•  http://www.dinosoria.com/roi_arthur.htm

     

     

     Héros de la résistance celte à l’invasion anglo-saxonne, le roi Arthur est le personnage qui inspire les plus beaux récits des poètes médiévaux.

    Arthur, Merlin l’enchanteur, Lancelot, les chevaliers de la Table ronde, Tristan ou Perceval évoquent un monde chevaleresque où l’honneur est primordial.
    Mais le grand roi qui aurait tranché des têtes d’un revers de son épée Excalibur n’est-il qu’une légende ?
    Arthur a-t-il réellement existé ? Quel est l’antique secret du Graal ?

      la légende du roi Arthur

    Quelques temps après que les Romains ont quitté la Grande-Bretagne, les Celtes, livrés à eux-mêmes, s’organisent en une multitude de petits royaumes qui, rapidement, se querellent. L’un de ces Etats est dirigé, nous disent les conteurs, par le roi Uther Pendragon.

    Grâce à une ruse de son druide Merlin, Uther parvient à abuser de la femme de l’un de ses ennemis, la belle Igraine.
    L’enfant qui naît, Arthur, est élevé par Merlin.

    Adolescent, Arthur révèle son sang royal en parvenant sans peine à dégager d’un rocher l’épée merveilleuse Excalibur.

    En effet, Merlin organisa un rassemblement de toute la noblesse. Dans un pré, se trouvait une magnifique épée fichée dans une enclume. Sur la pierre était inscrit : »Celui qui retirera l’épée de cette pierre et de cette enclume sera roi de toute l’Angleterre. »

    On cria au miracle quand le jeune Arthur libéra l’épée de l’enclume. L’Angleterre avait trouvé son roi.

    Le roi Arthur

    Le roi arthur écoutant les doléances de l'un de ses sujets (Bibliothèque nationale de France, Paris). © dinosoria.com

    Il fédère les royaumes d’Angleterre et repousse l’envahisseur saxon. Il règne, son épouse Guenièvre à ses côtés, dans sa brillante cité de Camelot où il réunit autour d’une immense table ronde de preux chevaliers : Gauvain, Kay, Perceval, Lancelot, Tristan …

    Couronnement du roi Arthur

    Couronnement du roi Arthur (Extrait d'un manuscrit du XIVe siècle, Bibliothèque nationale de France, Paris)© dinosoria.com

    morgane est sa demi-sœur.
    Merlin prédit que Mordred amènera la ruine du royaume.
    Mais, Arthur a de nombreux ennemis dont Loth de Lothian. Ce dernier envoie sa femme, Morgane, comme ambassadrice. Arthur la séduit et un enfant est conçu, Mordred. Ce qu’ignore Arthur c’est que Morg

    Le roi Arthur et ses chevaliers

    Le roi Arthur et ses chevaliers (Gravure de Gustave Doré)Licence

    En cadeau de mariage, Arthur a reçu une magnifique table ronde. Lorsque les chevaliers prennent placent autour, une place reste vide. Elle est réservée à celui qui ramènera le Saint- Graal, une des reliques les plus sacrées de la chrétienté.

    Lancelot

    Lancelot, manuscrit enluminé du XVe siècle. En haut, naissance et éducation de Lancelot par la Dame du Lac; en bas, à gauche, Lancelot participant à un tournoi; à droite, sa vision du GraalLicence

    L’amour tient une grande place dans la légende arthurienne. Lancelot et Guenièvre s’aiment. Poussé par Mordred, Arthur accuse le couple d’adultère et de trahison. Lancelot s’enfuit alors sur le continent avec sa bien-aimée et de nombreux chevaliers.
    Arthur part à leur poursuite. Le combat mettra fin à l’esprit de la Table ronde. L’honneur perdu et prisonniers de leurs passions, les chevaliers se précipitent vers la catastrophe finale.

    Profitant de l’absence d’Arthur, Mordred lève une armée et s’empare du trône. Lors de la bataille de Camlann, Arthur tue Mordred mais est mortellement blessé.

    Combat final entre Arthur et Mordred

    Combat final entre Arthur et Mordred (Peinture de W.Hatherall)Licence

    Arthur, agonisant, fait jeter son épée dans un lac : la lame magique est rendue à la fée Viviane, la « Dame du lac », qui éleva Lancelot et envoûta Merlin.

    Selon la légende, Bédivère installe le roi mourant dans une barque qui emmène le roi vers l’île magique d’Avalon.
    Il est également dit que le roi Arthur reviendra car, sur sa tombe, est écrit : »Hic Iacet Arthurus Rex Quondam Rex futurus « (Ici gît le grand roi Arthur, celui qui fut et qui sera).

    Voilà le résumé de la vie du roi Arthur. Mais quelle est l’origine de cette belle légende ?

     La diffusion de la légende arthurienne

    L’existence d’Arthur est fixée à la fin du Ve siècle et au début du VIe siècle de notre ère. Le premier auteur à évoquer le roi est l’historien Nennius, dans son histoire des Bretons, rédigée en 826, mais qui s’inspire d’un récit remontant à une époque bien antérieure.

    L’histoire d’Arthur est en fait une collection de récits qui ont été ensuite rattachés à un seul héros et à une seule histoire. Cette dernière a été enrichie au cours des siècles.

    Roi Arthur

    Le roi Arthur représenté dans une fresque italienne du XIIe siècle. La légende a été rapportée en Italie par l'invasion normande.Licence

    Les exploits d’Arthur ont été vraiment développés par Geoffroi de Monmouth, auteur d’une Histoire des rois de la Grande Bretagne (Historia regum Britanniae), écrite en 1136. C’est lui qui rassembla tous les récits en y mêlant un peu d’histoire vraie et beaucoup de fiction.
    Il fait d’Arthur un roi et créé le personnage de Merlin.

    Joute en présence du roi Arthur

    Manuscrit flamand du début du XVe siècle montrant une joute en présence du roi ArthurLicence

    Dautres auteurs ont écrit des ouvrages sur le roi Arthur dont Sir Thomas Mallory (la Mort d’Arthur), Lord Tennyson (Les Idylles du roi) et T.H White (The once and futur king).

    Ce sont deux auteurs français qui ont diffusé la légende arthurienne. Vers 1154, Robert Wace traduit l’Historia en un poème, le Roman de Brut.
    On y voit pour la première fois les chevaliers prendre place autour d’une table ronde.

    film Excalibur

    Le film Excalibur (1981) s'attache à l'esprit du mythe

    Chrétien de Troyes a écrit plusieurs romans (1170 à 1182) retraçant la légende d’Arthur. On lui doit notamment Tristan et Iseut (poème perdu), Lancelot. C’est lui qui introduit le thème de l’amour passion.

    Le thème de la quête du Graal n’apparaît qu’en 1215 avec la parution de poèmes français. L’origine du Graal se perd dans la nuit des temps. Attribut païen, puis chaudron magique des Celtes, il fut transformé au Moyen Age en un symbole chrétien.

     Les preuves de l’existence du roi Arthur

    Les ruines du château de Tintagel où, d’après la légende, Arthur est né, existe toujours. Il se dresse sur une pointe de terre fichée dans l’Océan, au nord des Cornouailles. L’édifice date sans aucun doute de la période concernée.

    Une table ronde nous est parvenue. C’est un disque de chêne de six mètres de diamètre, exposé au château de Winchester.
    Mais, les analyses ont montré que la table date en fait du XIIIe siècle.

    Le roi Arthur et la liste des royaumes conquis

    Le roi Arthur et la liste des royaumes conquis (document de la Chronicle of England, datée de 1300)Licence

    En 1191, les moines de l’abbaye de Glastonbury déclarèrent avoir découvert les corps d’Arthur et de Guenièvre.
    Le lieu s’accorde avec la légende qui fait de Glastonbury l’île d’Avalon.
    Le supposé souverain eut doit à de nouvelles funérailles grandioses. Mais, comment les moines ont-ils identifiés les ossements du roi, cinq siècles après sa mort ? « A sa noble stature », répondent-ils.
    Cette réponse est loin de garantir l’authenticité des cadavres.

