•  SYNTHESE - MÉDECINE

    Un bras qui repousse ?

    Quand une salamandre perd une patte, le membre repousse spontanément. Les biologistes commencent à comprendre les mécanismes d'une telle régénération et espèrent améliorer la « réparation » des amputations et des blessures graves.
    Ken Muneoka & Manjong Han & David Gardiner
    © Aaron Goodman

    La régénération des membres sera-t-elle un jour possible?

    L'auteur

    Ken MUNEOKA est professeur de biologie dans le Département de biologie cellulaire et moléculaire de l'Université Tulane, à la Nouvelle- Orléans, aux États-Unis, où Manjong HAN travaille. David GARDINER est biologiste à l'Université de Californie, à Irvine.

    Un bras amputé qui repousserait… Un phénomène de « régénération spontanée » qui évoque certains films de science-fiction, mais qui paraît bien utopique. Peut-être pas tant que cela si l'on considère ce qui se passe chez les salamandres. Les pattes de ces animaux sont plus petites et plus fines que des bras, mais elles ne sont guère différentes. Un membre de salamandre est recouvert de peau, et il est composé d'un squelette osseux, de muscles, de ligaments, de tendons, de nerfs et de vaisseaux sanguins. Et un réseau lâche de cellules nommées fibroblastes confère leur cohésion à ces tissus internes et donne sa forme à la patte. Le bras de l'homme est anatomiquement semblable.


     

    oups ratage de place?

    Mais la patte de salamandre est unique dans le monde des vertébrés : elle repousse à partir du moignon qui reste après une amputation.

     


    Ainsi, une patte de salamandre adulte peut repousser de nombreuses fois, quel que soit le nombre d'amputations. C'est également le cas chez les têtards de grenouille, mais la grenouille adulte perd cette capacité. Même les embryons de mammifères sont capables de remplacer des bourgeons de segment – c'est-à-dire une ébauche de membre lors du développement embryonnaire –, mais cette aptitude disparaît longtemps avant la naissance. En effet, les capacités régénératives tendent à diminuer au cours du développement chez tous les animaux supérieurs ; la salamandre est le seul vertébré qui conserve cette étonnante capacité tout au long de sa vie.

    Comment fait-elle ?...


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  •    ça fait deux fois que je prend des fées en photo j'ai cherché sur le net ce qui pouvait y ressembler mais je n'ai trouvé que des photos montage les miennes sont des vraies, pourtant beaucoup de gens disent avoir vu des fées pour de vraie alors moi je les crois comme je crois aux fées

     

     

     http://www.chemainsdelumiere.com/index.htm

    Contrairement à ce que la plupart des scientifiques essayent de nous faire croire selon leur vision 3D cartésienne et étriquée de l'Univers, les dévas et les esprits de la nature n'existent pas que dans les contes de fées. Ils sont une réalité accessible à tous ceux qui ont ouvert leurs yeux spirituels. 

    Mais cette réalité est dérangeante pour bon nombre d'entre nous, notamment ceux qui ont choisi de profiter sans état d'âme du système actuel selon lequel, en dehors de l'homme, il n'existe que des produits de consommation. De fait, les minéraux, les végétaux et même les animaux sont considérés aujourd'hui dans la plupart de nos sociétés comme de simples produits qu'on peut acheter et vendre, qu'on peut tuer ou faire souffrir en toute impunité, et aux oreilles desquels on n'hésite même plus à agrafer des étiquettes avec des code-barres pour essayer de nous habituer à l'idée qu'il s'agit avant tout de marchandises et non d'êtres vivants. 

    Or on ne peut pas coller une étiquette sur une fée ni sur un lutin ni sur un déva. C'est eux-mêmes qui nous jaugent et qui choisissent de se montrer ou non à certains humains en fonction de la pureté de leur aura, de leur émanation et de l'amour qu'ils irradient ou non. Mais c'est un aspect de la réalité inacceptable pour le monde des scientifiques. Dans leur orgueil insensé, ils ne consentent à connaître et à reconnaître que les formes de vie que les instruments 3D qu'ils ont mis au point sont capables d'enregistrer, et qu'ils peuvent ensuite analyser, comparer, classifier et nomenclaturer. 

