• français reveillez vous , voulez vous voir une catastrophe comme celle du japon à saclay ?un français ose crier les  risques et les conséquences écoutez le .

     


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  • les dévas des fleurs 

     

    avant hier nous avons été faire un tour au parc aux cerfs sur une montagne pour y faire un barbecue en attendant l'éclipse lunaire, c'était encore le jour et il y avait des orchidées sauvages magnifiques comme il est interdit de les ceuillir et que de toutes façons je deteste couper les fleurs je les ai prise en photo

     

     

     

     

    et voilà ce qu'on peut voir sur celle des myosotis sauvages, une luminosité avec des formes qui semblent se parler, il ne s'agit pas du flasch , la dame du parc dit que ce genre de chose arrive avant la tombé de la nuit c'est le lever des dévas des fleurs ,moi je la trouve mignone ma petite fée des myosotis non ?

     

     


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  • orchidée
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  • parc au cerf du rondo
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  • un article plein de surprises que j'ai trouver sur le lien suivant ce site est remarquable allez le visiter.

     

     

      http://www.agoravox.fr/culture-loisirs/etonnant/article/hitler-serait-il-mort-en-amazonie-95979

     

    Hitler serait-il mort en Amazonie ?

    Le 15 février 1965, soit 20 ans après la fin de WW 2, le gouvernement d'Allemagne fédérale lance un mandat d'arrêt international contre un vieil autrichien né en 1889, un certain Adolf Hitler accusé de crimes (au pluriel)
    Les chancelleries veillent à ce que soient sensibilisés tout particulièrement les présidents du Brésil, de la Bolivie, du Pérou et du Vénézuéla, pays où de nombreux nazis se sont réfugiés après la guerre... Mais où ils se sont aussi installés en nombre avant 1939.

    Quelques années plus tard en 1970, un grand reporter aventurier allemand Karl Brugger rencontre dans un bar louche de Manaus, capitale de l'Amazonie et de tous les trafics, un étrange "Indien blanc" (c'est ainsi qu'on nomme là-bas les métis)
    L'homme qui dit s'appeler Tatunka Nata a la peau claire, il est plutôt grand, et parle assez bien l'allemand en plus des dialectes locaux. Par contre, son niveau en portugais est pauvre.
    Et l'histoire qu'il raconte tient plus d'une épique épopée que d'un roman maniéré.

    Le dernier fils des dieux

    Tatunka se présente comme l'ultime descendant des rois d'Akakor. Une cité mythique fondée par des dieux venus du ciel il y a 15.000 ans.

    Son père était un cruel guerrier indien, sa mère une Allemande nommée Reinha, survivante d'un massacre. Car les premiers Germains, avec leurs manières autoritaires et brutales, ne furent pas très bien accueillis par les Indiens au début. Même si, par la suite, ils conclurent une alliance.

    Tatunka décrit des villes souterraines immémoriales, reliées par des tunnels, désormais à l'état de ruines, mais cachant encore des trésors inestimables. Et surtout des archives de pierre susceptibles d'obliger à reérire l'histoire du monde.
    Puis il évoque les missions nazies en Amazonie dans les années 1930, en particulier celle de Joseph Greiner qui réussit à y implanter près de 2.000 hommes infiltrés par petits groupes. Officiellement pour y faire de la prospection minière... En fait, les nazis cherchaient à expérimenter in vivo, à l'abri des regards, leurs théories sur l'amélioration des races.

    Et il rapporte comment les nazis coupés du reste du monde ont fini, malgré leurs grands principes eugénistes, par fusionner avec les Indios. Désapprouvés par les nouveaux arrivants de 1945, qui cependant se mélangèrent à leur tour. Sauf les hauts dignitaires émigrés en famille qui constituèrent une sorte d'aristocratie coloniale. Avant de s'hispaniser ou de se lusitaniser à la deuxième génération.

    Une légende de la brousse de plus ? On pourrait le croire si Tatunka, arrêté par des services spéciaux brésiliens, puis libéré par d'autres services tout aussi spéciaux, n'avait définitivement disparu dans un bouge de Manaus. Suivi par Karl Brugger, abattu en 1984 sur la plage d'Ipanema près de Rio après que son livre "Chroniques d'Akakor" ait connu un vif succès.