    Cependant, nous disposons de quatre récits de cette exhumation. Tous se rejoignent sur deux points
    essentiels :

    • La tombe était protégée par deux pyramides de pierre
    • Sous le cercueil, on trouva une croix sur laquelle étaient inscrits les mots suivants : Ici gît le grand roi Arthur, et Guenièvre, sa seconde femme, enterrés dans l’île d’Avalon

    Cette croix a été perdue. On en possède une reproduction dans la sixième édition du Britannia de Camden.
    L’analyse épigraphique a révélé que la croix n’était pas du VIe siècle (siècle de la mort d’Arthur) mais du Xe siècle.

    Reproduction de la croix Roi Arthur

    Reproduction de la croix

     l’évêque Dunstan, au cours de travaux, au Xe siècle.

    Stonehenge

    En 1962, des archéologues firent des fouilles sur l’emplacement présumé de la tombe d’Arthur. Ils trouvèrent un puits, d’où un monument en pierre aurait pu être retiré, ainsi qu’un grand trou qui avait été comblé entre 1180 et 1191.


    Les ruines de Stonehenge. Selon la légende, Merlin en aurait été le bâtisseur. Bien que cit faux, Stonehenge joue un rôle non négligeable dans le cycle arthurien. By 

    Les historiens ont cherché à situer Camelot, la capitale d’Arthur, dont le nom vient probablement de Camulos, dieu celtique de la Guerrer.

    Les archéologues ont retrouvé dans le Devonshire, à Cadbury, les vestiges de puissantes fortifications circulaires. Une place forte importante existait là au Ve siècle. Il est logique de penser que si un roi luttait contre les envahisseurs, Cadbury devait être sa capitale.

    Il est certain qu’à la fin du Ve et au début du VIe siècle, les envahisseurs saxons, ont été repoussés pour un temps.
    Cette victoire a forcement nécessité une alliance des nombreux rois celtes. Cette alliance devait avoir un chef, sans doute un ancien officier romain, rompu à la stratégie et l’art de la guerre.
    Pourquoi ne se serait-il pas appelé Arthur ?

    D’autres historiens pensent que Arthur n’était qu’un chef de clan ordinaire qui guerroyait près de la frontière écossaise. Vers 500, les Bretons remportèrent la bataille de Badon. Cette bataille importante assura la paix pendant 50 ans. L’artisan de cette victoire s’appelait Arthur.



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     Les interprétations des prophéties de Nostradamus apparaissent de plus en plus comme une perte de temps. Néanmoins, 


    NOSTRADAMUS

    Les prophéties de Nostradamus (1503-1566) ont fait couler beaucoup d’encre. Leur interprétation porte toujours à confusion et apparaît de plus en plus comme une perte de temps. Néanmoins, les Centuries (compilation des prophéties de Nostradamus) comportent des passages intéressants qui décrivent le mode opératoire qu’il utilise pour produire des visions, visions qu’il perçoit lui-même, mais qu’il fait aussi percevoir à Catherine de Médicis, à la demande de la reine.
     

     


    Nous étudierons les indications données par Nostradamus à la lumière des découvertes du Docteur Francis LEFEBURE, médecin et chercheur français. Il a mis au point une méthode de développement personnel basée sur l’utilisation systématique des phosphènes : le Phosphénisme. Les phosphènes sont toutes les sensations lumineuses subjectives, c’est-à-dire celles qui ne sont pas directement provoquées par la lumière frappant la rétine. Les découvertes en physiologie cérébrale du Docteur LEFEBURE permettent de comprendre les mécanismes cérébraux responsables des phénomènes de voyance et de reproduire ceux-ci à volonté.

     



    Nostradamus écrivait ses prophéties la nuit dans sa maison de Salon-de-Provence, à la lumière d’une bougie, souvent en face d’un miroir argenté ou d’une boule de cristal. Il faisait ainsi un phosphène avec une lumière polarisée. D’autres fois, il fixait le reflet de la lune sur un plateau d’argent, lumière elle aussi polarisée.

    Toute lumière réfléchie par une surface est polarisée. La lumière polarisée développe l’intuition et, si l’on pratique régulièrement, la voyance. Ne dit-on pas que la lune inspire les poètes ? Oui, mais à condition de la fixer. Voir la technique complète dans le livre du Dr LEFEBURE : La clé des manifestations surnaturelles.

    La technique de Nostradamus (utilisation du phosphène) est d’une efficacité extraordinaire et complètement occultée par un fatras d’éléments qui font que seuls les phosphénistes peuvent comprendre le sens de sa pratique. 

    Lorsque Catherine de Médicis demanda à Nostradamus de lui faire une voyance pour savoir combien de temps régneraient ses héritiers, elle émit la condition d’avoir elle-même cette vision. Le voyant s’entraîna alors longuement à fixer le reflet de la lune sur un plateau d’argent. Quand, un mois plus tard, il se sentit prêt à répondre à cette exigence, il dut faire un effort mental pour que la reine perçoive des personnages tournant autour du plateau, le nombre de tours correspondant au nombre d’années de règne de ses fils.

    Cette vision se produisit à l’intérieur d’un nuage. Il est évident que Nostradamus n’a pu bénéficier de conditions telles qu’il ait pu fixer le reflet de la lune chaque soir. Il lui était bien plus simple de fixer les reflets du soleil dans la journée, si ce n’est le soleil lui-même, ou le reflet du ciel quand Hélios faisait défaut. Le soir, il pouvait aussi utiliser la flamme de bougies ou, mieux encore, son feu de cheminée.

    Lorsqu’on rapporte cette histoire, on entend habituellement de multiples commentaires sur l’importance des signes astrologiques qui décoraient le plateau d’argent. Mais, il était normal qu’un objet appartenant à un astrologue réputé ait porté une décoration qui constituait une marque de reconnaissance de sa qualité ; de même que les armoiries étaient le signe de reconnaissance des chevaliers et des seigneurs. Là encore, personne avant le Docteur LEFEBURE n’avait porté d’intérêt à cette "tradition" qui veut que Nostradamus ait fixé le reflet de la lune sur un plateau d’argent. Si l’on a autant insisté sur la décoration du plateau, avec toute la symbolique et l’interprétation que cela implique, c’est par complète ignorance de la part des commentateurs ; ce qui a eu pour effet d’entourer de mystère un personnage qui a pourtant toujours expliqué comment il procédait. En effet, dès le premier quatrain des Centuries, Michel de Nostre-Dame décrit la technique qu’il utilisait pour déclencher ses visions.

    Les symboles astrologiques et l’aspect "lunaire" (qui, par déformation, est associé à la sorcellerie) des pratiques de Nostradamus ont eu pour effet de noyer l’essentiel et d’embrouiller les esprits dans des considérations prétendues occultes. Sous l’apparence d’une mystérieuse opération réalisée avec la complicité de Sélénée (le mot grec pour "lune"), une constante même des voyances de Nostradamus revient sans cesse : la fixation d’une source lumineuse directe ou indirecte, donc l’utilisation des phosphènes.

    En résumé, pourquoi spéculer autant sur les Centuries de Nostradamus ? Si tous les livres écrits sur lui avaient été centrés sur sa pratique des phosphènes, l’humanité aurait peut-être évolué différemment.


    Exercice : Développement de la clairvoyance : Concentration sur un détail du chaos visuel 
    On appelle ainsi les petites lueurs qui continuent à danser devant les yeux, même si l’on est en obscurité depuis longtemps.

    Dans une pièce sombre, placez un bandeau oculaire sur vos yeux, pour créer des conditions optimales d’obscurité.
    Observez votre chaos visuel.

    Portez votre attention sur l’une de ces lueurs puis, dès qu’elle a disparu, sur une autre, et ainsi de suite, toujours au centre du champ visuel.
    Après quatre ou cinq minutes de cet exercice, apparaît une plus grande luminosité autour de la région sur laquelle vous vous êtes concentrés. Cette luminosité est la troisième phase du phosphène : la lueur diffuse, que vous avez produite sans éclairage, par cet exercice.

    Si, dans cette lueur, vous recherchez de nouveaux détails, la lueur ne cesse de se préciser. Par contre, si vous laissez votre attention s’étendre à toute la masse lumineuse, elle s’estompe.

    En continuant à "chasser le détail", il vient dans cette luminosité une agitation qui peut être un tourbillon ou des éclairs semblables à des éclairs d’orage.

    Saisissez alors un détail de cette agitation, l’angle d’un éclair par exemple. Recentrez-vous toujours sur un détail.

    Après un certain temps de pratique, le nuage se transforme subitement en vision.

    Les visions qui naissent par ce processus peuvent être prophétiques : dans ce cas, elles se réalisent quelques jours plus tard.

    Quand une vision survient, si vous portez attention à l’ensemble, le processus s’interrompt. Si, par contre, vous fixez votre esprit sur un détail, en général une autre vision surgit et vous pouvez ainsi enclencher un véritable cinéma intérieur…


    phosphenisme © Extrait de "Univers Énergie Phosphènique". 


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  •  DECELERATEUR D’ANTIMATIERE: RESUME DESTINE AUX ENSEIGNANTS

    Newton and the Antiapple

    Que s’est-il passé?

    Des chercheurs du CERN ont réussi à mettre en service une nouvelle machine destinée à l’étude approfondie du monde miroir de l’antimatière. Elle permettra aux physiciens de piéger des antiprotons et des atomes d’antimatière, et de les comparer à leurs équivalents dans la matière.


    Pourquoi est-ce important?

    Il est curieux que l’antimatière n’existe pas en plus grande quantité autour de nous. Les scientifiques pensent que l’Univers est né d’un Big Bang lors duquel matière et antimatière ont été créées en quantité égale; pourtant, toute trace d’antimatière semble avoir disparu de l’Univers d’aujourd’hui. Pour quelle raison? Et pourquoi n’a-t-elle pas fait disparaître toute la matière avec elle?


    What we know aboutLa matière et l’antimatière sont de parfaits contraires. Si parfaits en fait, que lorsqu’elles se rencontrent, elles s’annihilent en laissant derrière elles un éclair de pure énergie. Rien d’autre ne subsiste. C’est pourquoi les auteurs de science fiction aiment tant l’antimatière. Pour eux, l’annihilation de l’antimatière est la source idéale d’énergie propre. Il s’agit de la parfaite conversion de la masse (m) en énergie (E) selon la célèbre équation d’Einstein E=mc2, où c est la vitesse de la lumière. Le problème est, cependant, que l’antimatière ne peut pas être simplement recueillie ou extraite. Elle doit être créée, et sa création requiert infiniment plus d’énergie que sa destruction n’en produit. Toute l’antimatière produite au CERN en un an fournirait à peine assez d’énergie pour alimenter une ampoule électrique pendant quelques secondes.


    Donc, l’antimatière comme source d’énergie est condamnée à rester du domaine de la science fiction; cependant, une question importante demeure sans réponse: pourquoi la nature semble-t-elle préférer la matière à l’antimatière? Expérience après expérience, la matière et l’antimatière présentent une parfaite symétrie. Ce que l’une fait, l’autre le reflète. Lorsqu’une quantité d’énergie suffisante est concentrée pour produire des particules, les particules de matière et d’antimatière sont produites en nombre égal. Et lorsque les antiparticules rencontrent leur contrepartie dans la matière, elles disparaissent en redevenant de l’énergie pure. Rien ne se crée. Rien ne se perd.


    Nous savons que l’histoire ne peut pas s’arrêter là. Soit l’antimatière née du Big Bang se trouve quelque part - bien que cela semble très improbable - soit la symétrie matière-antimatière n’est pas totalement parfaite. Nous savons maintenant que cette dernière proposition est exacte. Des expériences ingénieuses ont forcé la main à la nature, révélant une légère partialité en faveur de la matière, qui se traduit par la survie d’un seul proton sur chaque milliard ayant pu provenir du Big Bang. C’est de ce proton que l’Univers est né.


    Antimatter: Made in CERNLa nouvelle machine de recherche du CERN, le décélérateur d’antiprotons (AD), permet aux scientifiques de piéger l’antimatière dans des cages électromagnétiques où elle ne peut pas entrer en contact avec de la matière. Les scientifiques peuvent l’y étudier tout à loisir et découvrir, par exemple, si la spectroscopie de l’antihydrogène est identique à celle de l’hydrogène. Maintenant que nous savons que la nature privilégie la matière par rapport à l’antimatière, les recherches à l’AD nous aideront à comprendre pourquoi.

    A quoi sert l’antimatière?

    L’antimatière est peut-être le matériau de la science fiction, mais dans les laboratoires comme le CERN, c’est un outil de recherche ordinaire. Dans les hôpitaux et l’industrie aussi, l’antimatière est utilisée quotidiennement pour les diagnostics. La tomographie par émission de positons (TEP), par exemple, s’appuie sur l’antimatière. Elle fonctionne en fixant des atomes radioactifs qui émettent des positons – des antiélectrons – à des molécules de traçage biologique qui se dirigent vers des zones précises du corps. Lorsque les atomes radioactifs se désintègrent, les positons qu’ils émettent s’annihilent immédiatement avec les électrons et l’éclair d’énergie qui en résulte apparaît sous la forme de deux rayons gamma d’énergie égale. Ces derniers s’échappent du corps dans des directions opposées et sont détectés, ce qui permet aux médecins de suivre ce que deviennent les molécules de traçage biologique et d’obtenir ainsi de précieuses informations sur le fonctionnement du corps.


    Quelles sources consacrées à l’antimatière sont disponibles au CERN?

    L’histoire de l’antimatière est relatée dans cet article par le rédacteur du magazine Courrier CERN Gordon Fraser

    Vous pouvez commander une brochure sur l’antimatière intitulée auprès du Bureau Presse et de Publications

    Leaflet 1st page    Leaflet 2nd page


    Un site Web consacré à l’antimatière, qui présentera des annonces Web d’événements importants concernant l’antimatière au CERN, se trouve ici.


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  •  Anciennes représentations de dinosaures

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    Dessin de graphiques mettant en évidence dinosaure et mammouth

    A droite, l'image d'un dinosaure luttant contre un mammouth dans le livre Buried Alive du Dr Jack Cuozzo. Elle a été prise par l'auteur dans la grotte de Bernifal, une des cavernes en France qui est réputée pour des objets du Neandertal. La grotte a été fermée au public. Science News a eu la possibilité de publier la photo remarquable, mais a refusé de le faire . Il semble que les preuves contre le paradigme dominant de l'origine du naturalisme ont été rejetées. Elles sont enterrées vivantes par l'établissement scientifique. Comme Cuozzo dit, c'est la sélection naturelle dans le sens le plus littéral! 

    Puff the Magic Dragon

    "Fran Barnes, une autorité reconnue sur l'art rupestre d'Amérique du Sud-Ouest, écrit,« Dans le Récit de San Rafael, il y a un pictogramme [image symbole] qui ressemble beaucoup à un pterosaure, un reptile volant du crétacé "... " (Swift, Dennis, "Messages sur Stone," création ex nihilo, vol. 19, p. 20) .Cette figure, d'environ 7 pieds de long d'envergure, est peinte avec une tombée de nuit pigment rouge. Les indiens de la culture Fremont sont soupçonnés d'avoir habité le "Récit" entre 700 et 1250AD. Le Canyon Black Dragon est nommé ainsi pour le pictogramme qui ressemble à un grand reptile ailé avec une crête sur la tête..

    Sur la gauche est montré une photo d'un des curieux "dinosaures" près de pétroglyphes Moyen-Mesa au Wupatki National Park.Ce pétroglyphe est appelé "Puff the Magic Dragon", et semble être une représentation d'un dinosaure crachant du feu. Bien qu'il n'y ait pas de manière certaine de dater de tels pétroglyphes, il doivent avoir au moins plusieurs centaines d'années . 

    Porte d'Ishtar de Babylone en forme par artiste

    En 600 avant Jésus-Christ, sous le règne du roi Nebuchanezar, un artiste de Babylone a été commissionné pour former des reliefs d'animaux sur les structures associées à la Porte d'Ishtar. Des siècles plus tard, en 1887 après JC, lorsque l'archéologue allemand Robert Koldeway est tombé sur le bleu glacé brique, le lien était retrouvé. Les animaux apparaissent en colonnes alternées avec des lions, des taureaux féroces (rimi ou reems en chaldéen), et des curieux et longs cous de dragons (Sirrushs). Les lions et taureaux auraient étés présents à ce moment-là dans le Moyen-Orient. Mais, sur quelles créatures les anciens Babyloniens ont-ils pris modèle pour le dragon? Le même mot, Sirrushs, est mentionné dans le livre de Bel et le Dragon, de l'Apocryphe. Ces deux descriptions et l'image sur ces murs mis à jour (voir à droite), sont maintenant affichées dans le Vorderasiatisches Museum de Berlin, et semblent décrire le dinosaure sauropod . (Shuker, Karl PN, "Le Sirrushs de Babylone," Dragons: A Natural History, 1995, pp. 70-73.) 

    Corythosaurus, Musée ethnographique, Budapest

    L'ancienne Sumatra produit plusieurs œuvres d'art représentant des créatures à longue queue, et long cou avec une crête sur la tête.

    Certains de ces animaux ressemblent aux hadrosaures. Ce travail particulier (Musée d'ethnographie, Budapest) montre une créature qui ressemble de façon frappante à un Corythosaurus qui est chassé par ces anciens peuples indonésiens. (Bodrogi, Tibor, art de l'Indonésie, plaque n ° 10, 1973.) 

    Représentation d'un OviraptorBec dragon statue de la genèse parc Collection

    Les histoires asiatiques et les représentations de dragons stylisés sont assez fréquentes.

    Une statue de dragon avec un bec a été trouvée sur le marché des antiquités et est maintenant dans la collection de Genesis Parc.

    Comme les bronzes de style sur cette artefact l'indiquent, il s'agit de la dynastie Zhou (1122 BC - 220 Colombie-Britannique) ou, éventuellement, de la dynastie des Han (206 avant JC - 220 AD).Ils affichent de nombreuses caractéristiques des dinosaures à bec (comme le Oviraptor représenté à côtés pour comparaison): la configuration de pieds tridactyles, la position métatarsienne, à grande échelle comme la représentation sur tout le corps (sauf pour la corne qui a un motif strié), une queue longue (bien mince) , une crête de tête et un long cou.

    Un autre artefact chinois fascinant est la boite d'ornement orientale de la fin du Zhou Sauropod (Jian Fang) . Affichant un pied tridactyl, un long cou et une tête qui ressemble à un brachiosaure, cette représentation est convaincante. (Fong, Wen éd., Le Grande âge du bronze de la Chine, Metropolitan Museum of Art, 1980, p. 285.)

    Fin orientale Zhou Sauropod (Jian Fang) case d'ornementGros plan sur l'ornement Box


    Saurolophus DinosaurDynastie Shang dinosaure Jade de Chine - Cliquez pour agrandircl

    cliquez sur l'image pour l'agrandir >>>>>>>>>>

    Ensuite, nous allons examiner un artefact dragon de la dynastie Shang (Colombie-Britannique 1766-1122) qui a été trouvé sur le marché des antiquités chinoises comme une représentation de dinosaures. Il affiche les lignes de relief dans une échelle comme modèle, un large bec, un ornement cutané, et une crête sur la tête qui est frappante, comme le dinosaure Saurolophus (illustré sur la droite).Cette statue de jade, qui est maintenant dans la collection du Genesis Park, est de couleur blanc néphrite , avec des veines coupées et une pénétration de terre qui démontre l'authenticité.


    Le 26 Février 2000 le Science News contenait un article qui commentait un objet situé au musée des beaux-arts et qui est connu sous le nom de vase Hesione (Hesman, 2000).Sur la photo de ce vase antique grec est une série de peintures quelque peu inhabituelles, dont une qui représente un monstre qui possède la tête d'un dinosaure. Cette poterie a été créé autour de 550 avant JC, et décrit le héros grec Héraclès sauvant Hesione de ce "monstre de Troie". Forcée d' accorder l' étonnamment réalisme dinosaurien de la représentation, la science nouvelle conclu que les peintures sur ce vase inhabituel prouvent simplement que les peuples anciens cherchaient après les fossiles.. 

    À gauche, une urne de Caria, qui se trouvait en Asie Mineure (Turquie).

    Cet artefact (décrite dans Thomas H. Carpenter 's 1991 livre Art et le mythe dans la Grèce antique: A Handbook) est estimé être postérieur à 530 av jc. Il montre ce qui semble être une mosasaurus connu avec plusieurs créatures marines. L'animal derrière le serpent de mer est un phoque, un poulpe est en dessous du serpent de mer avec ce qui semble être un dauphin. Les mâchoires épaisses, de grandes dents, de grands yeux, et le positionnement des palmes de cette créature montrent très bien un squelette de mosasaurus .Certaines espèces ont également une crête étroite crânienne derrière l'œil qui peut avoir été une nageoire comme représenté sur l'urne Carienne. D'autres objets de cette région se sont révélés intéressants après le déluge et les glissements de terrain de 1971 dans le petit village de Girifalco. Un avocat nommé Mario Tolone a commencé à enquêter. Tolone affirme avoir trouvé des représentations dinosauriennes dans le domaine de Caria avec des centaines d'autres artefacts anciens, d'une pré-civilisation grecque de Calabre, qui a au moins 3000 ans.

    Statue en terre cuiteStatue en terre cuite, Vue d'en haut

    Stégosaure sur Broken poterie

    Ici c'est une statue en terre cuite d'environ 18 cm de long, d'une forme remarquablement identique à un dinosaure avec des plaques sur son dos. Les plaques sont triangulaires, et continuent le long du dos jusqu'à la queue. Dans celle d'en haut (à droite) l'objet étrange révèle une courbe des plaques, comme si l'animal avait été représenté en mouvement sur la terre. Les jambes sont grandes et maladroites, comme s'il avait beaucoup de poids, pas du tout comme ceux d'un lézard.

    Il y a aussi une représentation claire d'un Stégosaure sur un morceau de poterie brisée. 

    L'objet d'art au-dessous est un cylindre Mésopotamien remontant à 3300 avant JC. (Moortgart, Anton, L' Art de l'ancienne Mesopotamie, 1969, plaque 292.)

    L'animal sur la droite est une conception artistique moderne d'un squelette d'Apatosaure. Il existe de nombreuses similitudes frappantes entre ces deux représentations. Les jambes et les pieds sur l'article mésopotamien montrent clairement le saurapode mieux que tout autre type d'animal. La plus grande différence est à la tête. Le cartilage formant la forme d'une décoration sur les oreilles peut être stylisé ou être ponctuel (car il n'existe aucun moyen de le savoir par rapport aux squelettes que nous avons aujourd'hui). En ce qui concerne la musculature, l'artiste mésopotamien la dessine avec un réalisme étonnant. Certains se demanderont où l'artiste a obtenu le modèle pour dessiner de façon si convaincante le tronc d'un saurapode.

