• 1 commentaire
  •  

     

    un super site en construction explique beaucoup de mystères sur l'égypte  ancienne je vous conseille d'aller le visiter .

     http://scimyst.free.fr/archeologie/egypte/lampe_egypte.htm

     

     

     

     

     

     

    Enigme de l'éclairage dans l'ancienne Egypte.
    Parmi les nombreuses énigmes que la civilisation égyptienne nous a posées, il en est encore qui ne sont pas résolues, en particulier celle-ci :

    Comment les égyptiens s'éclairaient-ils ?

    Dans la vie courante, on sait qu'ils employaient des lampes à huile ou des torches, qui laissaient de nombreux résidus gras de combustion sur les murs et les plafonds.

    Mais dans les tombeaux de la vallée des rois, par exemple dans celui de Seti II, creusé dans la montagne sur plus de 100 mètres, on ne trouve aucune trace de suie sur les murs ou les plafonds qui sont tous peints et gravés dans la roche.
    Les artistes ont travaillé sans la lumière du jour, et sans lampes à huile ni torches.
    Des scientifiques ont émis l'hypothèse qu'ils s'étaient simplement servis de miroirs pour réfléchir la lumière du soleil à l'intérieur des couloirs et des salles.

    N'en déplaise à ceux qui pensent que l'Egypte n'a aucun mystère pour les savants du XXe siècle, ça ne marche pas !

    Les miroirs d'argent des égyptiens ne pouvaient refléter au mieux que 40% de la lumière, ce qui fait qu'après l'utilisation de quelques miroirs seulement, l'obscurité reprend sa place.

    Le mystère reste entier...

    On a cependant trouvé dans la chambre intérieure du temple d'Hator à Denderah, des bas-reliefs, vieux de 4200 ans, surprenants, qui ne pouvaient avoir qu'une interprétation cultuelle au XIXe siècle, mais qui nous rappellent étrangement des ampoules électriques !!!

     

    Les égyptologues nous disent que ces bas-reliefs sont voués au culte du serpent...

    Erich Von Däniken a reconstruit ces bulbes en laboratoire :
     

    3 commentaires
  •   http://public.web.cern.ch/public/fr/Spotlight/SpotlightAMS-fr.html

    De la Terre à l’Espace en passant par le CERN

     

     

    Un saut de puce avant le grand saut dans l’espace. Le 25 septembre, le cœur de l’expérience AMS a déménagé au CERN, à quelques kilomètres des locaux de l’Université de Genève où il était jusqu’à présent assemblé, pour les derniers préparatifs avant le décollage. Fin 2008, l’expérience AMS sera prête, attendant d’embarquer pour être arrimée à la Station Spatiale Internationale, en orbite à 400 kilomètres de la surface terrestre.

    En décollant dans l’espace, AMS (Anti Matter Spectrometer) part en quête de l’antimatière disparue. L’antimatière est une forme « miroir » de la matière. Chaque particule dispose d’une antiparticule jumelle, dont les propriétés sont quasiment similaires si ce n’est que la charge est opposée et que certaines subtiles différences de comportement ont été observées. Matière et antimatière auraient dû être créées en quantités égales à la naissance de l’Univers. Mais pour une raison encore mystérieuse, l’antimatière semble avoir complètement disparu.

     

     

     

    Les physiciens cherchent une explication à cette disparition, à moins qu’ils ne trouvent une preuve de l’existence d’antimatière dans quelque recoin de l’Univers. Depuis la Terre, on détecte bien des antiparticules légères en provenance de l’espace, mais ce sont quasiment certainement des particules secondaires, issues d’interactions de rayons cosmiques avec les particules de l’atmosphère notamment.

     

     

    De nombreuses expériences ont cherché l’antimatière primordiale depuis la Terre, sans succès. AMS ira là où aucune autre n’est encore allée, sur la Station Spatiale Internationale (ISS). Une quantité appréciable d’antimatière détectée depuis l’ISS serait une preuve qu’une source d’antimatière serait encore active dans le cosmos. Outre l’antimatière primordiale, AMS analysera la composition des rayons cosmiques galactiques et extragalactiques, et recherchera également la matière noire. Comme son nom l’indique, la matière noire ne peut être observée directement car elle n’émet pas de rayonnements électromagnétiques, mais les astronomes en constatent les effets gravitationnels. Elle constituerait environ 26% de l’Univers et AMS tentera de la détecter. AMS restera sur la Station Spatiale pendant plusieurs années et enverra des informations tout le long de son séjour dans l’espace.

    Le trajectographe d’AMS dans sa salle propre du CERNL’expérience entre désormais dans la phase finale de son assemblage. Le détecteur de sept tonnes a été construit avec des contraintes extrêmement sévères pour répondre aux exigences de qualité imposées par la Nasa et supporter le voyage à bord la navette spatiale, avec une accélération très forte au décollage. La colle utilisée pour l’assemblage du trajectographe a par exemple dû être dégazée et seuls 2500 des 4000 capteurs au silicium produits ont pu être utilisés.

    AMS a le statut d’expérience reconnue au CERN et est le fruit d’une collaboration comptant 600 participants en Europe, aux Etats-Unis, en Chine, à Taïwan et en Corée.

     

     

     


    2 commentaires
  • voilà un auteur qui n'a jamais toucher ses droits comme tant d'autres, cet auteur à dénoncer sur la toile du net la maison d'édition permettant ainsi que d'autres pauvres gens ne tombent pas dans le piège , la maison d'édition à porter plainte et les hebergeurs ont banni le blog c'est une honte et une incitation à la bonne marche d'une escroquerie vive la france et son système judiciaire du moyen âge . mais je vous laisse découvrir le livre à ne pas acheter sur ce liens 

    et faites passer l'info cela permet à des gens de ne pas signer avec cette maison d'édition 

     http://les-saints-protecteurs.kazeo.com/


    10 commentaires

  • 10 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique