeurs de dolmens sacrés et des pyramides d’Egypte.
C’est si vrai que, sept siècles plus tard, lorsque des compagnons travaillèrent sous les ordres de l’architecte et restaurateur de cathédrales Viollet-le-Duc (1814-1879), ils s’effarèrent, raconte Louis Charpentier, «de ce que le moindre choc sur certaines pierres provoquait des ondes sonores comme on en obtient sur des ressorts tendus ou sur des cordes d’instruments de musique».
Le Temple anéanti, la civilisation idéalisée se transforme. On ira jusqu’à dénigrer le gothique et s’enticher d’art classique antique. Restent les pierres et leur mémoire. Aux XVe et XVIe siècles, le gothique, sur le déclin, devient flamboyant. Des «flammes» architecturales hautement symboliques: on donne dans la surenchère de dentelles de pierres, on répète obsessionnellement courbes et contre-courbes, on démultiplie les nervures dans les voûtes. On assiste à un tumulte plastique qui ne traduit plus la mission fonctionnelle et mystique de l’art gothique, mais la douloureuse inquiétude spirituelle des temps.
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Le Livre Jaune, à lire absolument pour comprendre la raisons de toutes ces guerres!
déc 31, 2008Auteur: Kiffe Grave | Sous: Fun & Co, Inclassables, LecturesJe me suis toujours demandé pourquoi la race humaine n’arrêter pas de s’entre-tuer! Pourquoi depuis des millénaires nous agissons de la sorte! Et puis j’ai trouvé ce livre: Le Livre Jaune dont voici la préface.
Je vous invite à la lire. Pas à croire tout ce qui est écrit mais juste à lire une interprétation nouvelle du monde dans lequel nous vivons. C’est assez instructif!
« Essayez d’imaginer un instant que vous êtes un extra-terrestre. Vous venez de parcourir des années-lumière avec votre vaisseau spatial et vous vous dirigez vers la planète Terre. Votre mission est d’explorer cette planète, de prendre contact avec ses habitants pour échanger savoir et informations à tous niveaux. Si tout se passe pour le mieux, si vous arrivez à la conviction que ses habitants sont honnêtes et prêts à tout pour la paix, la Terre pourrait alors être admise à la Fédération intergalactique. C’est en tout esprit d’ouverture que des contacts pourraient alors avoir lieu avec les habitants d’autres planètes, La conscience terrestre progresserait nettement, cet avancement toucherait aussi les domaines de la technologie et de la santé. Vous voilà propulsé dans l’orbite terrestre, allumez donc votre moniteur et branchez-vous au hasard sur les ondes. Vous captez aussitôt un poste émetteur d’informations qui transmet ce qui se passe sur Terre. Mais alors vous réalisez que vous vous trouvez sur une planète guerrière où les habitants se battent non contre une planète ennemie mais bien entre eux depuis des millénaires, ce que vous étiez à mille lieues d’imaginer !
Première constatation : aucun concept ne peut justifier ces guerres puisque les uns se battent au nom de leur foi, d’autres pour la couleur de leur peau. Certains ne sont pas satisfaits de la superficie de leur pays, d’autres combattent pour pouvoir survivre puisqu’ils n’ont rien à manger. Certains n’ont de cesse de penser à l’argent mais pour la plupart chacun ne pense qu’à soi. Vous vous rendez donc compte que cette planète n’est pas du tout mûre pour recevoir les informations et la technologie que vous avez a lui offrir, Quel que soit le pays où vous atterrissiez, il est sûr et certain que vos cadeaux ne serviraient pas le bien de tous les habitants de la Terre mais seulement les intérêts égoïstes des dirigeants de chaque pays. Il est possible que vous songiez alors à votre planète natale au temps où elle était, elle aussi, en guerre. C’est sûr, c’était il y a des millénaires et ce scénario, vous ne désirez pas du tout le revivre pour devoir constater qu’en plus, on a lancé des « missiles » sur votre vaisseau spatial. Votre décision est alors prise : vous préférez rendre visite à une autre planète. Vous aussi, vous êtes-vous déjà posés cette question : « Pourquoi les hommes se font-ils sans arrêt la guerre » ? Le savant suisse Jean-Jacques Babel a constaté que depuis les 56 derniers siècles, l’humanité a mené 14.500 guerres qui ont provoqué trois milliards et demi de morts. Cela représente la moitié de la population mondiale d’aujourd’hui. Pour la seule année 1991 on a par exemple enregistré 52 guerres ou foyers de crise sur notre Terre. Cela signifie qu’après d’innombrables conflits sur cette planète dont deux guerres mondiales en un siècle, cette année-là a vue 104 idologies s’opposer dont la requète était manifestement assez importante pour justifier à nouveau le massacre