    Un assez bon exemple de cette manière déplorable de considérer la nature et ses habitants est fourni par "l'affaire" des photos de fées de Cottingley. Près d'un siècle après les faits qui se déroulèrent dans ce petit village du Yorkshire, en Angleterre, au début du siècle dernier, et qui eurent un retentissement médiatique considérable en raison de l'implication du célèbre Conan Doyle (auteur de la série des Sherlock Holmes) dans la polémique qui s'ensuivit, on continue aujourd'hui à parler de mensonge, de supercherie, de mystification, d'arnaque, sous prétexte qu'il s'agit de montages et sans prendre en compte la réalité à laquelle se réfèrent ces montages et à laquelle de nombreux médiums ont quotidiennement accès. 
     

     
    Les photos de fées de Cottingley 


    Les deux jeunes filles qui réalisèrent à l'époque les clichés ci-dessus, n'ont JAMAIS affirmé que ces photos n'étaient pas des montages. Au contraire, Elsie Wright et Frances Griffiths ont maintenu jusqu'à leur mort la même version des faits : il s'agit bien de photos retouchées réalisées en superposant des négatifs de photos de personnages dessinés à des négatifs de photos d'elles-mêmes sur fond de paysages, mais le seul et unique but de ces montages était de restituer le plus fidèlement possible l'image des véritables scènes auxquelles elles étaient toutes deux RÉELLEMENT confrontées quotidiennement dans la clairière de Cottingley près de laquelle elles résidaient au temps de leur jeunesse. 

    Et pourquoi avoir recouru à ce subterfuge ? Tout simplement parce que les fées et les esprits de la nature sont constitués d'une matière semi-éthérique si subtile qu'elle n'est pas enregistrable sur une pellicule photographique. Le seul moyen, pour les deux jeunes femmes, de transmettre à leurs parents puis à leurs proches des images assez fidèles de leur vécu était donc de recourir à ces manipulations. 

    Mais il ne s'agit aucunement de tricherie : elles ont toujours affirmé avoir connu et partagé le monde des fées et des esprits de la nature, mais jamais prétendu que leurs photos n'étaient pas des montages. Ce qui n'a pas empêché certains scientifiques d'utiliser ces montages pour tenter de démontrer que les fées et les esprits de la nature n'existent pas. 

    En réalité, ces esprits ne sont pas totalement invisibles, mais étant donné qu'ils ont un corps fait de pure énergie d'une quintessence très proche de celle de la lumière, ils sont capables de se fondre avec leur environnement naturel dont ils adoptent les formes et les couleurs. Voilà pourquoi il est si difficile de les voir et de les photographier ! 

    Les fées et les esprits de la nature habitent la matière et les éléments qui la composent : la Terre, l'Eau, l'Air et le Feu. C'est pourquoi ils sont fréquemment appelés les "élémentaux" ou "élémentals". Ils sont en quelque sorte les gardiens de la nature, ils veillent sur la croissance des animaux et des plantes, composent la part spirituelle de la Terre, des pierres, des rivières ou du vent. 

    La matière dans laquelle ces esprits peuvent se manifester s'appelle l'éther. L'éther se compose de différentes couches plus ou moins denses, plus ou moins proches de la matière. Mais ces couches vibrent sur des fréquences qui, en général, rendent les êtres qui les occupent invisibles, inaudibles et impalpables par les sens des humains. 

    Paracelse (ci-contre), qui était médecin, alchimiste et théurge, publia au début du XVIème siècle la première classification des esprits de la nature. C'est donc de lui que nous vient la notion des "esprits élémentaires" ou "élémentaux", c'est à dire des esprits que la Connaissance ésotérique fait présider aux quatre Éléments, vivant en eux et les gouvernant ... 

    Les Salamandres sont les esprits du Feu, les Gnomes et les Lutins ceux de la Terre, les Elfes et les Sylphes ceux de l'Air et les Ondines ceux de l'Eau. Dans la Forêt de Brocéliande en Bretagne, bien des personnes ont rencontré des Lutins facétieux qui avaient accepté de se révéler à eux. Mais la plupart hésitent à parler de ces expériences inoubliables, craignant de perdre leur crédibilité auprès de leurs proches et de leur entourage professionnel. 

    Les esprits de la nature ont donc pour corps des formes d'énergie qui ne sont pas strictement physiques ou matérielles au sens commun du terme, bien que toute énergie ait aussi un aspect matériel et nous prouve chaque jour ses effets sur le plan physique de la matière dense. 