    Ce crime sans mobile apparent ne fut jamais élucidé. Pas plus que l'assassinat en pleine foule d'un Américain, d'un Suisse et d'une Allemande qui avaient participé à l'expédition dans la jungle initiée par Brugger et relatée dans les fameuses "chroniques"...
    Un livre-reportage que les responsables de la diplomatie allemande et les autorités culturelles brésiliennes s'ingénièrent à présenter comme un "roman de gare".
    Bien des efforts pour un ouvrage sans intérêt !

    La mort controversée d'Hitler

    En mai, juin 1945 les plus hautes autorités soviétiques de Joukov à Staline avouent à Roosevelt et à Eisenhower ne pas savoir ce que le führer est devenu.
    On a retrouvé dans son bunker le cadavre d'un sosie Gustav Weler, et des morceaux de crâne calcinés qui seront conservés pendant 60 ans à Magdebourg puis à Moscou. Staline ayant compris le prestige que cette "preuve" de sa victoire apporterait à l'armée rouge.

    Le FBI, le MI 5 et le Mossad continueront néanmoins d'enquêter pendant 30 ans.

    Et puis... En 2005, des fragments du "crâne d'Adolf" sont confiés à des généticiens criminologues de l'université du Connecticut pour études d'ADN. Stupéfaction ! Ces restes sont ceux d'une femme qui ne peut être Eva Braun ! Un scénario se confirme : Hitler aurait pu fuir Berlin pour Hambourg à bord d'un Arado AR 96, un avion très maniable qui faute de piste dédiée s'était déjà posé sur des avenues ou dans des parcs en plein centre ville. D'autant que cet appareil dernier cri était piloté par Ritter Von Greim un virtuose du manche promu maréral par Hitler après la disgrâce de Göring. 

    De Hambourg, Hitler et Eva Braun auraient embarqué sur un sous-marin de type XXI, plus rapide en plongée que la plupart des navires de surface de son temps et précurseur en matière de furtivité. Et, de fait, 2 submersibles de ce type auraient quitté Hambourg deux jours avant l'entrée des troupes britanniques. Et pour ajouter à la confusion, il y a le squelette de Martin Bormann retrouvé "par hasard" à Berlin en 1972. Identifié grâce à ses dents, il portait des traces d'une argile rouge qu'on ne trouve qu'au Paraguay, permettant de suspecter une première inhumation là-bas.

    Si le secrétaire particulier du führer qui le suivait partout comme un chien fidèle a pu s'échapper... Pourquoi pas son maître ? La mission Greiner et la suite... Officiellement, outre la prospection minière, le troisième reich aurait souhaité obtenir du Brésil une neutralité bienveillante permettant aux navires et sousmarins de la kriegsmarine de relâcher dans ses ports.

    Mais un autre intérêt guidait les nazis : les pyramides de Païtiti dans le piémont andin, à la frontière actuelle du Brésil et du Pérou, où les nobles révoltés de l'empire inca auraient caché les tonnes d'or et d'argent initialement destinées à payer la rançon de l'empereur Atahualpa détenu par les conquistadors. Une légende confirmée au moins pour les pyramides, tenues pendant longtemps pour des élucubrations de broussards éthyliques, avant d'être photographiées par le satellite ERTS en 1975, puis reconnues par des raids aériens. Mais comment et par qui les nazis avaient-ils été renseignés au point de penser que Akakor existait vraiment et se confondait avec Païtiti ? Et avoir une idée assez précise de son emplacement ? Joseph Greiner mourut de maladies tropicales, sa tombe et celles d'autres nazis existent encore, ornes de swastikas que personne n'a enlevées. Plus tard Deborah Goldstern, chasseuse de nazis, recueillit de nombreux témoignages de pêcheurs brésiliens. Autour de mai-juin 1945, leurs jangadas avaient été bousculées par un certain nombre de grands kayaks "sortis de nulle part" (venus de sous-marins ?)