de plusieurs millions d’hommes. Quel but sous-tend donc la guerre entre les hommes ? Le sujet de la guerre est depuis des siècles le casse-tête des organisations de la paix mais aussi des philosophes. Ils en sont venus à la conclusion que presque toutes les créatures de la Terre s’affrontent régulièrement par manque de nourriture et de territoire, On ne peut tout de même pas imputer à l’homme l’agressivité des animaux entre eux, carcelui-ci possède, en plus, au moins une intelligence, une conscience et une étique. Que l’on pense à la différence qui existe entre deux bêtes de proie qui se battent pour un butin, et des multinationales d’armement qui ne vivent que de la vente d’armes et donc que de crises permanentes. Que le « combat pour la vie » puisse servir de distraction, nous le savons dupuis l’antique Rome où, sous la devise « panem et circences », (« Le pain et les jeux dstraient le peuple »), des gladiateurs combatteient entre eux, ce qui faisait la joie de la plèbe et l’empêchait de s’appesantir sur sa propre impuissance. C’est le même principe qui sous-tend, aujourd’hui, la télévision, la vidéo et les grands matchs de football : on donne au citoyen superficiel la possibilité d’échapper au néant et au poids pessant de son existence. De quoi nous détournent donc les médias ? C’est à nous demander de quoi nous prendrions conscience si nous n’étions constamment distraits de nous-mêmes. Il n’est pas nouveau qu’un « tiers » tire avantage de la guerre que se font deux autres pays. Il
est bien connu que « lorsque deux personnes se disputent, la la troisième s’en réjouit ». Transposons ce dicton à un pays ou à notre planète entière, et nous en verrons le bien-fondé. Les systèmes bancaires, par exemple, qui accordent un prêt à un pays belligérant ont tout intérêt à ce que la guerre ne prenne pas fin trop vite. C’est par des guerres et des troubles qu’on peut pousser un peuple à accepter et même à souhaiter que naissent des institutions auxquelles il n’aurait jamais spontanément consenti (par ex. l’OTAN, l’ONU). Cependant, pour ceux qui ne s’y intéressent pas spécialement (excluons les morts), il n’y a, à vrai dire, pas de relation entre les guerres des derniers siècles. Serait-il possible qu’il n’y ait pas que l’industrie de l’armement qui tire profil des guerres ? Qu’est-ce qui pousse donc les hommes à se haïr indéfiniment jusqu’à tuer leurs propres CONGÉNÈRES ? Qu’est-ce qui est assez important pour nous pousser à exterminer une vie ? N’avons-nous donc rien appris de ces centaines de millions d’hommes morts à la guerre et de la souffrance qui en a résulté ? Prenons l’exemple de l’ex-Yougoslavie où depuis des décennies plusieurs peuples vivaient en paix et où ceux-ci viennent de s’égorger. Qu’est-ce qui pousse ces hommes à considérer soudainement comme leurs pires ennemis leurs frères qui vivaient dans le même village, parlaient la même langue, qui portaient les mêmes vêtements, qui partageaient les mêmes amours, les mêmes joies, les pleurs et les rires ? Qu’est-ce qui fait qu’ils égorgent leurs enfants, violent leurs femmes et leurs mères, envoyant leurs maris en camp de concentration ? Cela n’évoque-t-il rien pour nous ? Est-ce que ce sont vraiment des motifs idéologiques propres à certains groupements qui ont causé cette guerre ou bien faut-il trouver QUI se tient en coulisse ? Qui pourrait assumer le rôle du tiers ? D’où vient donc cette idée préconçue de l’adversaire, inculquée à l’homme par les religions, les livres scolaires et les mass media ? Quels buts ont ces êtres qui sont à la base de cette idée et nous la suggèrent constamment ? A qui pourrait profiter la haine croissante et la dégénérescence de l’huinanité ? Peut-être à Satan, Lucifer, Arimane, Baphomet ou à d’autres, à des entités « insaisissables » à qui on ferait volontiers porter la faute ? Dans ce livre nous raconterons l’histoire de quelques personnages bien tangibles qui, en 1773, établirent un projet à Francfort dans une maison de la « Judenstrasse » (rue Juive). Ils voulaient préparer la voie pour leur « Gouvernement mondial unique » jusqu’en l’an 2000 au moyen de trois guerres mondiales. Un projet parfaitement élaboré, basé sur les faiblesses et les peurs des hommes et qui finirait par se retourner contre eux. Le but d’un gouvernement mondial n’a en soi rien de nouveau puisque le Vatican tient toujours à faire de notre monde un monde catholique. Pour cette raison, il a fait torturer et massacrer des millions d’hommes, comme nous le prouve l’histoire. L’Islam s’est donné le même but ; étant la plus grande et la plus fanatique des religions, il en a toutes les opportunités.