    Le fait que ce que nous appelons "électricité" soit une énergie normalement invisible, n'empêche pas qu'en parcourant la surface d'un câble métallique, elle produise des phénomènes matériels bien vasibles, telle la mise en mouvement d'une lourde machine qui, à son tour, peut entraîner le déplacement de tonnes de matière. 

    L'existence d'états vibratoires intermédiaires entre l'énergie invisible et la matière visible fait qu'à mesure qu'il franchit les différentes couches de l'éther, l'homme peut accéder à l'observation des élémentaux, sans même le rechercher. 

    Les élémentaux sont doués d'une réactivité beaucoup plus grande que la nôtre à leur environnement, leurs formes étant plus instables et plus dynamiques. Quand leur vibration se ralentit, ces formes se matérialisent davantage et se voient plus facilement. Pour obtenir d'eux ce ralentissement vibratoire, ceux qui souhaitent les percevoir et communiquer avec eux doivent d'abord en exprimer la volonté avec force mais sans agressivité, car la moindre instabilité dans les consciences se répercute sur les esprits de la nature, et les chasse vers leurs "refuges" énergétiques et les jeux d'optique propres à leur extraordinaire pouvoir de se dissimuler dans les Éléments mêmes qu'ils habitent (Cf. les explications données par Jorge A. Livraga que l'on peut consulter ICI). 

    Mais en se recentrant paisiblement sur leur chakra du cour, tous ceux qui ont déjà ouvert ou sont en passe d'ouvrir leurs yeux spirituels peuvent réellement entrer en communication avec les fées, les dévas et les esprits de la nature et en obtenir de grandes révélations. 

    Ainsi, l'une de nos correspondantes, Laetitia, qui, depuis déjà de nombreuses années, chemine vers la voie de la réalisation intérieure et prépare une série de conférences sur le monde des élémentaux, pense qu'ils sont non seulement capables mais même avides de nous enseigner dès que nous arrivons à franchir un certain palier vibratoire. 

    Voici le simple mais bouleversant témoignage qu'elle a reçu il y a quelques semaines du déva d'une tulipe blanche : 

    Vision d'une magnifique tulipe blanche aux pétales dentelés et d'un être lumineux oblong qui prend naissance dans cette tulipe. 

     

     

     

     

    ci dessus ma photo prise sans aucun trucage qui illustre bien ce qui est décrit plus haut et plus bas 


    Il me dit : 

    « Nous sommes comme vous, nous rayonnons, nous sommes énergie, nous rayonnons la beauté, l'amour, la lumière. 

    La vie est devenue de plus en plus difficile pour nous sur la Terre. Du fait de la pollution, des attaques que nous subissons (vision de nuées grises), nous sommes nous aussi déséquilibrés et c'est pour cela que nous tombons malades, que notre beauté est altérée. » 

    - Laetitia (qui pense à l'éclosion des tulipes de leur bulbe à chaque nouveau printemps) rétorque : « Pourtant, vous avez le pouvoir de vous régénérer ! » 

    - « Oui, nous avons ce pouvoir mais la Terre est elle aussi fatiguée et notre régénération devient chaque année de plus en plus difficile. C'est pour cela que certaines espèces sont en train de disparaître. Car leur beauté est plus fragile, plus délicate, par rapport aux plantes et fleurs d'une nature plus coriace. 

    Nous arrivons encore à illuminer certains endroits et vous pouvez retrouver ces endroits privilégiés (certaines forêts, certaines régions encore sauvages et aussi les jardins créés et entretenus avec amour). Mais il pourrait arriver que nous décidions de quitter complètement cette réalité (vision d'une Terre déserte marron, noire.). 

    Certains d'entre vous pourront nous suivre mais pas tous : seulement ceux qui auront compris "le Tout", que nous faisons tous partie d'une même Source d'énergie, de lumière (vision de particules lumineuses). 

    Connectez vous à ce Tout, à cette Source. Votre personnalité n'est pas une réalité. C'est votre ego qui crée votre personnalité. Vous êtes en réalité des particules du Tout. Il vous faut donc vous reconnecter le plus souvent possible à cette Source; visualisez que vous êtes des particules de cet Univers, que vous êtes des étincelles de lumière, rayonnez la lumière dorée dans ce Tout, reliez-vous à la Source, à tout ce qui vous entoure. C'est en elle que vous acquerrez votre Force, votre Grandeur. 

