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    Argentine : Rosita a été clonée afin de

     

    produire du lait humain

     

    l'histoire du jour

    Argentine : Rosita a été clonée afin de produire du lait humain
    Argentine : Rosita a été clonée afin de produire du lait humain
    Argentine : Rosita a été clonée afin de produire du lait humain

    La petite Rosita ISA est venue au monde en Argentine le 6 avril dernier par césarienne en raison de son surpoids, 45 kg. Une naissance synonyme de prouesse à bien des égards. D'abord, parce que Rosita est une clone. Ensuite, parce qu'il s'agit de la première vache clonée au monde comportant deux gènes humains afin de produire, à l'âge adulte, un équivalent du lait maternel. Un lait qui pourrait protéger les nourrissons contre des maladies et favoriser leur développement. L'ambition des recherches menées par l'Institut national de technologie agricole (Inta) et l'Université nationale de San Martin était d'améliorer la valeur nutritionnelle du lait de vache en ajoutant deux protéines présentes normalement dans le lait humain : la lactoferrine et le lysozyme. Très peu présent dans le lait de vache, le lysozyme est une enzyme que l'on retrouve dans le lait maternel de façon très concentrée au cours de la première semaine de lactation. La lactoferrine favorise quant à elle la pousse des dents et le développement de cellules intestinales, antibactériennes, antivirales et antifongiques. Il faut maintenant attendre dix mois afin de vérifier que Rosita est bien apte à produire du lait « humain ». Selon l'Inta, il n'existe pas à ce jour de mammifères portant deux gènes modifiés.Rosita risque bien de faire des jaloux parmi ses congénères ruminants !


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     Du concombre aux germes de soja, en passant par d’autres hypothèses, la bactérie E. coli pourrait selon un chercheur américain avoir une toute autre origine.

    Il s’appelle Mike Adams et vient de publier dans « natural news » un article qui ouvre la porte à une autre hypothèse plus qu’inquiétante :

    Il apporte des preuves médico légales que la super bactérie Escherichia coli(souche O104) serait produite par génie génétique pour tuer la population.

     

     

     

    La piste des légumes seraient donc définitivement écartés, et Adams propose un argumentaire qui mérite toute notre attention.

    Il se demande comment, presque par magie, la bactérie, devenue résistante à8 classes différentes d’antibiotiques, apparaisse brusquement dans l’approvisionnement alimentaire.

    Normalement, cette bactérie ne résiste pas aux antibiotiques, et pour qu’elle en arrive à cette « hyper résistance », il aura fallu, d’après Adams qu’elle ait été volontairement exposée de façon répétée aux antibiotiques, afin de la rendre quasi indestructible.

    C’est le code génétique de la bactérie qui révèle les différentes étapes qu’elle aurait subie afin de la rendre telle qu’elle est aujourd’hui.

    Ce sont les chercheurs de l’institut Robert Koch qui ont décodé sa constitution génétique. lien

    On sait donc aujourd’hui que, de la pénicilline, à la pipéracilline, en passant par l’acide nalidixique, ou autres triméthoprime-sulfaméthoxazole, céphalosporines, amoxicilline/acide clavulanique, ou même tétracycline, la souche O104 résiste sans la moindre difficulté à tous ces antibiotiques.

    D’autre part, elle possède une capacité à produire des enzymes spéciaux qui la transforment en bactérie superpuissante (BLSE).

    De plus, cette souche O104 possède 2 gènes (TEM-1 et CTX-M-15) qui inquiètent à juste titre le corps médical, car ils sont si dangereux qu’une personne infectée ne peut en réchapper.

    Mike Adams est convaincu que pour que cette bactérie en arrive à cette « hyper résistance », il aura fallu autre chose que le hasard.

     

     

    En effet, pour lui procurer cette capacité à résister aux antibiotiques, il a fallu procéder par étapes, en l’exposant tour à tour aux différents bactéricides. lien

    C’est d’ailleurs de cette façon que l’armée américaine (et surement d’autres) ont réussi à fabriquer dans les laboratoires de Fort Detrick (Maryland) des armes biologiques.

    On se souvient que Bruce Ivins, un scientifique de ces laboratoires, avait été soupçonné d’avoir été le fameux expéditeur de lettres piégées à l’anthraxlien

    Adams est formel : il est impossible que cette souche d’E. coli se soit fabriquée toute seule : elle a été conçue en laboratoire, puis à été volontairement libérée dans la nature, ou involontairement, suite à une erreur.

