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    Un mystérieux abbé Trithème

    Quel fut, au XVe siècle, le secret du mystérieux abbé Trithème? Jean de Heidenbefg prit ce nom lorsqu'il fonda avec deux amis, en 1480, une société secrète pour l'étude de la magie, des nombres et mathématiques. Il écrivit une œuvre étrange qui fut détruite par le feu sur ordre de l'électeur Philippe (le comte palatin Philippe II), la ‘Stéganographie’. Il n'en a jamais été conservé un exemplaire complet. Et pour cause ! Voici comment en parle son auteur lui-même : « Je peux vous assurer que cette œuvre par laquelle j'enseigne nombre de secrets et de mystères peu connus semblera à tous, encore plus aux ignorants, contenir des choses surhumaines, admirables et incroyables, attendu qu'auparavant personne n'en a jamais écrit ou parlé avant moi. Le premier livre contient et montre plus de cent façons d'écrire secrètement et sans aucune suspicion tout ce qu'on voudra et dans n'importe quelle langue connue, sans que l'on puisse en soupçonner la teneur. Dans le second livre, je traiterai de choses encore plus merveilleuses qui s'apparentent à certains moyens grâce auxquels je puis, d'une façon sûre, imposer ma volonté à quiconque saisira le sens de ma science, aussi loin soit-il, même à plus de cent lieues de moi, et cela sans qu'on puisse me soupçonner d'employer signes, figures ou caractères quelconques. »
    L'abbé Trithème a-t-il inventé la radio et perfectionné le système au point de le rendre indétectable ? Il est peu probable qu'il s'agisse de la transmission d'ondes telle que nous la connaissons aujourd'hui. Son secret dispose d’un champ d'applications autrement plus vaste. Il semble avoir fait une découverte formidable permettant de transmettre des informations sans qu’elles puissent être décelées, mais aussi d'agir à distance, d'influencer, de mouvoir la matière de très loin, de résoudre des énigmes, de connaître ce qui est secret, etc. C'est du moins ce qu'il prétend dans sa préface. Si ce n'avait été qu'un vulgaire délire, pourquoi aurait-on détruit le livre ? Pourquoi les fragments qui purent en être recopiés, et pourtant difficilement utilisables, furent-ils frappés de l'interdiction de l'Eglise jusqu'en 1909 ?
    Beaucoup plus tard, au XVIIe, le père Le Brun signale que l'utilisation de certains des secrets de Trithème comporte la nécessité d'un appareillage. « J'ai ouï dire plusieurs fois, écrit-il, que quelques personnes s'étaient communiqué des secrets, plus de cinquante lieues plus loin, par des aiguilles aimantées. Deux amis prenaient chacun une (sorte de) boussole, autour de laquelle étaient gravées les lettres de l'alphabet, et on prétendait qu'un des amis faisant approcher l'aiguille de quelqu'une des lettres, l'autre aiguille, quoique éloignée de plusieurs lieues, se tournait aussitôt vers la même lettre. » Le père Le Brun a expliqué les choses avec les mots qu'il avait à sa disposition : boussole, aiguille aimantée, lettres de l'alphabet, correspondance « magique » entre les sujets. Il semble plutôt à notre mentalité moderne qu'il s'agisse de quelque chose de beaucoup plus compliqué, d'un appareillage de transmission basé peut-être sur des ferrites, des transistors. Et encore, ce ne sont là que les miettes des secrets de Trithème que ces deux « amis » du XVIIIe siècle utilisaient pour correspondre sur des distances de 4 à 500 kilomètres !

    et pour en savoir plus je vous conseille ce superbe livre:

     

     Le cristal magique Robert Ambelain

     

     http://www.france-secret.com/excalibur_art3.htm


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  • le rose welle

     

    un beau gâteau que j'avais fait pour une personne qui aimait les extraterrestres et mon portefeuille mais bon il me reste ma créativité si vous voulez la recette n'hésitez pas 

     
     
     
     
     


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  • du blog de frey allez y faire un tour il est superbe 

     

     http://antigravity.over-blog.com/ext/http://virtuellife.centerblog.net/rub-60-les-sousterrains-de-l-ile-de-malte-.html

     

     Je suis en vacances ce vendredi, ce sera donc mon dernier sujet avant mon retour en septembre, et je tenais à ce que ce dernier sujet soit vraiment intéressant.