    Pour cela, portez un regard d'amour sur tout ce qui vous entoure, sur la beauté, remplissez vous de cette beauté, de cette lumière. Pensez que cette même Source jaillit en vous. L'énergie s'écoule en vous doucement et vous remplit comme l'eau remplit une coupe. Votre coupe se remplit avec douceur. 

    La coupe est pleine et c'est vous maintenant qui redonnez. L'eau, l'énergie, la lumière débordent, s'écoulent dans l'Univers qui vous entoure et illuminent d'amour, de lumière tout ce qui vous entoure, l'infini qui vous entoure (vision de l'Arbre de Vie qui grandit alimenté par cette Source). » 

    Transmis par Laetitia PAYEN 
    ÈRE NOUVELLE - Octobre 2007


    NOTA : Vous pouvez écrire à Laetitia ICI 





    Voir également : 

     l'extraordinaire histoire de Louis Rossignol (l'homme qui rencontra plusieurs fois des fées au début du siècle dernier) 


    Voir aussi : 

     l'histoire de cottingley (NOTA : à la lumière de ce qui vient d'être exposé, chacun vérifiera que cette présentation est loin d'être tout à fait objective. Elle contient cependant quelques informations intéressantes). 

     une présentation des esprits de la nature assez complète 

     un joli témoignage sur le monde des fées 


     
     

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     Ce lien fort qui unit deux êtres, l’amitié, ne se créerait pas par hasard. Selon une étude américaine, les amis possèderaient une complémentarité de gènes, permettant la formation d’une sorte demétagénome, qui conférerait un environnement protecteur.

    Des amis au sein d’un groupe partageraient bien plus de choses que simplement du temps, des activités ou une façon de s’habiller. Selon une étude parue dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS), la ressemblance irait même… jusqu’aux gènes !

     

     

    En effet, beaucoup d’études tendent à montrer que les individus auraient tendance à s’associer à des personnes qui leur ressemblent, selon un processus baptisé « homophilie » et opposé au terme « hétérophilie ». Des études qui confirment donc le vieil adage disant « qui se ressemble s’assemble ». Mais la ressemblance est-elle une cause ou une conséquence de l’amitié ? En d’autres termes, est-ce que l’Homme s’adapte sous l’influence sociale pour rentrer dans un moule, ou bien l’individu est-il de façon innée plus proche d’un groupe social que d’un autre ?

     

     

    Ce processus qui s’observe au niveau phénotypique (l’apparence extérieure), n’a jamais été étudié au niveau génotypique (l’ADN) dans des relations d’amitié. Pourtant, selon les faits observés, il y a fort à parier que les amis partagent des mêmes gènes. En effet, selon les auteurs, il existe quatre processus de sélection qui entraîneraient les personnes d’un même réseau social à partager les mêmes caractéristiques génotypiques.

      

     

    Les processus de sélection génotypique

    Le premier serait expliqué par la mobilité géographique des individus. Même si cela est nettement moins vrai aujourd’hui, l’Homme a tendance à rester et donc à se reproduire dans un périmètre géographique restreint, tout comme ses voisins, ce qui conduit à un brassage limité des gènes dans un groupe donné.

    Deuxièmement, le génotype d’un individu pourrait, dès le départ, favoriser son attirance pour une personne dont le génotype est proche, même sans en avoir conscience. Un exemple concret est celui du gène FTO, associé à l’obésité. Des personnes possédant un poids corporel normal pourraient choisir de fréquenter des personnes ayant également un poids normal, une pratique qui ne favorise pas l’apparition de l’allèle FTO dans le groupe.

     

     

    Troisièmement, les rencontres se font souvent dans des lieux que les personnes aiment fréquenter. Mais le fait d’aimer fréquenter de tels lieux (par exemple les salles de sport) pourrait lui-même être inscrit dans les gènes (prédisposition au sport). Et quatrièmement, les individus partageant les mêmes intérêts et les mêmes facultés intellectuelles se retrouvent dans des lieux communs (universités...) et peuvent donc y créer des amitiés.

