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    Plongeon de comète (cliquez pour voir la vidéo)

    Comète suicidaire

    Quelques heures après sa découverte par un astronome amateur (le 30 septembre), une comète inconnue s’est précipitée dans le Soleil. Le spectacle a été observé avec lecoronographe Lacsco C2 installé sur la sonde spatiale SoHO.

    C’est toujours impressionnant à voir. Ce n’est, bien sûr, pas la première fois que les astronomes observent une comète suicidaire. Elles sont nombreuses et la sonde spatiale d’observation solaire SoHO en a surpris plus de 2 000 en l’espace de 15 ans d’observation. En général, il s’agit de fragments errants de la comète de Kreutz qui s’échouent sur notre étoile.
    Celle-ci (image animée ci-dessus) venait à peine d’être découverte quand elle fut capturée par le Soleil. Particulièrement brillante, elle se précipite dans le monstre brulant dont, évidemment, elle ne réchappera pas. De prime abord, elle apparait longue et plutôt de taille importante or comme tous ses congénères, c’est un vulgaire gros cailloux (quelques centaines de mètres, quelques km). Rappelons que le Soleil, étoile pourtant banale, a un diamètre de 1,4 millions de km ! Autrement dit, la chute d’une comète est comparable à une goutte d’eau versée dans l’océan …

     
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    La tache solaire AR1302 visible à l’oeil nu !

    Sunset sunspot AR1302

    La tache solaire AR1302 visible à l'oeil nu à la surface du Soleil - Photo de Fabiano Belisario Diniz

    La tache solaire AR1302, plusieurs fois évoquée ces derniers jours est si grande qu’elle est visible à l’oeil nu à la surface du Soleil. Attention de ne pas regarder le Soleil directement sauf avec un filtre adapté ou d’attendre le coucher du Soleil !

    La tache sombre AR1302 continue de croître. Déjà à l’origine de trois puissantes éruptions solaires de classe X, cette importante région active (Active Region) n’a pas finit de faire parler d’elle. Selon les prévisionnistes du National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA), il y aurait 40 % de chances pour qu’une nouvelle éruption d’amplitude maximale puisse survenir dans les prochains jours.

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    En vidéo, six éjections de masses coronales en un jour

    sunspot 1302

    Tache solaire 1302, à l'origine de deux puissantes éruptions solaires

    Le Soleil montre une activité en hausse. En un peu plus de 24 h, six CME ont été observées. Quelques jours plus tard, la tache 1302 était à l’origine de deux violentes éruptions solaires.

    L’activité solaire bat son plein ! Les instruments de la sonde spatiale SoHO ont enregistrées pas moins de six éjections de masses coronales (CME) en un peu plus de 24 heures, les 19 et 20 septembre. Les astronomes n’avaient pas cela plusieurs années.

    Hormis une, aucune de ces bourrasques de particules solaires ne se dirige vraiment vers la Terre. Celle-ci pourrait heurter le champ magnétique terrestre et, comme de coutume, provoquer des aurores polaires.

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    En vidéo, puissante éruption sur le limbe du Soleil

    Violente éruption de classe X sur le limbe du Soleil.

    Il y a quelques heures, les caméras des sondes spatiales SDO, SoHO et STEREO ont enregistrées une forte éruption solaire, classée X 1.4. Située dans la région de la tache solaire 1302, elle est visible sur le limbe Est de notre étoile.

    Source : SDO et SolarHam.


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    DRAVEIL, ce samedi. Martine Comette, en compagnie du spécialiste Alain Carion, a découvert une météorite chez elle, vieille de 4,57 milliards d’années.

     

    Son nom la prédestinait. Une météorite est tombée à Draveil (Essonne), sur le toit de la maison d’une jeune femme nommée... Martine Comette. C’est en faisant venir un couvreur le mois dernier pour une tuile cassée sur son toit que cette jeune mère de famille, comptable au ministère des Finances, a découvert cet objet extraterrestre vieux de 4,57 milliards d’années.<btn_noimpr style="margin-top: 0px; margin-right: 0px; margin-bottom: 0px; margin-left: 0px; padding-top: 0px; padding-right: 0px; padding-bottom: 0px; padding-left: 0px; font-family: Arial; border-top-width: 0px; border-right-width: 0px; border-bottom-width: 0px; border-left-width: 0px; border-style: initial; border-color: initial; "></btn_noimpr>

     

    «Plus magnifique et improbable que de gagner au loto», se réjouit Martine Comette. 