     

    Pour moi c’est un sujet que j’ai trouvé vraiment des plus intéressant, et je tenais à le faire découvrir à ceux qui ne l’ auraient jamais lu encore, je l’ai recopié à la main comme un grand, la source en est la revue : Top Secret : http://www.topsecret.fr/FR/article.php

     

    La clef secrète du Vatican...

     

    Saint-Pierre, le ‘’ prince des apôtres ‘’ fut crucifié la tête en bas, à Rome le 13 octobre 64 sous le règne de Néron, dans un cirque romain qui se trouvait à l’emplacement exact du Vatican.

     

    Son supplice eut lieu au pied de l’obélisque qui est aujourd’hui au centre de la place St-Pierre. Sa dépouille mortelle fut redécouverte en 1953.

     

    C’est donc sur un haut lieu de sacrifices humains que fut érigé le Vatican, siège de la plus puissante organisation religieuse du monde.

     

    Pour imager ce propos, qu’il nous soit permis d’ajouter que les fondations du Vatican reposent, au sens propre comme au sens figuré, sur l’acte sacrificiel de celui qui est présenté comme le premier pape de la chrétienté. Cette circonstance est assez troublante pour être signalée.

     

    Rappelons que le sacrifice rituel a toujours été considéré par les sociétés ésotériques anciennes, comme étant le moyen le plus sur de s’attacher les faveurs des Dieux.

     

    Pour bien comprendre la profondeur de ce qui est exposé ici, les lecteurs devront avoir connaissance de l’étendue du pouvoir effectif du Vatican, et de la position exacte qu’il occupe sur la pyramide tronquée, symbole de la réalité structurelle des hiérarchies sur et ‘’ au dessus ‘’ de la Terre.

     

    Démonstration en a été faite de ce pouvoir, sans aucune ambiguité, à l’occasion par exemple des funérailles du pape Jean-Paul II. Mais la question du pouvoir du Vatican n’est pas le sujet qui occupe aujourd’hui l’article de Thierry Van De Leur.

     

    Les Clefs de Saint-Pierre…

     

    Le blason du Vatican arbore des clefs croisées, l’une d’or, l’autre d’argent, avec des mécanismes en haut et tournés du coté de l’écu, surmontées de la tiare papale sur champ rouge. Les clefs symbolisent les pouvoirs spirituels et temporels des papes. La tiare papale est surmontée de trois coronnes.

     

    http://nsa16.casimages.com/img/2010/07/27/100727042124806785.jpg

     

    Le Vatican recèle, on s’en doute, de nombreux mystères, le symbolisme y tient une place importante et contient des messages en rapport avec le passé et l’avenir de l’humanité. Messages qui ne demandent qu’à être déchiffrés.

     

    La serrure…

     

    En 1667, le Bernin dessina le plan de l’actuelle place St-Pierre, gigantesque ellipse de 240 m de large et 196 m de long dotée de 284 colonnes, 88 pilastres, et 140 statues de Saints, de 3 mètres…

     

    Vue du ciel, la place a manifestement la forme d’un trou de serrure. Qui de nos jours a remarqué ce détail tellement symbolique ?

     

    La colonnade recèle un autre petit secret : il y a entre l’obélisque et chacune des fontaines un disque de porphyre rouge incrusté dans le pavement. Ces disques indiquent les foyers de l’élipse que forme les colonnes, et à ces endroits, la colonnade semble n’ être constituée que d’une rangée de colonne, alors qu’il y en a quatre. Illusion voulue par le bernin.

     

    Ainsi, si cette place St-Pierre est un ‘’ trou de serrure ‘’, alors la question est de savoir ou se trouve la clef ?

     

    Les deux clefs…

     

    En fait, il existe deux clefs, comme dans les armoiries du Vatican ! La clef ‘’ spirituelle ‘’, en or se trouve en permanence au bon endroit, dans l’axe de la serrure : elle est symbolisée par l’ obelisque égyptien qui se trouve au centre de la place, ce monolythe de granite rouge haut de 25.36 mètres pèse plus de 300 tonnes.

     

     

    Initialement taillé au 1er siècle avant Jésus Christ à Héliopolis, pour le préfet romain en Egypte Caïus Cornelius Gallus, il sera transporté d’ Héliopolis à Rome en 37 sur l’ordre de Caligula qui le fera dresser au centre du cirque de Néron au pied de la colline du Vatican.

     

    Cet obélisque ne porte aucune inscription hiéroglyphique. Caligula le dédia ‘’ au divin César Auguste ‘’. En 1586, le pape Sixte Quint ( pape de 1585 à 1590 ) fit déplacer l’obélisque devant la basilique St-Pierre. L’entreprise qui dura une année entière nécessita plus de 900 hommes et 150 cheveaux.

     

    Anecdote : un silence complet avait été exigé durant l’erection de l’obélisque, sous peine de mort.

     

    Le globe de César qui se trouvait sur la pointe de l’obélisque fut remplacé par une croix, reliquaire contenant ‘’ parrait -il ‘’ un morceau de la Sainte Croix.

     

    Cet obélisque égyptien, comme tout les autres, symbolise un rayon de soleil pétrifié ! En général, ces colonnes possédaient toutes un pyramidion en or massif. Cet obélisque est également un gnomon qui projette son ombre sur un cadran à 8 sections.

     

    Par son déplacement dans le trou de serrure virtuel crée par le Bernin, cette ombre symbolise les tours de clefs d’ouverture et de fermeture du Soleil…

     

    L’obélisque de la place Saint-Pierre est à 2.5 km de la colonne de Trajan sur laquelle trone depuis le XVIe siècle, une statue de Saint-Pierre. En rejoignant ces deux colonnes, la ligne atteint l’endroit exact d’ou la Pape s’adresse aux chrétiens, sur le coté droit de la place St Pierre.

     

    Ce point est également indiqué par la ligne qui rejoint la pyramide de Rome et cet obélisque. Reste donc à savoir ou se trouve la seconde clef. Symbole du pouvoir temporel, cette clef est la plus imposante, et aussi la plus ancrée dans la terre, contrairement à la clef obélisque qui se dresse vers les cieux. La seconde clef, est en fait la Basilique St-Pierre elle même…

     

    En effet vu du ciel, on reconnaît nettement la section d’une clef spéciale… en forme de croix latine. D’un point de vue structurel, la Basilique s'inscrit parfaitement dans la place ‘’ trou de serrure ‘’ du Bernin. Tellement parfaitement qu’on peut même affirmer que l’axe de cette clef est matérialisé par la tombe de Saint-Pierre sous le dôme de la Basilique.

     

    Si l’on superpose les plans de la ‘’ place serrure ‘’ et ceux de la ‘’ Basilique clef ‘’ , la tombe et l’obélisque ne font plus qu’un. Pour pouvoir ‘’ rentrer ‘’ la Basilique actuelle ou même l’ancienne, dans la ‘’ place serrure ‘’, il est obligatoire de faire coïncider la tombe et l’obélisque.

     

     

     

    Ci dessus à gauche, le Vatican vu par satellite. La place Saint-Pierre apparait comme une '' serrure ". L'obélisque est la clef bien placée.

     

    A droite, petit montage, la " clef Basilique St Pierre " est entrée dans la serrure. Il faut imaginer le manche de la clef, avec l'anneau, enfoncé verticalement sous la terre. Si l'on en croit le symbole, ce serait donc dans les entrailles de Rome que devrait se trouver le secret du pouvoir temporel... 

     

     

    Toujours par le jeu de la superposition, les deux fontaines, de part et d’autres de l’obélisque, correspondent aux branches droites et gauches de la croix latine qui servit de modèle à cette Basilique. Elles symbolisent probablement les clous dans les mains et le sang du Christ qui s ‘en échappe.

     

    A 14 mètres de hauteur, les jets de ces fontaines évacuent pour plus de 2.3 millions de litres d’eau à l’heure.

     

    La Basilique actuelle ( l’église la plus grande du monde ), inaugurée en 1626, a succédé à une autre construite au IV e siècle par l’empereur Constantin. Elle est batie sur l’emplacement exact et dans le même axe. Déjà, à l’époque, la Basilique de Constantin, était elle même construite sur les ruines du cirque de Néron. Le point exact ou se trouve à présent l’obélisque indiquait l’endroit ou mourrut Saint-Pierre, sur le coté droit du cirque.

     

    Le grand secret du Vatican…

     

    Concrétement, les deux clefs et la serrure ont été mis en place entre 1586 et 1626. Ils ouvrent le grand secret du Vatican !

     

    C’est la clef d’or spirituelle ( obélisque ) qui est révélatrice  du grand secret du Vatican. En effet, l’obélisque de la place Saint-Pierre semble détenir le grand secret temporel de l’eglise. Pour s’en convaincre, il faut se référer à la prophétie des papes, publiée pour la 1ere fois en 1595 par le bénedictin Arnold de Wion.

     

    L’œuvre est attribuée  à Saint Malachie d’Armagh, évêque d’Irlande né en 1094 et morten 1148 à Clairvaux. Cependant certains chercheurs pensent au contraire que l’ouvrage fut écrit quelques siècles plus tard, par un autre rédacteur illustre, grand ami des papes, lequel aurait rédigé les prophéties quelques mois seulement avant leur première publication.

     

    Quoi qu’il en soit, la prophétie des papes désigne 111 papes sur une période débutant  à partir du pontificat de Célestin II (1113-14). A chacun des ces papes, la prophétie attribue une devise censée le caractériser. Force est de constater que de nombreuses devises se sont révélées spéctaculairement exactes.

     

    A ce jour le Vatican n’a jamais condamné cette prophétie, de plus nombreux sont les souverains pontifes qui firent frapper des médailles à leur éffigie avec la devise que leur avait attribuée Malachie.

     

    Cerise sur le gateau : à Rome, dans l’église Saint-Paul hors les murs, les successeurs de Saint-Pierre figurent dans des médaillons en céramique, il ne reste plus que deux places vacantes correspondant aux deux derniers papes.

     

    Dernièrement, début 2005, un des médaillons vierges, s’est descellé à plusieurs reprises, à la stupéfaction des ouvriers chargés de le re-fixer !

     

    Quel rapport avec l’obélisque du Vatican… ?

     

    Dans un geste symbolique, surement dicté par un mystérieux cahier des charges  clérical , ce monument fut érigé le 10 septembre 1586 dans l’axe de la basilique et de la tombe de Saint-Pierre, pendant le pontificat de Sixte Quint ( 1585 - 1590). La notion d’ axe a une importance majeure dans toute cette histoire !

     

    Sur cet axe, par exemple, au début de la nef, est inséré dans le pavement le large disque de porphyre rouge sur lequel Charlemagne s’agenouilla la nuit de noël de l’an 800 quand le pape Léon III le couronna empereur d’Occident. D’autres souverains suivirent cette étrange pratique…

     

    C’est donc le pape Sixte Quint  qui fit poser cet axe symbolique au milieu de la place Saint-Pierre pour marquer une période bien précise en rapport avec la prophétie de Saint-Malachie : Son pontificat… charnière !