    A partir de là, cette bactérie octobiotique (résistante à 8 classes d’antibiotiques) s’est développée de façon aléatoire.

    Il reste pourtant une autre hypothèse : que cet « octobiotique » ait été apportée sur Terre par des comètes, ce qui n’est pas à écarter, mais semble plus improbable que la théorie proposée par Mike Adams.

    Si l’on garde donc la piste criminelle, écartant l’accident de laboratoire, ou la provenance « extra-terrestre », Adams va un peu plus loin.

    A qui profite le crime ?

    Les Etats Unis mènent actuellement une politique assez dure envers les petites exploitations familiales, tournées vers la production bio. lien

    Or la propagation de cette bactérie tueuse pourrait avoir un effet désastreux sur ces petits producteurs, favorables à une agriculture respectueuse de l’environnement, et ce n’est peut-être pas innocent de constater que la dernière hypothèse incriminait la production bio.

     

     

    Adams continue.

    Il s’interroge sur le fait que l’Espagne ait été la première à être montrée du doigt, cette Espagne dont le gouvernement est soupçonné d’avoir signé une alliance étroite avec les USA pour la promotion des OGM, alors que d’influentes associations environnementalistes ont fait savoir leur hostilité auxOGM, ainsi que l’avait révélé un câble de Wikileakslien

    Serait-ce donc en guise de représailles que l’Espagne aurait été la première cible ?

    Big Pharma est-elle derrière tout çà ?

    En tout cas, Mike Adams est formel.

     

     

    Les preuves médico légales révèlent que l’octobiotique tueur a subi des expositions répétées et prolongées à 8 différentes classes d’antibiotiques, et il n’existe pas de mutation spontanée.

    Il faudrait un formidable hasard que cette souche se soit crée naturellement.

    Il n’est pas le seul à suivre cette piste criminelle, puisque Alain Charret, penche pour une action de terrorisme bactériologique. lien

    Il rappelle la menace proférée par Abu Sulaiman Al-Nasser, l’un des leadersd’Al-Quaïda, qui avait déclaré le 30 mai 2011 qu’il voulait mettre l’Europe à feu et à sang cet été.

    L’article complet de Mike Adams est sur ce lien.

    On peut l’écouter sur cette vidéo.

    En tout cas, d’après François-Xavier Weill, qui  à l’institut Pasteur, mène, avec d’autres la traque, la source de contamination n’a toujours été trouvée.

    Il se veut rassurant en affirmant que « si cette souche devait envahir la planète, il y en aurait déjà partout ». lien

    En attendant, on ne compte pas moins de 2000 personnes infectées pour l’instant, en Europe, et une vingtaine d’entre eux nous ont déjà quittés. lien

    Des cas ont été détectés en Autriche, au Danemark, en France, aux Pays Bas, en Norvège, en Espagne, en Suède, en Suisse et en Grande-Bretagne.lien

    Les despotes de l’agro alimentaire intensif ont-ils déclaré la guerre à ceux qui ont fait d’autre choix alimentaires ?

    Ou bien tout ceci est-il du à un monstrueux hasard ?

    Faut-il privilégier la « piste terroriste » ?

    L’avenir nous l’apprendra, car comme me dit souvent mon vieil ami africain :

    « À quoi sert la lumière du soleil, si tu as les yeux fermés »

    Merci à Ariane qui m’a transmis l’information.

    L’image illustrant l’article provient de « www.terrepromise.net » 


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  •   http://www.france-pittoresque.com/spip.php?article3545


    Château de la Reine des Fées
    près de Blaye (Gironde)
    (D’après « L’Éducation. Gazette des femmes », paru en 1842)
    Publié le DIMANCHE 5 JUIN 2011, par LA RÉDACTION
     

     
     
     
     
    Au XIXe siècle, on pouvait encore près de Blaye (Gironde) un dolmen que la légende populaire affirmait être l’entrée du château des Féesdont nul être humain y pénétrant ne sortait vivant car dévoré vivant par ses occupantes, à l’exception d’un pasteur, voyageur acceptant de relever un défi en partant à la conquête d’un œuf magique détenu par le plus puissant des mauvais génies

    Il est incontestable que les traditions populaires ont une certaine importance historique ; car elles sont presque toujours un mélange de roman et d’histoire. L’on voit que ce n’est pas d’hier que la vérité se cache sous le manteau de la fable.

    Il existait au XIXe siècle à Saint-Ciers-de-Canesse, près de Blaye (Gironde), un remarquable dolmen, sur lequel l’imagination populaire nous a légué une légende curieuse qui rappelle les Mille et une nuits : c’est le même mélange de merveilleux et de terrible. Ne parlez pas aux habitants de ces contrées des druides et de leurs terribles mystères célébrés sur ces blocs géants, ils vous riraient au nez sans merci. « Ces pierres levées (peyres lebades), vous diront-ils, ne voyez-vous pas que ce sont les ruines de l’entrée du castel de las Hagues (du château des Fées). »

    Dolmen de Lussac (Gironde)
    Dolmen de Lussac (Gironde)

    Ils vous feront observer que tout prouve que ces pierres ont été habitées ; et, en effet, la science vous dira, avec M. Jouannet : « Que trois blocs énormes servaient de murs à ce château des Fées ; qu’il avait pour toit une pierre gigantesque, et que cette masse reposait, à sept pieds du sol, sur trois blocs et sur une pierre plus petite placée à l’entrée ; que le support du nord avait été entamé par la main de l’homme ; qu’on y avait ouvert une porte qui depuis a été bouchée. Cette particularité fait présumer qu’à une époque inconnue cet étrange réduit a été habité. Un puits, creusé auprès, semble venir à l’appui de cette conjecture. » Pour les habitants, c’est plus qu’une conjecture, c’est une incontestable réalité ; écoutez plutôt ce qu’ils racontent :

    Un jeune et beau pasteur, coupable d’indépendance envers son tyrannique patron, avait franchi le support d’entrée et s’était réfugié dans cet antre maudit, dont nul être humain n’osait approcher ; car on n’avait jamais revu ceux qui y étaient une fois entrés. Ces blocs énormes étaient, en effet, la porte gigantesque du puits de l’abîme qui communiquait jusque dans les entrailles du monde, et sous laquelle passaient les mauvais génies pour se rendre dans leur empire souterrain. A peine le pasteur avait-il mis le pied sur la pierre d’entrée, que le plus affreux spectacle frappa ses regards : des ossements humains jonchaient le sol de cette horrible caverne, et, à sa voûte, des gouttes de sang figé pendaient en stalactites.

    Saisi d’horreur, il détourne ses regards et se rejette en arrière ; le sol semble céder sous lui, et il se sentit aussitôt descendre. L’éclat extraordinaire du lieu où il arrive si mystérieusement le force de fermer ses yeux éblouis. Tout à coup, des bras invisibles le saisissent, l’enchaînent, l’enlèvent, et le transportent dans une salle non moins magnifique. Des colonnes d’albâtre en soutenaient la voûte de cristal. Au milieu s’élevait un trône resplendissant, ombragé par deux arbres aux rameaux d’or et couverts de rubis.

    Le pasteur se croyait le jouet d’une illusion, et son admiration redoubla lorsqu’il vit entrer une gracieuse phalange de femmes, qui vinrent, une à une, prendre rang autour de lui. Elles étaient toutes d’une merveilleuse beauté. Il se crut transporté dans la demeure céleste des déesses. Mais son enthousiasme n’eut plus de bornes quand il aperçut une femme mille fois plus belle que ses compagnes.

    C’était Fréa, la Reine des fées, qui suivait ses gracieuses soeurs ; Fréa, à la robe blanche et flottante, aux souliers d’or, qui portait ses noirs cheveux flottants sur ses belles épaules, et qui ornait son front pur d’une chaîne d’or et de diamants. Elle s’avançait, dans sa démarche pleine de grâce et de majesté ; quand ses beaux yeux s’arrêtèrent sur le jeune homme, un nuage de tristesse vint les voiler. Le pasteur, nourri dans la vénération religieuse de ses pères, qui adoraient la femme comme une divinité, se jeta aux pieds de ce trône, où elle vint s’asseoir. Fréa pensa qu’il implorait sa clémence : « Non, non, dit-elle, il faut mourir. »

    Mais le pasteur ne l’entend pas ; saisi d’admiration, il contemple avec amour cette beauté merveilleuse et toujours jeune, dont les hommes n’ont pas idée. La reine était fée, et les fées sont femmes ; elle eut pitié de ce beau et naïf jeune homme, qui oubliait son sort pour la regarder.

    – « II faut mourir », répéta-t-elle enfin d’une voix triste et émue.
    – « Ah ! les dieux sont donc aussi cruels que les hommes », s’écria le pasteur avec amertume et comme sortant d’un rêvé ; j’ai fui la mort pour aller au devant de la mort ; mais, du moins, je serai moins malheureux de la recevoir de votre main.
    – « Ah ! ce n’est pas une même mort ! celle qui t’est préparée est horrible, épouvantable : tu seras dévoré vivant. »

    La Reine des fées s’arrêta et détourna la tête pour cacher une larme, et cette larme était d’or pur. Elle reprit bientôt :

    – « C’est là le tribut fatal que nous payons à Rimer, le plus puissant des mauvais génies. Ces blocs debout, sous lesquels tu t’es réfugié, malheureux enfant, sont la table où ses victimes lui sont offertes. Nul homme ne lui est échappé et ne lui échappera, s’il n’a conquis l’œuf des serpents.
    – « Si c’est là une conquête qu’un homme puisse entreprendre, je l’entreprendrai, dit en se relevant le pasteur, d’un air résolu. J’ai souvent dompté les taureaux sauvages, lutté avec les ours et les loups-cerviers de nos forêts ; tombe sur moi le ciel, je ne crains rien ! »

    Le courage plaît aux fées ; dans leur cœur, il est souvent le voisin de l’amour, et l’amour est bien fort. La Reine des fées, séduite, voulut sauver le pasteur. Quand fée le veut, Dieu le veut. Fréa lui donna un anneau mystérieux qui rendait invisible, pour qu’il pût échapper à la vue perçante des serpents et à leur active poursuite.

    Eglise Saint-Jean à Saint-Ciers-de-Canesse
    Eglise Saint-Jean à Saint-Ciers-de-Canesse

    Grâce à ce puissant secours, il pénétra sans danger dans l’horrible caverne où mille serpents entrelacés avaient, de leur bave, composé l’œuf magique. Le pasteur s’en empara aussitôt, et, montant sur la table du sacrifice, il attendit sans terreur Rimer le dévorant. Au moment où la nuit devient de plus en plus sombre et où la clarté des étoiles va pâlissant peu à peu, il entendit dans les airs un bruit sourd comme un battement d’ailes, et il vit approcher, monté sur un monstrueux loup ailé, se servant de serpents en place de brides, le terrible génie de l’abîme, qui descendait sur lui avec la rapidité de la foudre pour le dévorer, comme sa victime inévitable.

    Mais le pasteur, le touchant soudain avec l’œuf magique, le terrassa, le vainquit, et l’enchaîna pour l’éternité. Alors cessèrent les sacrifices humains, et le vaillant pasteur fut béni par les fées et par tous les pères qu’il arrachait à ce tribut fatal. Il ne retourna cependant pas avec les hommes, demeurant toujours avec Fréa, la Reine des fées, son sauveur. Il eut une longue et heureuse vie, car son épouse lui donna des pommes d’or qui avaient la vertu de conserver une éternelle jeunesse.

    Mais comme il ne pouvait se nourrir des célestes aliments des fées, il se creusa un puits près de la porte des Géants ; avec une hache de pierre précieuse, don magnifique de sa compagne, il tailla dans le bloc du nord un réduit où il déposait le produit de sa chasse.

    Telle est la tradition très-peu connue du castel de las Hagues, de ce château des Fées, où nous ne voyons, nous, qu’un dolmen. A travers les festons et les gracieuses découpures du manteau de la fable apparaît la vérité toute nue. L’œuf des serpents, les sacrifices humains ; d’un autre côté, la victoire par l’amour d’un allié du ciel sur les antiques divinités ; tout cela frappe d’étonnement et nous autorise 


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    si vous allez dans ce cimetière vous risquez de rencontrer ce pauvre fantôme, il se manifeste à la tombé du jour entouré de nombreux jin's qui tournoient et siffle autour de lui car il s'agit d'un tirrailleur nord africain tombé pour la france et nous avons eu la chance de le prendre en photo, elle est pas de trés bonne qualité je vous l'avoue mais je vous assure que ni photoschop ni autre montage n'ont été fait, il c'est assis simplemnt sur les genoux de mon fils pour nous montrer qu'il est bien là,regardez comme le visage de mon petit bonhomme est déformé comme brûler et ses mains ne sont plus les mains d'un enfant, je vous met la photo en positif et en négatif ,ce soir là nous avons eu trés peur mais il n'est pas agressif il doit souffrir de manque de reconnaissance pour son sacrifice, si vous allez là bas vous regarderez le nom et l'âge des victimes , des gens parti trop tôt pour notre libérté .pour ceux qui veulent examiner cette photo de plus prés je peux leur envoyer, faites en la demande.

     


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