    La trouvaille céleste qui provient de la ceinture astéroïde entre Mars et Jupiter a été validée ce samedi matin par le scientifique Alain Carion, spécialisé dans ce domaine : «C’est bien une météorite, confirme l'auteur du livre «Les Météorites et leurs impacts». C’est d’autant plus exceptionnel qu’on n’en a jamais trouvé à moins de 80 km de Paris».


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    La maison hantée d'Isabelle Kallenborn



     


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    La maison hantée d'Isabelle Kallenborne - Vu 4472 fois.

    Voici un court reportage sur une femme ayant vécue dans une maison hantée. Dans les années 80, Isabelle Kallenborne décide d'acheter une maison en région parisienne suite à la naissance de son fils.

    Très vite, les nuits sont perturbées par des bruits de chaise que l'on traîne dans la cuisine. Son mari descend pour s'assurer qu'il ne s'agit pas d'un cambrioleur, mais quand il entre dans la pièce, il s'aperçoit que les chaises sont derrière la porte et découvre des traînées sur le sol. 

    À plusieurs reprises, la famille sent des odeurs forte de gaz, mais malgré l'intervention des pompiers et des agents de la compagnie de gaz, qui eux mêmes sentent bien le gaz, personnes ne trouvent l'origine de cette odeur. De plus, le bébé ne dort plus des nuits et malgré le chauffage, il fait toujours glacial dans la chambre du petit.

    Une nuit, le bébé hurle dans sa chambre, Isabelle va le réconforter et au moment de sortir de la pièce, la porte se referme violemment et la lumière ne marche plus. Par chance, une amie qui dormait dans le salon, a entendu les cris d'Isabelle et court l'aider à ouvrir la porte. Quand celle-ci s'ouvre enfin, les chiens se ruent sur les peluches du petit et les déchiquettent. Suite à cette nuit, Isabelle décide de vendre la maison.

    Un jour, elle invite pour la première fois sa voisine à boire un café. Quand cette dernière entre dans la maison, elle reste figée devant la porte de la cuisine et raconte l'histoire affreuse de la maison. Un soir de Noël, le téléphone sonne et la maman est obligée d'aller répondre au premier étage. Quand elle redescend, elle découvre sa fille dans le four. Une fois avoir appris l'histoire, Isabelle décide de se débarrasser de ce même four et une fois l'appareil sortit de la maison, la famille retrouve le calme. Il y a beaucoup moins de bruit et le bébé dort de nouveau dans sa chambre.

    Depuis la maison a été vendue et les nouveaux propriétaires n'ont jamais rien entendu. Est-ce que cette maison abrite l'esprit de la fillette? Encore un mystère non résolue.

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    Deux spectateurs d'un match de cricket ont vu un événement plus que rare en levant les yeux en même temps tout en sirotant une bière :une chute de météore « en direct ». Le « caillou » ne fait que quelques centimètres de long, mais il aurait 4,5 milliards d'années (environ l'âge de la Terre). Il s'est cassé en deux en frappant le sol du terrain sous les yeux des deux spectateurs médusés. Un des morceaux aurait rebondi et frappé le spectateur dans la poitrine, heureusement sans le blesser. Les deux personnes ont envie de garder l'objet, mais peuvent le prêter à des experts pour examen et ainsi en savoir davantage sur la formation de notre système solaire. Si cette information s'avère, ce serait la première chute répertoriée depuis 1992 sur le territoire anglais. 


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  •  En comparant les données fournies par la sonde Ulysse et d’autres concernant les séismes, le champ magnétique et même lesmouvements de l’atmosphère sur Terre des chercheurs ont fait une découverte stupéfiante : La Terre résonne au diapason de certaines ondes sonores se propageant dans le plasma solaire, c’est donc littéralement le son du Soleil qu’il est possible « d’entendre » sur notre planète

     http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronomie/d/le-son-du-soleil-fait-resonner-la-terre_12759/

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    La sonde Ulysse étudiant les pôles du Soleil (Crédit : ESA).