     

     

    Homo et hétérophilie selon le gène

    Pour vérifier ces hypothèses, des données concernant plus de 5.000 personnes, issues de deux études, le National Longitudinal Study of Adolescent Health (Add Health) et le Framingham Heart Study Social Network (FHS-Net), ont permis de s’intéresser au polymorphisme (les SNP) de six gènes, provenant de personnes se déclarant, ou non, comme amis.

    D’après les statistiques, les gènes étudiés ne sont pas distribués au hasard au sein d’un groupe d’ami. Ainsi, le gène codant pour le récepteur de ladopamine (DRD2) est conservé parmi des personnes qui se fréquentent (le même SNP est retrouvé), alors que le gène codant pour un cytochrome(CYP2A6) est au contraire significativement variable.

     

     

    Dans des travaux précédents, ces deux gènes avaient été respectivement associés à l’alcoolisme et à la franchise, des génotypes qui peuvent alors avoir une influence directe sur le comportement. Cette nouvelle étude suggère alors qu’il existe une homophilie au sein d’un groupe pour certains traits de caractère, alors que pour d’autres traits l’hétérophilie est privilégiée.

     

     

    Amitié ou amour : la biologie contrôle tout

    Chez les couples, il existerait une attirance plus forte entre les personnes possédant des systèmes HLA (impliqués dans l’immunité) très différents, certainement pour optimiser les chances de faire des enfants résistants. Si les gènes façonnent également nos amitiés, il doit y avoir une raison biologique similaire, que les auteurs se permettent de supposer.

     

    Les Hommes seraient « métagénomiques », dans la mesure où ils partageraient des gènes pour se protéger l’un l’autre, à l’image dumétagénome que chacun partage déjà avec les bactéries symbiotiques présentes dans nos intestins. Ce métagénome interhumain pourrait par exemple permettre d’éviter des infections grâce à la particularité de certains individus à leur résister.

     

    j'ai remplacé les images d'humains par celui des chats chiens et autres que je trouve beaucoup plus droles cependant l'article concerne bien les humains....


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  •   http://www.arte.tv/fr/1099430,CmC=1099468.html

     

     

    Le mythe des irréductibles réducteurs

    De nombreuses cultures ont attribué à la tête humaine un symbolisme guerrier. Des coupeurs de têtes de Bornéo au scalp des Indiens d'Amérique du Nord, en passant par la guillotine des révolutionnaires français, tous les continents ont connu des civilisations fascinées par cet acte violent jusqu'à l'institutionnaliser. Les réducteurs de têtes, uniques dans le monde, avaient porté cette fascination à l'extrême. La guerre contre l'envahisseur espagnol fut, semble-t-il, un catalyseur de cette pratique…

     

     La coutume des têtes réduites


    Avant l'arrivée des conquistadors, cette pratique était fréquente entre Jivaros, c'était donc une violence qu'ils développaient entre eux (intra-ethnique) avec des débordements interethniques, d'autres ethnies comme les Zaparos en faisant les frais ! En fait, la coutume des têtes réduites était pratiquée par les Indiens entre eux pour leur propre quête spirituelle. Il était important d'exécuter cette célébration selon un rituel immuable. Il fallait récupérer la peau de la tête de la victime et, par une série de décoctions et de séchages, la réduire jusqu'à la taille d'une pomme pour l'appliquer sur une boule de bois. Il fallait ensuite coudre les paupières, les narines et la bouche pour enfermer l'esprit du mort. De cette manière, les grands guerriers profitaient de son énergie. 

     

     

     La guerre contre les Espagnols


    L'état de guerre continuel qui résultait de la chasse aux têtes réduites rendait les Indiens particulièrement aguerris aux techniques modernes de guérilla. Ils devinrent célèbres pour leur férocité, leur combativité guerrière et les pièges qu'ils tendaient adroitement aux conquistadors dans la forêt. La légende amplifia l'histoire en soutenant que les accès du territoire Shuar étaient balisés par les têtes réduites des soldats espagnols. En un demi-siècle, la guerre contre les Espagnols fit plusieurs dizaines de milliers de morts du côté espagnol et beaucoup moins du côté Shuar… Les Espagnols, effrayés par tant de détermination, rendirent célèbres les tsantsa comme le symbole le plus horrible de la victoire du sauvage contre le civilisé.