     

    En effet, dans sa prophétie, Malachie, a attribué au 73e pape de sa liste, le pape Sixte Quint, la devise la plus compréhensive de toutes : ‘’ Axis in médiatatae signi ‘’ , qui signifie ‘’ Axe à la moitié du signe ‘’ ou plus probablement  ‘’ Axe au milieu du présage ‘’.

     

    Cette devise a mis la puce à l’oreille d’un interprète génial, Raoul Auclair qui commença alors à analyser mathématiquement  ces prophéties : il arriva à la conclusion que la moitié du pontificat de Sixte Quint ( entre 1587 - 1588 ) correspondait à la moitié de la prophétie dont la durée totale  serait donc de 888 années.

     

    La moitié ( 444 années ) fut l’occasion d’un geste symbolique : la pose, à partir de 1586, d’une série de 4 obélisques dont le 1er et le plus symbolique au milieu de la place Saint-Peirre. Le second fut érigé en 1587, il s’agit de l’obélisque de la place de l’Esquilin  ( piazza de l’ Esquilino), devant le chevet de la basilique Sainte-Marie-Maajeure.

     

    En 1588, se fut l’obélisque de la place Saint-Jean de Latran provenant de Karnak, dédié aux pharaons Touthmôsis III et IV. En 1589 , enfin ce fut le tour de l’obélisque de la piazza del Popolo, provenant d’ Héliopolis et dédié à Séthi 1er et Ramsès II.

     

    Ces monuments sont placés de telle sorte que chacune des lignes qui les rejoignent à l’obélisque de Saint-Pierre passe par la grande entrée de la colonnade du Bernin  ( la serrure ) . Autrement formulé , on peut penser que si l’obélisque est l’ axe  de la clef, les quatres monuments réunis représente la clef entière qui pénètre dans la serrure.

     

    Mais revenons à la prophétie…

     

    Si nous prenons comme référence l’érection de l’obélisque sur la place Saint-Pierre comme point de repère de la moitié de la prophétie, alors la seconde période de 444 ans amènera la fin de la prophétie de Saint-Malachie aux alentours de 2031.

     

    Cela laisse une période de 25 ans durant laquelle doivent se succéder les deux derniers chefs de l’église  prédit par la prophétie : le pape nouvellement élu, et son successeur, un mystérieux  ‘’ Pierre le Romain ‘’.

     

    Une telle cohérence entre le nombre de pape et la durée de la période ne peut que troubler le lecteur. Cela d’autant plus que l’année 2031 se trouve être très proche de l’anniversaire du bimillénaire de la mort du Christ.

     

    Or, une tradition rapportée par St-Justin, St-Irénée, St-Anastase, St-Hilaire, St-Jérome, et St-Augustin, les pères de l’église, assigne justement à l’église une longévité de 2000 ans à la suite de quoi viendra ‘’ une fin des temps ‘’, ou ‘’ fin de notre monde ‘’, une date butoir qui laissera place à un changement radical.

     

    Peut-on imaginer l’existence d’un ‘’ mandat ‘’ occulte de l’église, comme un pacte d’une durée limitée à 2000 ans, et dont les papes seuls, une fois élus, découvriraient le secret ?

     

    Peut-on imaginer dans ce cas, qu’un pape ait voulu rendre public une trame codée de ce contrat, et qu’il ait passé ‘’ commande ‘’ de la prophétie des papes à un rédacteur de confiance, quelque soit son nom. Ainsi la prophétie des papes ne serait pas une prophétie à proprement parler, mais plutôt la transcription  cryptée des clauses d’un contrat fantastique que l’église aurait passé avec celui dont elle aurait reçu les clefs du pouvoir.