N’oublions pas que l’idéologie russe « panslaviste » instaurée à l’origine par Guillaume le Grand, exigeait l’élimination de l’Allemagne et de l’Autriche pour annexer l’Inde et la Perse après avoir mis le joug sur l’Europe. Notons aussi l’idéologie de l’ « Asie aux Asiatiques » qui réclame que la Confédération des Etats asiatiques soit sous le contrôle du Japon. Remarquons aussi l’idéologie « pangermaniste » qui prévoit un contrôle de l’Europe par l’Allemagne pour l’élargir, plus tard, au reste du monde. Cependant, les personnes dont il est question dans ce livre n’ont absolument rien à voir avec un quelconque dogme et n’appartiennent à aucune nation. Elles ne sont ni de gauche, ni de droite, ni libérales mais utilisent toutes les institutions pour poursuivre leurs buts. Certes, elles font partie d’une quelconque organisation mais juste pour rendre difficiles d’éventuelles enquêtes, pour créer la confusion chez les « curieux » et les attirer ainsi sur une fausse piste. Ces personnes se Servent des chrétiens comme des Juifs, des fascistes comme des communistes, des sionistes comme des mormons, des athées comme des satanistes, des pauvres comme des riches, de TOUS ! Mais elles se servent surtout des ignorants, des paresseux, de ceux qui se désintéressent de la vie et de ceux qui n’ont pas d’esprit critique. Entre initiés, les personnes citées ci-dessus s’appellent les « ILLUMINATI » (les illuminés, ceux qui savent), Big Brother, le gouvernement invisible, les hommes gris, le gouvernement de l’ombre, le gouvernement secret, l’establishment. Selon mes sources, les agissements des « Illuminati » sur Terre remontent a environ 3.000 siècles av. J.C. quand ils infiltrèrent la « Fraternité du serpent » en Mésopotamie, dont ils se servirent à des fins riégativus. Il est plus que probable, il est même pratiquement sûr que ce drame a débuté longtemps avant la période mentionnée ci-dessus. si ce n’est à l’époque où « l’ego » s’est développé. Nous pouvons faire remonter cet évènement à une période précise de l’histoire simplement gràce à l’action de la « Fraternité du serpent ». Ce n’est qu’après 3000 générations que lui succédèrent d’autres groupements, tels que les Juifs, les chrétiens, les francs-rnaçons ou d’autres communautés religieuses que nous connaissons. Comme on peut le constater facilement à la lecture de ce livre, quelques membres de la communauté sioniste ont, entre autres, colporté jusqu’à aujourd’hui ce jeu dont ils ne sont ni les tenants ni les aboutissants. Ce qui a commencé jadis fonctionne encore selon les mêmes modalitès, Il nous suffit donc de regarder la situation présente pour voir où se trouve le problème. On peut certes rattacher le système de pensée ou de foi des « Illuminati » a celui de « MACHIAVEL » (le machiavélisme ou la justification d’une politique de pouvoir dépourvue de normes éthiques et, par conséquent, de tout scrupule politique). Voici un petit exemple, celui du pouvoir. Imaginons que vous êtes le nouveau roi d’un pays et que vous voulez avoir l’assurance de le rester. Alors vous convoquez séparément deux personnes dont vous êtes certain qu’elles feront ce que vous leur direz. A l’une vous donnez des directives « de gauche » et la financez pour qu’elle puisse créer un parti. Avec l’autre vous agissez de même en lui faisant créer un parti de « droite ». Vous venez de donner la vie à deux partis d’opposition, vous financez la propagande, les