    Sceau-cylindre Mésopotamie et artiste de la conception d'un Squelette d'un Apatosaurus

    Sceau égyptien avec la Cartouche de Tutmosis III montrant une Sauropterygia-comme des animauxTrône incombe aux bras ailés serpents

    Un sceau Égyptien avec la cartouche (nom officiel inscrit dans un ovale) de Tutmosis III (appx. 1400 avant JC) montre un animal comme le Sauropterygia (type de plesiosaure). Les parties antérieures et postérieures des palmes sont nettement représentées avec l'étroite connexion au corps de la créature. Le sceau est de la collection de Mitry et est d'une authenticité incontestable. .Les égyptiens anciens sont connus pour leurs observations vives et précises et leurs représentations zoologiques, en particulier en ce qui concerne les créatures marines. D'autres phoques de la collection de Mitry semblent avoir des représentations dinosauriennes également.Le trône d'or de King Tut mondialement célèbre (à droite) a des ailes de serpent formant le bras. Connu sous le nom de Ouadjet, le serpent ailé d'Égypte, protége les pharaons et contrôle les eaux du Nil. En fait, les serpents ailés sont représentés sur un grand nombre de cercueils de l'Égypte ancienne. Dans la partie inférieure droite est une image d'un serpent ailé comme un "saraph couvrant " protégeant le dieu Osiris. Il y a même un symbole hiéroglyphique pour le serpent ailé qui apparaît dans le livre égyptien des morts. (Notez le hiéroglyphique dans l'image de calcaire sur ce pendentif à la partie inférieure gauche.) 

    Deux chiens paletteLe magazine National Geographic de janvier 2003 présente un artefact décrit comme une "palette de cosmétiques...d'un cimetière de la première dynastie dans Manshaat Ezzat." Ces créatures au long cou affichées à la page 78 s'adaptent à la configuration des autres anciens dinosaures comme représentés, y compris des corps au cous musclés et solides. Connu sous le nom de "Palette des deux chiens ," ceci représente de nombreux animaux vivants (y compris une girafe au revers). 

    Ancient palette représentant dinosauresSlate palette de Heirakonpolis

    À droite sont affichées les palettes en ardoise de Hierakonpolis montrant le triomphe du Roi Nar-Mer avec le col de dragons et une palette ancienne représentant une paire de "créatures comme des dinosaures" ainsi que de nombreuses représentations claires des animaux vivants (prises de la p. 93 du Le livre de Pritchard The Ancient Proche-Orient en images).

    La prépondérance de ces représentations au long cou dans l'art ancien (notez également la représentation des baguettes égyptiennes) motivent les archéologues (qui ne pensent pas que les hommes et les dinosaures cohabitent) à inventer un nom pour cette créature. Elle est appelée un "serpopard," prétendument un mélange d'un serpent et d'un léopard. Mais pour ceux qui croient que l'homme a été créé au début aux côtés des grands reptiles, ces palettes semblent être une tentative de représenter un dinosaure sauropod.

    Notez la "Palette des quatre chiens " avec le "serpopard" peint sur la clarté.

    Baguette représentation égyptienneÉgyptien Hierkanpolis quatre chien paletteDe la coupe égyptienne Hierkanpolis quatre chien palette

    TanystropheusMosaïque romaine représentant des dragons de mer
    Sur la droite se trouve une mosaïque romaine d'environ 200 AD qui représente deux dragons de mer au long cou.

    Paul Taylor, auteur de La Great Dinosaur Mystery et la Bible, les compare au Tanystropheus montré ci dessous. 

    Mosaïque du Nil de Palestrina

    À gauche, une autre belle mosaïque qui a été une des merveilles du deuxième siècle. Surnommée la mosaïque du Nil de Palestrina, elle représente des scènes du Nil de l'Egypte sur tout le trajet vers l'Éthiopie. Les chercheurs croient maintenant que c'est le travail du topographe Demetrius , un artiste d'Alexandrie qui est venu travailler à Rome. La partie supérieure de cette pièce d'art remarquable est généralement estimée représenter les animaux d'Afrique chassés par les guerriers à peau noire. Ces Éthiopiens sont à la poursuite de ce qui semble être un certain type de dinosaure. Les lettres grecques au-dessus des animaux reptiles en question sont les suivantes: KROKODILOPARDALIS qui est traduit littéralement Crocodile-Léopard. L'image présentée ici est seulement une petite partie de la grande mosaïque. Elle contient également des descriptions claires des animaux connus, notamment des crocodiles et des hippopotames égyptiens. (Finley, la lumière du passé, 1965, p. 93.)

    "Une sculpture en relief d'une ancienne civilisation Maya d'un étrange oiseaux avec des caractéristiques de reptiles a été découverte dans le Totonacapan, dans le nord de Veracruz, au Mexique. José Diaz-Bolio, un archéologue journaliste mexicain responsable de la découverte, dit qu'il est prouvé que la sculpture du serpent-oiseaux, située dans les ruines de Tajín, n'est pas seulement le produit de vols maya de fantaisie, mais une représentation réaliste d'un animal qui a vécu pendant la période des Mayas - il y a 1000 à 5000 ans. En effet, si ces oiseaux-serpent ont été contemporains de l'ancienne culture maya, la sculpure en relief représente une évolution d'une étonnante étrangeté. Ces animaux avec ces caractéristiques sont soupçonnés d'avoir disparu il y a 130 millions d'années. "Oiseaux-serpent des Mayas," Science Digest, vol. 64 Novembre 1968, p. 1) 
    Graphique avec lignes de apatosaur-comme créatureCliquez ici pour une plus grande graphique

    cliquez sur l'image pour l'agrandir >>>>>>>>>> 

    L'image à droite a été dessinée par les indiens Anasazi d'Amérique du Nord qui vivaient dans la région, et qui est devenue l'Utah environ 150 BC - 1200 AD. Même les anti-créationnistes sont d'accords pour dire qu'il ressemble à un dinosaure et que le film brunâtre qui a durci sur l'image, au long des piqûres et des intempéries, témoigne de son âge.

    Un évolutionniste écrit: «Il est un pétroglyphe dans le Natural Bridges National Monument qui porte une étonnante ressemblance avec un dinosaure, en particulier un Brontosaure, avec une longue queue et le cou, petite tête et tout. Il est évident que les guerriers et une créature comme un apatosaure sont représentés."(Barnes et Pendleton, Canyon Country préhistorique Indiens - leur culture, ruines, l'artisanat et d'art rupestre, 1995.)

    Les serpents volants et cornus sont importants dans la mythologie de la plupart des peuples d'Amérique, souvent associés avec de la pluie et le tonnerre. Un exemple est le pictogramme Algonquin d'un serpent volant connu sous le nom de Mishipizheu. 

    Pterosaur-comme dans les représentations découvert Native American Culture CocléLa culture native Americaine Coclé du Panama a été découverte par A. Hyatt Verrill. Il a remarqué des étranges représentations comme des pterosaures sur la poterie coclé et a suggéré qu'elles étaient si réalistes que ces autochtones américains doivent avoir été influencés par les découvertes fossiles. " Il a décrit la représentation (voir ci-contre) comme ayant une machoire comme un bec armé de dents acérées, avec deux ailes, des griffes courbées, courtes, une crête reptilienne sur la tête , et de fortes pattes de derrière avec cinq orteils pincés sur chacune d'elle. La civilisation Coclé dates de l'an 1330-1520.

    Mais la théorie de Verrill était que ces dessins étaient fondés sur "des descriptions précises, ou même des dessins ou des sculptures, des fossiles pterodactyles" (Verrill, A. Hyatt, Strange animaux préhistoriques et leurs histoires, 1948, pp. 132-133.) 



    Peintures rupestres de Gorozomzi HillsPeintures rupestres de Gorozomzi Hills

    Un autre dessin pétroglyphe (dessin de roches sculptées ) a été trouvé dans le Canyon de l'Arizona havasupai (photo prise par le Dr DeLancy).

    Dans l' image de droite, Paul Taylor compare cet ancien dessin à un Edmontosaurus. 

    Peinture montrant une créature similaire à un PlesiosaurIl y a des histoires de plesiosaures, une créature vue dans le Queensland, en Australie.

    Les deux peuples autochtones autour du lac de Galilée et les tribus plus loin vers le nord, racontent un animal au long cou avec un grand corps et des palmes.