    C'est donc indirectement grâce à la tsantsa que les Shuar délogèrent les Espagnols pour ainsi bénéficier de près de trois siècles supplémentaires de tranquillité. Le mythe des irréductibles réducteurs était né.

     

      et on peut trouver des fausses têtes sur le net voici une annonce des plus caucasse que je vois

    Vente ] Tête réduite Jivaro ( tsantsa )

     
     
    Cliquez sur l'icône pour zoomer
    • Insérée le : jeudi 25 décembre 2008
    • Fermeture le : permanente
    • Etat de l'objet : Neuf
    • Prix (€): 25,00
    • Port (€): 8,00
    • e-Mail : ch-lefeuvre@club-internet.fr
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    Tête réduite Jivaro. Il ne s'agit pas d'une véritable tête qui d'ailleurs sont très rares et chères, mais d'une reproduction. Cette tête réduite Jivaro à été réalisé par des indiens en Equateur, en peau et poil de chèvre. Elle à été réalisé en suivant les méthodes traditionnelles, paupières et bouche cousues. Objet parfait pour épater vos amis ou comme décoration originale. Dimensions environ 13cm de haut (sans les cheveux) et 8 de large. La photo présenté ici est une photo "générique". Après conclusion de la vente, je vous enverrais 2 ou 3 images des têtes disponibles du moment. A vous alors de choisir celle que vous désirez. Expedition partout en France contre 6 euros de port en Colissimo.

     

     

    un peu de serieux 

     

    Sur la piste des Jivaros

    Parti à la rencontre des Indiens Shuar, Yves de Perreti découvre un peuple méfiant envers les Blancs qui, dans leur imagerie coloniale, ont réduit leur culture à quelques traits de cruauté.

    Lors d’une vente aux enchères à l’Hôtel Drouot, Yves de Perreti tombe sur la tête réduite (tsantsa) d’un missionnaire anglais datant des années 1870. Commence alors une recherche sur l’origine de cette tête et sur les coutumes des Shuar, Indiens d’Amazonie. La piste mène le réalisateur en Belgique, où la tête réduite a été achetée, puis en Équateur où vivent des tribus qui pratiquaient le rite sacré de la tsantsa. Entre-temps, Yves de Perreti visite des musées, rencontre des experts, relit l’album de Tintin L’oreille cassée (qui a pérennisé la légende des cruels Jivaros) et visionne de vieux films de missionnaires, plus révélateurs des fantasmes de l’homme blanc que de la culture qu’ils cherchent à décrire. Puis il se rend au plus profond de l’Amazonie. Là, c’est l’étonnement : où sont donc passés les “sauvages” des mythes colonialistes ?

    Sauvage toi-même !
    Ce documentaire met à nu les stéréotypes des Européens sur les Jivaros – un nom qui leur a été donné par les colons espagnols et qu’ils ressentent comme une insulte. Eux-mêmes s’appellent les Shuar. Yves de Perreti a voulu voir comment ce peuple a “fait face à l’encombrante renommée dont nous les avons gratifiés”. Son documentaire rend compte d’une culture qui n’a rien à voir avec 
    l’image qu’on a montrée d’elle. “Là où nous avions vu de la cruauté, il y avait une célébration de la vie, une sorte de catharsis”, explique le réalisateur, qui estime que “notre incompréhension des autres (est) comme une réduction de l’autre
     
     
      Vidéo (Real Player; 21")

    "Pourquoi les gens s'entre-tuaient-ils? C'était une manière de faire justice. Si quelqu'un tuait un de nos frères, il fallait se venger en tuant un des siens. Les autres se vengeaient à leur tour. Si l'un coupait une tête, l'autre coupait aussi. C'était comme ça que se faisait la justice entre les tribus." (Angel Utitiaj)

    "Les anciens, les Shuar authentiques, ceux qui sont mort avec la pagne et la couronne de plumes, n'ont certainement jamais eu honte de parler du "tsantsa". En revanche, ils étaient tenus à la discrétion, et ils ne devaient le raconter à personne, tant que l'auteur du meutre était en vie. Parce qu'eux-mêmes se seraient mis en danger, en racontant. Ils savaient que si un vieux parlait... et quelqu'un l'entende, il risquait de le répéter à la famille du mort. Cela aurait eu un impact très fort. Elle pouvait éprouver du ressentiment, se dire: Comment, cet homme qui a tué un membre de ma famille est encore en vie !Elle pouvait se venger. Dons les anciens restaient très discrets."