votes, les actions et vous êtes exactement au courant de leurs moindres plans. Ce qui signifie que vous les contrôlez tous les deux. Pour qu’un parti ait l’avantage sur l’autre, vous n’avez qu’à lui donner plus d’argent. Les deux chefs de parti croient vous avoir à leur côté et vous êtes ainsi « l’ami » des deux. Le peuple est tellement pris dans ce va-et-vient entre « gauche » et « droite » qu’il ne peut lui venir à l’esprit qu’en tant que roi, vous puissiez être à l’origine de la dissension. Le peuple va même vous demander aide et conseil. Prenons un autre exemple : l’argent. Pendant la guerre de Sécession (1861-1865) les Etats du Nord (opposés à l’esclavage) combattaient ceux du Sud (favorables au maintien de l’esclavage). Avant la guerre, la famille ROTHSCHILD envoya des agents pour renforcer une prise de position « pour l’Union » chez les Etats du Nord, et en même temps d’autres agents Rothschild suscitaient une attitude « contre l’Union » chez les Etats du Sud. Lorsque la guerre éclata, la banque Rothschild de Londres finança les Etats du Nord et celle de Paris ceux du Sud. Les seuls a avoir gagné cette guerre furent les ROTHSCHILD. Résumons brièvement ce système : 1. On provoque des conflits qui font que les hommes se battent entre eux et non contre ceux qui sont à l’origine de la dissension. 2. On ne se montre pas comme le véritable instigateur. 3. On soutient tous les partis en conflit. 4. Ou passe pour une « instance bienveillante » qui pourrait mettre fin au conflit. Voila le chemin suivi par les « Illuminati » qui veulent dominer le monde : provoquer autant que possible la discorde parmi les hommes et les nations sur Terre, Ceux-ci, perdus dans un flot d’informations contraires, ne pourront remonter jusqu’aux vrais instigateurs. Des SOCIETES SECRETES internationales leur servent d’instrument puissant pour la discorde entre les hommes, nous les étudierons de plus près. Les hommes empêtrés longtemps dans des guerres finiront par en avoir assez de combattre et en viendront à « implorer » un GOUVERNEMENT MONDIAL. C’est alors que le plan devient évident. On exigera de « l’instance bienveillante » de mettre fin au conflit. Et qui joue ce rôle sur notre planète ? L’ONU ! Nous verrons QUI se trouve en réalité derrière l’ONU. Les « Illuminati » dont nous parlons ne sont pas n’importe qui, ils sont les hommes les plus riches du monde. Ils n’apparaissent ni à la télévision ou dans d’autres systèmes médiatiques puisqu’ils possèdent et contrôlent seulement ces médias, mais aussi tous les services d’information. S’il arrive qu’on parle d’eux, ce n’est qu’en termes neutres ou positifs. La plus grande partie du peuple ne connaît même pas leurs noms. Même les auteurs qui ont mis à nu leurs machinations ne sont pas devenus célèbres bien qu’ils eussent mérité un prix Nobel. Réagir serait louable mais comment six milliards d’hommes peuvent-ils se défendre contre
quelque chose dont ils il ne connaissent même pas l’existence ? Il ne faut pas oublier non plus que presque tous les humains ont été – et sont – tellement préoccupés par leurs propres petits problèmes personnels qu’ils n’ont jamais eu la vision globale desévènements de ce monde ni de leur entourage. Ou ont-ils perdu cette vision entre-temps ? La majeure partie de la civilisation actuelle souffre de « gel politique » et s’est retirée de ces événements. Ce retrait est dû à la pénurie de temps, au manque d’intérêt, de critique et de connaissances spécifiques. En se retirant, on n’y changera surement rien. Au contraire, ceci est voulu par nos « dirigeants ». Quiconque abandonne facilite la tâche des « Illuminati ». La vérité qui s’impose en premier lieu est donc d’en savoir plus sur leurs faits et gestes. Ainsi qu’un grand instructeur du monde le constatait : « Trouvez la vérité, car c’est la vérité qui vous affranchira ! » On pourrait, en conséquence, diviser les hommes en trois types : 1. ceux qui agissent ; 2. ceux qui sont spectateurs des événements ; 3. ceux qui s’étonnent qu’il se soit passé quelque chose. Ce livre est « ma » participation pour amener la lumière sur une partie de » événements. C’est un essai qui vise à faire savoir quels sont les agissements tenus secrets sur cette planète précisément par