     

    Dans cette perspective, le Vatican serait non pas soumis aux fils d’un mystérieux ‘’ destin ‘’ inéluctable, mais en réalité, il serait tenu de respecter, de suivre à la lettre, et de se conformer à des clauses contractuelles… Ceci expliquerait alors la précision inouïe de la prophétie des papes…

     

    Cette interprétation a certe de quoi donner le vertige, mais ne dit-on pas que les papes une fois élus, doivent s’isoler un moment dans une petite salle secrète de la bibliothèque du Vatican ? Une salle souterraine qui ne contiendrait qu’un seul livre et dont ils seraient les seuls à détenir la clef ?

     

    Ne dit-on pas que certains d’entre eux sont ressortis de cette salle en proie à une très vive émotion ? C’est en tout cas ce que raconte la rumeur, alimentée par le secret absolue qui règne autour de l’élection de chaque nouveau pape.

     

    Quoi qu’il en soit, le rédacteur de la prophétie n’a pas pu inventer cette période de deux millénaires ! En effet pendant les 444 premières années de sa prophétie, 72 souverains pontifes se sont succédés ; pendant la même durée de 444 ans qui a suivi, la prophétie n’en a prévu que 40 !

     

    Comment l’auteur savait il que trois ou quatre siècles plus tard, la durée de vie allait s’accroître progressivement, entrainant une durée de règne pontifical presque doublée ?

     

    Cette précision visionnaire est peut-être le plus grand mystère des prophéties de Malachie. En tous cas, s’il ne devait en rester qu’un, ce serait sans doute celui-là…

     

    La prophétie et la période à venir…

     

    Que dit la prophétie sur la période à venir ?

    Le texte a assigné au nouveau pape, Benoit XVI, 111e pape de  la prophétie, la devise suivante : ‘’ De gloria olivae ‘’ …. de la gloire de l’olivier.

     

    Quel est le lien entre ce pape d’origine allemande et l’olivier ? A n’en pas douter, l’avenir nous le dira, car c’est sous ce signe que Joseph Ratzinger devra honorer sa part du contrat.

     

    Puis, sans numéro, arrive enfin ‘’ Pierre le Romain ‘’ dont on sait ceci : ‘’ Pendant la dernière persécution de la sainte église romaine, siégera Pierre le Romain qui paitra ses brebis au milieu de grandes tribulations, passées lesquelles la ville aux sept collines sera détruite et le juge terrible jugera son peuple ‘’…

     

    Aucune mention de date…

    Ainsi, d’après les prophéties, l’Eglise se terminera avec certain ‘’ Pierre le Romain ‘’, la boucle est bouclée, Pierre qui a été chargé de fonder l’Eglise , a également la tâche de la délier.

     

    Fin.

     

    Jean Paul II lui même n’était pas à l’abri des critiques, voici quelques exemples de photos qui ont franchement défrayé la chronique en leur temps.

     

     

    Jean Paul II en visite sur le site du sermon de la montagne, le trône pontifical arbore une croix renversée… !  sans aucun doute possible, c’était la un choix volontaire…

     

    Cela arriva plus souvent qu’on l’imagine d’ailleurs…

     

    http://www.bibleetnombres.online.fr/images27/trone_jp_II_2000.jpg

     

    http://www.bibleetnombres.online.fr/images27/trone_jp_II_2000s.jpg

     

    http://esaie.free.fr/images/catho/papecroixrenversee.jpg

     

    Voyage de Jean Paul II en Pologne, on y voit le Christ crucifié face contre la croix !

     

     

     

     

     

     

     

    Cette photo représente le summum du blasphème pour les croyants, et ce fut la première et dernière fois que l’on vit le pape avec cette croix pontificale !?

     

     

     

     

    Que penser également de cette ‘’ étoile noire ‘’  étrange œuvre appartenant et tronant en plein cœur du Vatican… !