     

     http://fr.fotopedia.com/wiki/T%C3%AAte_r%C3%A9duite

    ”.

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  • y'en a marre de lire des bonnes nouvelles 

     

     Le Projet de Loi sur la santé d’Obama, rendra obligatoire l’implantation d’une puce RFID, pour tous les Américains.

    Dans le Projet de Loi sur la santé, il est prévu que tous les Américains se verront implanter une micro-puce dans le but de créer un registre national d’identification, pour permettre un « meilleur suivit des patients en ayant toutes les informations relatives à leur santé ».

    Le nouveau projet de Loi relatif aux soins de Santé (référencé HR 3200), qui a dernièrement était adopté par le Congrès, contient (à la page 1001 du projet) l’exigence selon laquelle, tous les citoyens qui en dépendent (du système de santé) devront être « identifié », par l’implantation d’une puce sous-cutanée.

    En fait, cela était prévu depuis fin 2004, comme le prouve un document officiel de le FDA. Ce document de la FDA (« Food and Drug Administration »), daté du 10 décembre 2004, et intitulé « Class II Special Guidance Document: Implantable Radiofrequency Transponder System for Patient Identification and Health Information » (« Document d’orientation spéciale de classe II: Système de Transpondeur Implantable à Radiofréquence pour l’Identification des Patients et les Informations Relatives à la Santé »).

    Dès 2004, l’implantation d’une puce pour les « patients », contenant des « informations relatives à la santé » était donc déjà à l’étude.

    Dans le Projet de Loi, intitulé: « America’s Affordable Health Choices Act of 2009 » (« Loi de 2009 concernant les choix de santé financièrement abordables de l’Amérique »). On peut lire dans le paragraphe: « Subtitle C – National Medical Device Registre » (« Sous-titre C – Registre National des Dispositifs Médicaux »), qu’un fichier de toutes personnes, ayant ou ayant eu, un dispositif implanté dans le corps est prévu:

    « Le « Secretary » établira un « registre national des dispositifs médicaux » (appelé dans le présent paragraphe un « registre ») afin de faciliter l’analyse de la sécurité (des dispositifs) après la commercialisation et les résultats des données de chaque appareil qui… …est ou a été utilisé dans ou sur un patient… ». (Le « Secretary » étant défini comme le « Ministère de la santé et des Services Sociaux »).

    Donc, toutes les personnes ayant reçues la micro-puce, seront répertoriées dans un nouveau fichier, qui sera mit en place exprès, il n’existait pas auparavant. Sous prétexte de mieux assurer les soins médicaux et de préserver la santé des individus, la population sera concrètement marquée avec une puce électronique et fichée.

    Entrée en Vigueur pour tous les Américains 2013 (dans deux ans).

    Et ici en France?

    La RFDI a déjà commencé à envahir le pays, si vous avez un chien, il en contient probablement une. On la retrouve également dans les passeports biométriques français, le contrôle des forfaits dans les stations de sports d’hiver, le suivi des chaînes de montage, la gestion des parc à vélo à Paris et Lyon, l’identification de produits chimiques, les titres de transport dans plus de 50 villes Européennes, la lutte contre le vol dans les grandes surfaces, … utilisent cette technologie de lecture sans contact.

    Certains responsables de la sécurité pensent sans le dire qu’il serait bien plus simple et plus fiable de remplacer les cartes d’identité, passeports, permis de conduire et attestations diverses par une puce RFID insérée sous la peau. L’UE s’est inquiétée de certaines dérives possible et a annoncé un accord avec l’industrie pour protéger notre vie privée.

    Plus d’un milliard de puces RFID devraient être vendue dans l’UE rien qu’en 2011.

    Soyez prêts! On sait par expérience que la France Sarkozienne n’a rien à envier à l’ USA.

    Ailleurs..

    Certains jeunes branchés de Paris, Bruxelles ou Copenhague se sont fait implanter une puce RFID sous la peau. Cela leur permet de se faire identifier rapidement à l’entrée des discothèques branchées et de payer leurs consommations sans  argent ni carte bleue. Une façon de faire passer la « pilule » en douceur!

     

     

     

     


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