ceux qui tirent les ficelles. Le lecteur qui se sera reconnu dans la troisième catégorie aura plus de facilité pour passer à la deuxième et même a la première ! En tant qu’auteur de ce livre, je ne représente ni une communauté d’intérêt ou de foi ni une nation. Je suis un homme sur cette planète Terre qui revendique son droit à la liberté et au libre développement pour remplir ici son devoir. La paix entre les nations comme dans les relations humaines me tient très à coeur – j’espère qu’il en est de même pour la majorité de l’humanité – et Je considère comme ma responsabilité personnelle de donner au moins ces informations à mes concitoyens pour leur permettre de prendre position. Ce qui suit ne doit pas être avalé tout cru, comme on peut le faire quand il s’agit des stories qui sont servies quotidiennement par les médias. Je conseille à tous les esprits superficiels et à ceux qui sont satisfaits de la vie de fermer le livre à cette page. Quant aux autres, s’ils ont la capacité de se remettre en question, il se peut que ce livre les pousse à changer profondément leur attitude. Et si nous voulons trouver la vérité sans pour autant passer notre vie à la chercher, nous devons nous donner la possibilité d’examiner et d’admettre sans répit toute nouvelle information. Cela peut signifier aussi que si notre esprit est déjà rempli d’opinions établies, de points de vue, de dogmes ou d’une conception du monde bien figée, il n’y a plus de place pour une autre vérité. De plus la vérité est peut-être complètement différente de ce que nous nous imaginions. Pour cette raison, je vous prie, dès maintenant, d’avoir l’esprit ouvert. Oublions à la lecture de ce livre nos opinions pesantes en matière de religion, de politique et d’ethnie, soyons simplement comme un enfant, ouvert et capable d’apprendre. Essayons aussi de ne pas comparer ce qui est dit avec une opinion où un point de vue déjà existants. Suivons notre intuition, notre sentiment et ressentons nous-mêmes si ces
informations sonnent justes même si elles finissent par nous désécuriser. Faisons fi de notre pensée routinière qui pourrait nous souffler : « Mon Dieu, si tout ça est vrai, quel sens a donc ma vie et quel rôle est donc le mien dans ce scénario ? » Pas de panique, c’est le thème détaillé du dernier chapitre. Ce livre est un appel à chaque lecteur pour qu’il exerce son esprit critique et devienne un citoyen émancipé. Cherchez, trouvez « votre vérité » et examinez les choses sans les relier, si possible à un système de valeur. Néanmoins, je m’efforce de me limiter dans les pages suivantes à des facteurs historiques, même ceux-ci ne sont pas reconnus comme tels. Je passe outre les théories qui pourraient être les miennes pour établir une synthèse des sources qui sont nommées à la fin du livre et qui sont donc accessibles à tous. »
Si vous désirez lire la suite je vous invite à télécharger les 3 éditions que j’ai bien pu trouver.
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vous aussi cet été invitez les abeilles dans votre jardin et souvenez vous que sans elles nous serions rayer de la carte terrestre, pour inviter une belle abeille il vous faudra de la patience et un peu d'huile de coude
il faudra choisir des plantes et des fleurs mellifères du type capucine et: aster, capucine, bleuet, pavot de Californie, bruyère, centaurée, giroflée, primevère, souci, tournesol, dahlia…
et des coquelicots :
petite abeille sera heureuse dans votre jardin et si vous ne la craigniez pas elle en sera que plus heureuse, attention toutes fois elles n'aiment pas les téléphones portable cela les rend dingue.
oui les ondes du portable ne sont pas très bénéfiques pour nos amies les abeilles protégeons les comme elles le font pour nous chaque saison en pollénisant nos jardins
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