    "

    "Les sages de la tribu autochtone de Kuku Yalanji de l'Extrême-Nord Queensland, en Australie, rapportent des histoires de Yarru (ou Yarrba), une créature qui habitait les forêts ombrophiles d'eau. Le tableau [à gauche] représente une créature avec des caractéristiques très semblables à une plesiosaure . Il affiche un aperçu des tractus gastro-intestinaux, indiquant que ces animaux ont été chassés et massacrés. " CEN Technical Journal , Vol.12, No. 3, 1998, p. 345.) (CEN Technical Journal, Vol.12, n ° 3, 1998, p. 345.) 

    gravures trouvée dans les Bushmanlandgravures trouvée dans les BushmanlandIl y a quelques gravures clairement anciennes de dolérite et de gneiss qui ont été trouvées dans Bushmanland, en Afrique du Sud. Parmi les nombreuses représentations, des empreintes de dinosaures, et d'autres objets dans cette région, deux sont d'un intérêt particulier. Un sauropode ressemble à un dinosaure et l'autre ressemble à une tentative de représenter un pterosaure. 

    Sceau représentant un Pterosaur chasse une gazelle

    Un sceau égyptien (à droite) représente un grand pterosaure chassant une gazelle (Giveon, R., "Scarabées De récentes fouilles en Israël," Orbis Biblicus et Orientalis 83, 1988, p. 70.) La feuille en forme de queue de girouette est un pterosaure incomparable.

    La longue tête de reptile a la double crête d'une Scaphognathus dessus.

    Les deux ailes de même exposent les caractéristiques uniques ondulées dans le fossile d'un Solnhofen Rhamphorhynchus et les griffes d'un pterosaure. Le niveau de détail est similaire à celui de la gazelle.

    Le sceau date de 1300-1150 de Colombie-Britannique et est maintenant dans l'Université d'archéologie de l'institut de Tel Aviv . De même, une statue égyptienne résidant dans un musée de Berlin décrit les jambes avec des orteils et des griffes, des ailes avec trois griffes; d'un prototagium (une partie de l'aile au-dessus du bras est reconnaissable pour provenir des impressions fossiles d'un pterosaure) et une queue de girouette. Ce Pterosaure est montré chassant un faucon et semble avoir la structure dentaire d'un Scaphognathus. (Goertzen, John, "Le Rhamphorhynchoid Pterosaur Scaphognathus crassirostris:" un fossile vivant "Jusqu'au 17ème siècle," 1998 Papier CPI). 

    Au plus profond de la jungle du Cambodge se trouvent les ornements de temples et de palais de la civilisation khmère. Temple bouddhiste de grès élargieTemple bouddhiste de grèsL'un de ces temple, Ta Prohm regorge de statues de pierre et de reliefs. Presque chaque centimètre carré du grès gris est recouvert d'ornements et de sculptures détaillées. Des animaux familiers comme des singes, cerfs, buffles d'eau, perroquets, et des lézards sont dépeints. Toutefois, une colonne renferme une sculpture d'une créature comme un stégosaure. Mais comment un artisan pourrait-il faire une décoration de temple bouddhiste il y a 800 ans sans savoir ce qu'est un dinosaure? La science occidentale n'a commencé les montages de squelettes de dinosaures que dans le passé il y a deux siècles. (Les Photos sont un gracieux Don de Patton.) 

    Français bois image affiche les caractéristiques d'un PterosaurLes rapports européens de serpents vivants volants en Egypte persistent à travers les années 1600. Le naturaliste italien Prosper Alpin a écrit une fascinante histoire naturelle de l'Égypte dans les années 1580. Il décrit leur crête, un petit morceau de peau sur la tête, leur queue "épaisse comme un doigt", leur longueur étant «aussi longue qu'une branche de palmier, et leurs feuilles en forme de queue." (Alpin, P., Histoire Naturelle de l'Egypte , tr. by R. de Fenoyl, 1979, pp. 407-409.)

    Tout est exactement comme les reconstructions modernes de fossiles. Une image en bois français, datant du 16ème siècle, affiche aussi les caractéristiques remarquables d'un ptérosaure. Il existe clairement deux ailes qui semblent avoir des membranes de côté plutôt que des plumes. Il semble y avoir une petite crête au-dessus de la tête et légèrement en avant des yeux, la queue girouette distinctive, un indice de la double peau et derrière la crête osseuse ce qui est tout à fait comme le sceau égyptien. 

    17e siècle allemand des voiesLe dessin suivant est de l'élaboration du 17ème siècle allemand sur les dangers des sorcières et de la sorcellerie. Les sorcières sont accusées de causer une combustion spontanée des maisons. Le vol de ptérosaures représenté en arrière-plan, avec la caractéristique crête sur la tête et la queue, sont apparemment associés à des sorcières. (Trevor-Roper, "la persécution des sorcières», 1965.) De nombreux témoignages de cette période décrivent des créatures louches, comme le ptérodactyle.

    Un rapport officiel du gouvernement de 1793 stipule que: "À la fin de Novembre et début Décembre dernier, un grand nombre de pays ont observé des dragons apparaissant dans le nord et volant rapidement vers l'est, à partir de quoi ils ont conclu, et leurs conjectures étaient exactes, que ...des temps turbulents allaient suivre. " ( "Flying Dragons à Aberdeen," compte statistique de l'Écosse, 1793, p. 467.) 
    Croquis du dragon squelette

    Un dragon a été dit vivre dans les zones humides, près de Rome en Décembre de 1691. Cette créature vivait dans une grotte et prétendument terrorisait la population locale. Un croquis du squelette a survécu en la possession de Ingegniero Cornelio Meyer (à droite). Le plus remarquable à propos de l'animal est clairement la crête de tête, et le double morceau de peau de la crête. Cinq griffes étaient clairement visibles pour chaque pied, de la bonne longueur et avec la première courte et séparée des autres, comme il se doit pour la Scaphognathus.L'indice est une griffe sur l'aile là ou elle tourne vers l'avant. Les ailes sont membranées devant les jambes, sur les vertèbres, correspondant aux fossiles. Le fémur est bien montré comme un seul os. Le tibia et le péroné, les deux os inférieurs de la jambe, sont trop visibles. Bien que certains ont suggéré qu'il pourrait être un fossile ou un faux composite, il est beaucoup trop précis pour être une invention.La survie de la peau donne à penser qu'il n'est pas un fossile, car il comprend des ailes avec des caractéristiques précises, une crête de tête, et des oreilles. (Goertzen, John, "Le Rhamphorhynchoid Pterosaur Scaphognathus crassirostris: Un" fossile vivant "Jusqu'au 17ème siècle," 1998 Papier CPI).
    "Un fantastique mystère s'est développé sur un ensemble de peintures rupestres dans le Gorozomzi Hills, à 25 miles de Salisbury, car les tableaux comprennent un Brontosaurus de 67 pieds, une créature de 30 tonnes comme les scientifiques croyaient qu'elles avaient disparu des millions d'années avant l'apparition de l'homme sur la terre. Pourtant, les Bushmen ont fait les peintures de la Rhodésie seulement de 1500 avant JC à 200 ans. Et les experts conviennent que les Bushmen ont toujours peint dans leur vie.Rock Peinture d'une grotte au Zimbabwe

    Cette conviction est confirmée par d'autres peintures rupestres de Gorozomzi Hills - de précises représentations de l'éléphant, l'hippopotame, et de la girafe. Les mystérieuses photos ont été trouvées par Bevan Parkes, propriétaire des grottes. En ajout au puzzle, des peintures rupestres trouvées par Parkes est un dessin d'un ours. Aussi loin que les scientifiques sachent, les ours n'ont jamais vécu en Afrique.." (Anonymous, "Bushmen’s Paintings Baffling to Scientists," Evening News, January 1, 1970, London Express Service, printed inLos Angeles Herald-Examiner , January 7, 1970.)

    À gauche, une peintures rupestre d'une grotte de Nachikufu près de Mpika dans le nord du Zimbabwe (anciennement Rhodésie). Elle montre trois créatures au long cou, longue queue tracées en blanc. (Clark, Desmond J., Le Peintures rupestres de la Rhodésie du Nord et du Nyassaland, en été, Rogers, Art rupestre de l'Afrique centrale, 1959, pp. 28-29, 194.) 