    Une fois à terre, les étrangers blancs avaient fait brûler leurs esquifs avant de se disperser dans la nature. Armés, et possédant des dollars (probablement faux) ils paraissaient prêts à faire face à toute éventualité. L'enquête poursuivie à l'intérieur des terres révéla qu'ils se disaient naufragés américains et achetaient sans trop de problèmes la complicité des flics locaux.
    Parvenus en camions à Manaus, ils embarquèrent sur le fleuve, paraissant savoir parfaitement où aller, et on n'entendit plus jamais parler d'eux. Sauf dans les récits de chercheurs d'or colportant les incroyables légendes de ces blancs farouches vivant au milieu des Indiens et auxquels il valait mieux ne pas se frotter. Coïncidence ? Grâce à des garimpeiros trafiquant avec eux, feu Karl Brugger aurait rencontré ses énigmatiques compatriotes de la selva. Pas vraiment enchantés de la "surprise"... En 1984, peu après l'assassinat de Brugger, un journaliste brésilien de radio prétendit rapporter les confidences d'un agent secret qui lui aurait avoué que Karl Brugger avait été liquidé parce qu'il en savait trop sur les liens entre les nazis et les autorités brésiliennes. 
    Ce reporter aussi bavard que malchanceux s'électrocuta dans sa baignoire quelques jours plus tard.L'histoire rocambolesque d'Akakor   

    A prendre avec des pincettes. Même si le site existe bien. Car depuis sa découverte officielle en 1975, les Indios ont toujours fait barrage aux expéditions qui tentaient de l'explorer. Même Karl Brugger, guidé par Tatunka dut renoncer près du but.

    Néanmoins, il ressort de rapports de l'armée brésilienne et des affaires indiennes que Tatunka n'était apparemment originaire d'aucun village connu.
    Pourtant il bénéficiait d'un grand prestige auprès des tribus auxquelles il était étranger, qui le vénéraient comme un grand chef. Un pouvoir que Tatunka savait négocier auprès des autorités pour calmer les révoltes et s'assurer quelques avantages. Pratiquant sans barguigner le renvoi d'ascenseur, le jour où il fallut récupérer une douzaine de militaires crashés dans la jungle et prisonniers de tribus hostiles.
    D'où tenait-il ce prestige et ce pouvoir ? Officiellement des dieux ! Pas moins !

    Plus prosaïquement, pour l'état civil, il avait été déclaré sous le nom de Gunther Hauck. Un drôle de nom pour un Indien. Qui accréditerait une partie de son histoire. La matrilinéarité étant courante chez les Indiens de l'ouest amazonien.
    Mais tout ceci doit être relativisé. Tatunka usait couramment de diverses identités et plusieurs femmes, allemandes et brésiliennes, prétendirent lui être apparentées ou même l'avoir épousé.

    Pa ailleurs, Tatunka prétendait que les survivants d'Akakor utilisaient une écriture immémoriale quand l'Académie n'a jamais voulu voir que des cultures orales en Amazonie. Et de fait, des expéditions aux abords de Païtiti dans les années 90 et suivantes, ont relevé des pétroglyphes très proches des signes dessinés par l'Indien blanc. Cela prouve au moins qu'il a vécu suffisamment longtemps dans le secteur pour s'imprégner de ces particularités.

    Reste un grand mystère : on a des photos aériennes précises du site, on posssède ses coordonnées GPS, on devrait donc pouvoir y accéder relativement facilement.
    Même si la bureaucratie rend difficile l'organisation d'une expédition. Et même si les autorités péruviennes comme brésiliennes refusent de faire appuyer par l'armée les explorateurs... Quand elles ont moins de scrupules pour déloger par la force les Indios qui défendent leur forêt et leur terre...

    Corruption ? Peut-être pas. Il est possible que cela relève davantage de superstitions immémoriales. Pour dépouiller les tribus, on trouve toujours quelques caciques à acheter avec deux ou trois brimborions. Mais on ne plaisante pas avec les lieux sacrés. Surtout quand des étrangers prétendent les profaner !
    Quiconque a traîné ses guêtres du côté de Rio Branco ou du Rio Ucayali, ou de l'autre côté de la frontière, a pu observer les comportements significatifs de ces reitres boudinés dans leurs uniformes délavés, caricatures de machos qui la ramènent en bombant le torse... Mais balisent devant les sorciers Indios auxquels ils prêtent mille pouvoirs quand les anathèmes des padres ne les impressionnent guère.

    N'empêche, toutes les expéditions menées ces dernières années depuis le Brésil ou le Pérou ont échoué plus ou moins près du but. Pour diverses raisons : eau empoisonnée, attaques surprises, pièges dans la jungle, matériel saboté...
    Et les rares qui ont réussi à approcher les pyramides n'ont pu les explorer que succinctement, dans l'impossibilité d'établir un camp sécurisé, même en achetant la neutralité des autochtones. Quand ils s'en allaient, d'autres reprenaient les escarmouches.
    Pourquoi toutes ces obstructions s'il n'y a que quelques tas de cailloux abandonnés depuis des siècles ?


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