    Il n’y a probablement plus grand monde qui s’en souvienne, à part les physiciens solaires, mais une sonde de l’ESA, Ulysse, est en orbite polaire depuis 16 ans autour du Soleil.

    De fait, non seulement Ulysse est la première sonde spatiale à explorer levent solaire au-dessus des pôles du Soleil mais c’est aussi probablement le seul objet du Système Solaire à tourner de la sorte autour de notre astreavec une période orbitale de 6 ans environ. Le satellite est passé une première fois au-dessus des pôles sud et nord du Soleil en 1994 et 1995, et surtout, au moment du maximum d’activité du cycle solaire de 11 ans entre 2000 et 2001. Il avait d’ailleurs permis à ce moment là d’observer de claires différences entre les régions polaires et équatoriales.

    Depuis son lancement, les instruments à bord d’Ulysse enregistrent de multiples informations sur le flux de particules émises par notre étoile, ainsi que sur les variations et la structure du champ magnétique interplanétaire.

    David Thomson et Louis Lanzerotti, des membres de l’équipe chargée de l’expérience HISCALE équipant Ulysse, ont alors eu l’idée avec leur collègues Frank Vernon, Marc Lessard et Lindsay Smith d’étudier de possibles corrélations entre l’activité du Soleil observée par la sonde et le comportement de différents systèmes géophysiques, comme l’atmosphère, le champ magnétique et même les variations de courant dans les câbles océaniques.

    A leur grande surprise, ils ont constaté que certaines des harmoniques bien précises prédites par les héliosismologues, et concernant ce qu’on appelle les ondes de pression (Modes p) et les ondes de gravité (Modes g) du Soleil, étaient bien présentes dans les systèmes terrestres. Attention tout de même à ne pas confondre les ondes de gravité, qui sont des ondes sonores se produisant dans un milieu fluide sous l’action des forces de rappel de la gravité, et les ondes gravitationnelles qui sont des ondes se propageant par déformation du tissu de l’espace-temps en relativité générale.

    Cette découverte est particulièrement intéressante au moins pour la raison suivante. Si les ondes de pression du Soleil avaient bien été détectées depuis longtemps par des réseaux de télescopes sur Terre, et surtout par le satellite SOHO, il n’en était pas de même (ou presque) pour les ondes de gravité se manifestant par ce que les astrophysiciens appellent donc les modes g d’oscillations des étoiles. Ces modes sont générés très en profondeur à l’intérieur du Soleil et ils sont donc susceptibles de nous fournir des informations importantes sur les détails de la machinerie interne de celui-ci, et ce, de façon complémentaire avec les données de l’astronomieneutrino obtenues grâce à des expériences comme BOREXINO : on comprend donc l’excitation des astrophysiciens.

    On peut évidemment être surpris par ce phénomène de résonance entre des ondes sonores dans le plasma solaire et des ondes sismiques sur Terre ou des ondes sonores dans son atmosphère. Pour David Thomson, il n’y aurait en fait rien de mystérieux, quand bien même des ondes sonores ne peuvent évidemment pas voyager dans le vide interplanétaire. La situation serait très similaire avec celle concernant les transmissions radio sur Terre.


    Le champ magnétique du Soleil se couple avec celui de la Terre par l'intermédiaire du vent solaire.
    Crédit : ESA

    En effet, les modes p et g se propageant dans le plasma constituant notre étoile, ils sont naturellement couplés au champ magnétique du Soleil qui lui-même influence et pilote une partie du champ magnétique de la Terre par l'intermédiaire du vent solaire. Comme le champ magnétique de notre planète est lui aussi couplé avec différents systèmes physiques et géophysiques, rétrospectivement, le phénomène découvert n’aurait rien d’étonnant.

    En ce qui concerne le son lui-même, il n’est pas audible à l’oreille humaine, principalement d’ailleurs parce que les fréquences le composant sont comprises entre 100 et 5 000 microHertz. Comme un microHertz correspond à une période de 278 heures, on conçoit aisément l’impossibilité de la chose, surtout si l’on garde à l’esprit le fait que les notes jouées sur un instrument de musique, comme un piano, correspondent à des fréquences de plusieurs centaines d’Hertz. Il est néanmoins possible de transcrire ce son du Soleil dans la bande audible comme on peut le constater dans le lien vidéo donné ci-dessous.

     


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