    Dinosaurian sculpture avec une queue comme SauropodSculpture de fer Affiche un des spécimens analogues à l'ChasmosaurusDes sculptures en fer faites par les peuples bambara du Mali en Afrique dans les années 1800 montrent une créature à trois cornes avec ce qui semble être un cou décoré.

    . Les spécimens présentés ici, ( une partie de la collection de Genesis Parc) , montrent des caractéristiques dinosauriennes.

    Une montre un haut de cornes pointant vers l'avant du cou et l'extension du cou à mi-chemin vers le bas, tout comme les dinosaures Cératopsiens Chasmosaurus.La longue queue, le corps arqué, et les jambes étendues donnent aussi l'apparence d'un dinosaure Cératopsiens. Le deuxième, intitulé "sculpture dinosaurienne», par l'exposition montre une créature à quatre pattes avec un long cou et la queue comme un dinosaure sauratop. Le cou a un léger élargissement et une crête qui en fait une fascinante représentation. 

    Artefact de bronze Dogon montrant une tribu Circonscription une créature reptilienne

    Une autre tribu africaine de la région du Mali est connue pour produire des objets dinosauriens au milieu des années 1800.C'est en même temps que Sir Richard Owen inventa le terme dinosaure en Angleterre. L'artefact de bronze à gauche montre un Dogon, créature reptilienne au long cou et, longue queue. L'étrange oiseau avec une forte mâchoire rappelle le " bec de canard " sur certains dinosaures Ornithopod . Le diamant sur la peau correspond aux impressions de peau fossilisées découvertes sur un hadrosaure dans le sud de l'Utah. 

    Sword romaine représentant un dinosaureLe style Roman artefacts

    En 1924, certains objets de styles romains ont étés exhumés près de Tucson, AZ (voir ci-contre). Décrit à la page 331 du livre de David Hatcher’s

    les cités perdues du nord et l'Amérique centrale est l'unique sculpture sur ces instruments, en particulier une représentation claire de dinosaures sur une épée.

    La Société historique de l'Arizona a encore l'épée. 

    Cree Indian art représentant un plaqué et cornes créatureEnterrement Stone

    Une créature plaquée et cornée a également été découverte dans l'art indien Cree (extrême gauche) sur le rocher Agawa au Misshepezhieu, Parc provincial du lac Supérieur, Ontario, Canada.

    Également à gauche sur la photo est une pierre Inca de cérémonie funéraire qui est susceptible d'être de la culture Nasca.

    En 1571, les conquistadors espagnols ramenèrent les histoires qu'il y avait des créatures étranges sculptées sur les pierres trouvées dans cette région du Pérou.

    Aujourd'hui, plus de 1100 de ces pierres ont été trouvées par le Dr Javier Cabrera.Long cou créatures affichés sur la poterie au musée de Lima.Long cou créatures affichés sur la poterie au musée de Lima.Long cou créatures affichés sur la poterie au musée de Lima.

    Au début des années 1930, son père a trouvé bon nombre de ces pierres de cérémonies d'enterrement à Ica au Pérou sur de nombreuses tombes et a noté que les créatures dinosaures étaient représentées sur certaines d'entre eux.

    Retraité de l'Université de Lima, M. Cabrera était focalisé sur la validation de ces découvertes au sein de la communauté scientifique.

    Sa crédibilité a été renforcée par des créatures à long cou affichées sur la poterie au musée de Lima et de belles tapisseries des tombes du Nasca (vers 700 après JC) avec un motif répétitif qui ressemble à des dinosaures. . En effet, les représentations sur certaines des Pierres d'Ica montrent les dinosaures sauropod avec une crête d'épines tout comme celles découvertes par le paléontologue Stephen Czerkas.

    Tapisseries de la Nasca tombes (vers 700 après JC) avec un motif répétitif qui ressemble à des dinosaures.Tapisseries de la Nasca tombes (vers 700 après JC) avec un motif répétitif qui ressemble à des dinosaures.«Les récentes découvertes d'impressions de peau de fossiles sauropod (Diplodocidae) révèlent un aspect différent de manière significative pour ces dinosaures. Les peaux fossilisées démontrent la présence d'une ligne médiane d'épines ... Certaines sont très étroites, et d'autres sont plus larges et plus coniques." Geology , "New Look for Sauropod Dinosaurs,"

     

    "De plus, l'intérêt est le fait que la peau d'un grand nombre de dinosaures sculptés ressemblait à des rosettes cahoteuse. Certains scientifiques ont pointé sur ces différences pour dire que les pierres ne sont pas scientifiquement exactes. Cependant, de plus récentes découvertes de fossiles de peau et d'embryons de dinosaures ont réduit au silence ces mêmes critiques. Par exemple, Luis Chiappe et ses collèges ont examiné les embryons de dinosaure sauropod trouvés en Amérique du Sud: "Le modèle général de peau consiste en ronds, tubercule non chevauchés comme échelles ....


    Céramique au musée de Lima affichage long cou créatures.Céramique au musée de Lima affichage long cou créatures.

    Non loin du site Nasca d'Amérique du sud sont les sites archéologiques des indiens Moche.

    Ces tribus Moche habitaient le nord du Pérou aux environs de 100-800AD.

    Parmi les objets actuellement dans le musée de Lima sont des pots et des vases Mocha.

    Leur principal médium artistique est des pots en céramique rouges et blancs, qui dépeignent avec un réalisme singulier des actes médicaux, des évènements combatifs, des instruments de musique, des plantes et des animaux.

    Dans le musée Larco Herrera au Pérou il y a des vases montrant clairement des dinosaures. Certains de ces mêmes types de dinosaures sont indiqués sur la pierres d'Ica, y compris des ornements cutanés. Les photos ont été prises ici par le Dr Dennis Swift. 

    Figurines d'argile des Dinosaures rencontre entre 800 avant JC et 200 après JCFigurines d'argile des Dinosaures rencontre entre 800 avant JC et 200 après JCFigurines d'argile des Dinosaures rencontre entre 800 avant JC et 200 après JC

    . En 1945, l'archéologue Waldemar Julsrud découvre des figurines d'argile enterrées au pied de la montagne El Toro dans la banlieue de Acambaro, au Mexique.

     

    Finalement, plus de 33000 figurines en céramique ont été trouvées dans la région et identifiées avec la culture pré-classique Chupicuaro (800 avant JC à 200 après JC)

    L'authenticité des Julsrud trouvés ont étés contestées parce que l'immense collection comprenait des dinosaures. En 1954, le gouvernement mexicain a envoyé une équipe d'archéologues mener une enquête. En 1955, Charles Hapgood, professeur d'anthropologie à l'UNH, a effectué une enquête élaborée qui comprend notamment des datations radiométriques et des essais thermoluminescents par l'Université de Pennsylvanie. En 1990, une enquête a été menée par Neal Steedy, un archéologue qui travaille avec le gouvernement mexicain. Ainsi les travaux ont survécu à de nombreux essais et le gouvernement mexicain a même emprisonné deux hommes pour la vente de ces objets sur le marché noir. En outre, les dinosaures sont modélisés en poses très agiles, et actives, correspondant bien avec les données scientifiques les plus récentes et donnant du crédit aux artistes ayant effectivement observé ces créatures. Comme les pierres d'Ica, certains sauropod sont décrits avec une décoration distincte sur la colonne vertébrale. Il y avait un reste de cheval éteint depuis l'âge de glace, le squelette d'un mammouth, et un certain nombre d'anciens crânes humains trouvés au même endroit que les objets en céramique, validant l'ancienneté du site (Hapgood, Charles, 2000, p. 82) . Une autre preuve de l'authenticité des découvertes de Julsrud seront les figurines de dinosaure Iguanodon.. Dans les années 1940 et 1950, l'Iguanodon était complètement inconnu. Aucun hoaxer ne pouvait avoir connaissance de l'existence de l'Iguanodon, encore moins en faire un modèle, car ce n'était qu'en 1978 ou 1979 que des squelettes d'Iguanodons adultes ont été retrouvés avec des nids et des bébés. 