     

    Le pape Sixte - Quint un pape hors norme…

     

    Le pape Sixte-Quint qui désigne la moitié de la prophétie des papes ne pouvait pas être un pape ordinaire. L’histoire raconte ceci à son sujet : Véritable force de la nature, pour être élu, il monta toute une comédie.

     

    Il fit semblant d’être aveugle et complétement infirme. Tenant la tête continuellement penchée comme un vieillard, il ne marchait qu’en s’appuyant lourdement sur un bâton, n’ayant plus la force de se soutenir et manquant de s’écrouler à chaque pas.

     

    Il parlait d’une voix imperceptible. Pris d’épouventable quintes de toux ; il donnait véritablement l’impression d’être sur le point de mourir. Cette comédie dura 13 années et tout le monde avait peu à peu fini par y croire.

     

    Lorsque le conclave eut lieu, les cardinaux, ne parvenant pas à se mettre d’accord sur un candidat, décidèrent de gagner du temps en portant leur voix sur un homme qui semblait ne plus avoir qu’un souffle de vie et ne paraissait guère dangereux.

     

    Lorsqu’ils eurent tous votés et qu’on annonça la nouvelle au futur Sixte-Quint , celui ci se redressa brusquement, jeta ses béquilles et entonna un Te Deum d’une voix de stentor qui terrifia tous les cardinaux.

     

    Le règne du pape le plus étonnant de l’histoire commençait par un drôle de ‘’ miracle ‘’. Il mourut le 27 août 1590…

     

    La prophétie des papes, une précision fantastique ?

     

    Comme semble le prouver les exemples qui suivent, certaines devises utilisées par Malachie pour dépeindre en deux mots les pontificats des 111 papes de sa liste ne peuvent pas être une coïncidence !

     

    Le premier pape répertorié, Célestin II qui est défini par les mots ‘’ Ex Castro Tiberi ‘’ c’est-à-dire ‘’ Du Château de Tibre ‘’, venait effectivement de la petite ville de Citta Di Castello ( Château ), placée sur le bord du Tibre.

     

    Pie VII : ‘’ Aigle ravisseur ‘’ , fut dépouillé de ses états par Napoléon (l’Aigle Impérial ).

     

    Grégoire VII : ‘’ de Balnès en Etrurie ‘’ était religieux camaldule dont la maison mère se trouvait à Balnès.

     

    Pie IX : ‘’ Croix venant de la Croix ‘’, fut chassé de ses états par la maison de Savoie dont les armes portent la croix de Savoie.

     

    Léon XIII : ‘’ La lumière dans le ciel ‘’ ses armoiries portaient une comète !

     

    Benoit XV : ‘’ La religion décimée ‘’, régna pendant la 1er  guerre mondiale.

     

    Paul VI : ‘’ la fleur des fleurs ‘’ né à Florence dont les armoiries portent un Lys rouge…

     

    Jean Paul 1er : ‘’ De la moitié de la Lune ‘’ , meurt le 28 septembre au milieu du mois lunaire, après 33 jours de règne !

     

    Jean Paul II : ‘’ De Dolore Solis ‘’ ( du travail du Soleil ) Naquit un jour d’éclipse solaire, le 18 mai 1920. Il est à l’origine de la première réunion internationale inter-religieuse, réunissant plus de 194 chefs de religions.

     

    Il parcourut plus de 129 pays pendant son pontificat, plus de cinq cents millions de personnes ayant pu le voir durant cette période. Il béatifia 1 340 personnes et canonisa 483 saints, soit plus que pendant les cinq siècles précédents…

     

    La foule innombrable des fidèles lui rendant un vibrant hommage lors de sa mort, réclama la béatification immédiate, afin que son nom demeure marqué en toute lettre dans l’histoire.

     

    Qu’en sera-t-il de Benoit XVI lequel se voit attribué la devise ‘’ De gloria olivae ‘’ , ‘’ de la gloire de l’olivier ‘’… ?

     

    Source : http://www.topsecret.fr/FR/article.php


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