    Ashanti Gold figurine ressemblant à un dinosaure"Dans les années 1960, un chef de file concepteur de bijoux appelé Emanuel Staub a été commissionné par l'Université de Pennsylvanie ... à produire des répliques d'une série de petits poids en or obtenus au Ghana. ... Ils étaient alors si bien conçu que les animaux représentés pouvaient être instantanément identifiés par les zoologistes - tous, sauf un, qui ne pouvait pas être concilié de manière satisfaisante avec un animal connu, jusqu'à ce que Staub l'ai vu. " (Shuker, Dr. Karl PN, In Search of Prehistoric Survivors , 1995, p. 20.) Originellement photographiée reposant sur ses pattes arrière (comme un bipède), cet énigmatique figurine en or Ashanti est difficile à identifier.

    Une fois correctement positionné, Staub a noté que le mystérieux artefact ressemble de façon frappante à un dinosaure. Peut-être cette figurine est-elle une tentative de modéliser le sauropode Mokele-mbembe créature qui est dite habiter les régions reculées de l'Afrique équatoriale encore aujourd'hui. 

    Au musée de Manitou Springs, Colorado, est un artefact rare sculpté. C'est un bâton indien de prière (voir ci-dessous à gauche), ayant à peu près un pied de long, avec une crête de tête, les yeux des deux côtés, et avec un bec et une bouche. La belle œuvre artistique se distingue de manière frappante comme un ptérodactyle!Cette représentation d'un bouclier saxon (en bas à droite) révèle une créature comme un ptérosaure au repos. Les ailes sont repliées le long de son côté, un long bec plein de dents, une crête, et une queue unique rendant la représentation complète . 

    Le vol de reptiles widfloga était connu des Saxons et ce bouclier-patron est venu du site d'enfouissement deSutton Hoo . Il est visible dans le British Museum

    (cliquer pour agrandir) Indian Prayer Stick Saxon Shield - Click to Enlarge


    Pterosaur-like Depiction from the Middle Ages

     

    Rhamphorynchoid Pterosaur

    Un autre ptérosaure comme dépeint au Moyen Age est montré dans le livre d'Athanasius Kircher de 1678 Mundus Subterraneus. Ce dessin est tellement impérieux que Peter Wellnhofer (The Illustrated Encyclopedia of Pterosaurs, 1991, p. 20.) donne à penser qu'il aurait pu être basé sur les constats fossiles. Mais il est plus probable, qu'il est fondé sur des rapports plus anciens. Dans le livre de Kircher, Winkelried était censé avoir tué le dragon en Suisse durant les premiers jours de sa colonie particulière. L'écart anatomique le plus évident avec le ptérosaure (l'avant pieds) a été un plus récent ajout à la représentation du dragon . Le livre de GE Smith de 1919 L'évolution du Dragon explique que les notions anciennes incluent seulement un serpent comme corps, des ailes en cuir comme une chauve-souris, et deux jambes. Les pattes antérieures n'ont pas été ajoutés jusqu'au 16 e siècle. Kircher comprend également une image d'un dragon (à gauche) qui ressemble au ptérosaure rhamphorynchoid .



    Painting of Jason Charming the Dragon by Salvator RosaSelon la mythologie grecque, un héros nommé Jason, fils d'Aeson, a capturé une toison d'or qui était gardée par un dragon sifflant. Cette légende de Jason charmant le Dragon est mémorialisée dans une belle peinture (voir à gauche) par le multi talentueux artiste européen Salvator Rosa (1615-1673). Il est remarquable par sa ressemblance à un ptérosaurien. D'où Rosa a-t-il obtenu cette inspiration?

    Tomb of Richard BellEngravings from Tomb of Richard Bell

    En 1496 l'évêque de Carlisle, Richard Bell, a été enterré dans la cathédrale de Carlisle au Royaume-Uni. Le tombeau est incrusté de laiton, avec divers animaux gravés sur celui-ci (voir ci-contre). Bien que porté par les innombrables pieds qui marchaient sur elle depuis le Moyen Âge, une représentation notamment est unique dans sa ressemblance avec un dinosaure. Parmi les oiseaux, le chien, l'anguille, etc, cette représentation claire de deux créatures à longs cous devraient être considérée comme la preuve que l'homme et les dinosaures ont coexisté
    On pourrait penser que de telles preuves seraient très problématiques pour la théorie de l'évolution. En effet le Dr Philip Kitcher, dans son livre anti-créationniste 'Ceux qui abusent de la Science', affirme que des preuves solides que les dinosaures et l'homme ont co-existé «secouerait les fondations de la théorie de l'évolution." (1998, p. 121) De même, Strahler insiste sur le fait qu' «il est concevable qu'un scientifique fera un jour la découverte d'ossements humains parmi les os de dinosaures. Dans cette relation il est jugé hautement probable que les humains et les dinosaures vivaient en même temps. Une telle constatation porterait un coup dur à l'hypothèse largement favorable d'une séquence unique dans l'évolution. Dans le langage de Popper, l'hypothèse de l'évolution serait falsifiée. " (Strahler, Arthur N., de la science et l'histoire de la Terre: l'évolution / La controverse de création, 1999, p. 17.). Malheureusement, l'histoire des théories darwiniennes suggère que tous ces éléments de preuve seraient rapidement assimilés à la théorie en évolution. Mais on peut au moins espérer que davantage de preuves viennent à la lumière, la crédibilité des raconteurs de l'histoire évolutive va enfin devenir mince!
     

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     Kymapetra Les pierres qui chantent 

    scenocosme : Grégory Lasserre & Anaïs met den Ancxt 
    installation interactive au Musée départemental de Préhistoire d'Ile-de-France 
    Le spectateur, en posant sa main au-dessus d’une pierre, entre en résonance avec elle. Le frôlement corps/matière se transforme en vibrations sonores. Celles-ci deviennent visibles à la surface de l’eau en une myriade de vaguelettes. 
    La propagation des vibrations acoustiques à la surface de l’eau dessine alors une composition géométrique constituée de creux et de ventres. Les figures varient en fonction des intensités du contact, de la personne et des pierres. 

    ce qui prouve bien qu'une technologie complétement naturelle nous échappe et que grâce à elle demain nous pourrions nous passer de sources d'energies beaucoup trop couteuses et polluantes

     

    Kymapetra
    Les pierres qui chantent 
    scenocosme : Grégory Lasserre & Anaïs met den Ancxt

     

    Préambule

    Nous accordons parfois une attention particulière à certains minéraux. Leurs formes diverses sont forgées minutieusement par le temps. Cassées, polies, composites ou fossiles, chacune témoigne à sa manière d’une vibration naturelle, et donc d’une histoire. Les pierres sont en effet le témoin de la création de notre monde et de son évolution. Dans certaines légendes, on raconte aussi qu’au détour de chemins ancestraux on aurait découvert et entendu des pierres qui chantent. D’autres encore seraient reconnues pour leurs propriétés énergétiques. 



    Description 

    kymapetra est une installation interactive qui, par une approche artistique et poétique s’inspire de ces diverses croyances. L’œuvre visible est composée de 5 pierres disposées en demi-lune autour d’une vasque centrale remplie d’eau. Le spectateur, en posant sa main au-dessus d’une pierre, entre en résonance avec elle. Le frôlement corps/matière se transforme en vibrations sonores. Celles-ci deviennent visibles à la surface de la l’eau en une myriade de vaguelettes. La propagation des vibrations acoustiques à la surface de l’eau dessine alors une composition géométrique constituée de creux et de ventres. Les figures varient en fonction des intensités du contact, de la personne et des pierres.



    Les spectateurs sont invités
    à disposer leurs mains 
    au-dessus des pierres 





    Les formes d’ondes sonores apparaissent 
    dans la vasque remplie d’eau

     


    Kimapetra : Version 2 / Grande vasque 






    Kimapetra : Version 1 / Socle 
     

     

      


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