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    C'est une maladie extrêmement rare qui s'est abattue sur ce petit village brésilien. Un habitant sur quarante y est désormais touché par un mal qui les fait fondre littéralement au soleil.

    <section class="clear" style="clear: both; font-family: Arial, Helvetica, 'Helvetica Neue', sans-serif; background-color: rgb(255, 255, 255);"><section class="art_aside" style="width: 250px; float: right; margin: 5px 0px 15px 15px;"><section class="photo" style="border-color: rgb(102, 102, 102); margin: 0px 0px 10px;">© ap.</section><section class="photo" style="border-color: rgb(102, 102, 102); margin: 0px 0px 10px;">© ap.</section><section class="photo" style="border-color: rgb(102, 102, 102); margin: 0px 0px 10px;">© ap.</section><section class="photo" style="border-color: rgb(102, 102, 102); margin: 0px 0px 10px;">© ap.</section></section>

    Araras, au Brésil. Ce petit village de 800 habitants, principalement des agriculteurs, recense désormais plus de 20 personnes souffrant dexeroderma pigmentosum (XP), une maladie héréditaire rare qui rend les personnes extrêmement sensibles aux rayons ultraviolets. Très étonnant lorsque l'on sait que cette maladie touche en moyenne une personne sur un million.

    Selon le DailyMail, l'étrange propagation de cette maladie dans ce village en particulier viendrait du fait qu'il s'agisse d'une communauté composée de quelques familles dont les membres se sont unis entre eux de génération en génération. Ces personnes ont un risque très élevé de développer un cancer de la peau. Une peau qui fond au soleil et qui, une fois endommagée, ne peut être réparée, comme l'explique Djalma Antonio Jardim, un agriculteur de 38 ans qui souffre de cette pathologie depuis l'âge de neuf ans.

    "J'étais constamment exposé au soleil", confie-t-il au DailyMail. Et lorsque les premiers symptomes sont apparus, sa famille ne s'est pas inquiétée outre mesure. "Personne ne savait à quel point cette maladie était dangereuse. Nous n'avons pas pris de précautions et nous avons continué à travailler sous le soleil".

    Mais travailler dans les champs est désormais totalement impossible pour Djalma Antonio Jardim, dont le nez et les lèvres ont été totalement rongés par le soleil. L'homme qui a déjà subi plus de 50 interventions chirurgicales pour enlever des tumeurs, se promène aujourd'hui avec un masque pour tenter de cacher sa maladie qui ne fait que s'aggraver au fil des ans.

    </section>

     

     


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  • Environ 25 millions de mesure ont permis de mesurer au millimètre près la hauteur de la glace qui recouvre l’inlandsis de l’antarctique et donc de reconstituer la géographie du continent prétendument récemment découvert. 

     

    « On a ainsi découvert que le volume de glace en Antarctique est 4,6 % plus élevé qu'on ne le pensait, et qu'une plus grande quantité de glace susceptible de fondre rapidement, car vulnérable au réchauffement des courants océaniques, était présente. Toutefois, l'estimation d'une hausse de la hauteur des océans de 58 mètres en cas de fonte de la calotte polaire australe a été maintenue, quoique déterminée avec plus de précision.

     

    Bedmap2 révèle aussi que le continent possède des régions en dessous du niveau de la mer plus profondes en moyenne qu'on ne le pensait. On sait ainsi que le point le plus bas est situé sous le glacier Byrd, en terre Victoria. Il se situe 2.870 m sous le niveau de la mer, ce qui représente une augmentation de l'estimation de sa profondeur de 400 m par rapport à Bedmap1. C'est aussi le record de profondeur pour une région continentale. »

     

    [Voir la source dans Futura-sciences]

     

    [La vidéo de la détermination progressive. Relief multiplié par 17]

     

     

    Ces progrès vont permettre de mieux comprendre le rôle de l’antarctique dans l’évolution du climat. Nous y reviendrons dans un autre article, car cela est fondamental.

     

     

    En effet, d’où pouvaient bien venir les eaux du déluge dont on commence à accumuler les preuves et la montée des eaux, au point que pendant sans près de 400 ans, un port ait été aménagé autour du Sphinx de Gizeh ? Tous les glaciers du monde n’y suffiraient pas. Il faut que toute la glace de l’antarctique ait fondu.

     

    C’est progressivement ce qui semble ressortir de certaines études menées avant l’établissement de cette carte.

     

    Sur cette image déduite des données collectées pour Bedmap2, la topographie réelle de l'Antarctique est révélée. Les altitudes ont été multipliées par 17, afin de rendre le relief plus facilement interprétable. © Nasa's Goddard Space Flight Center

     

     

     

     

    QUE S’EST-IL PASSE ?

     

     

    En utilisant la méthode de datation à l’ionium, des chercheurs américains ont pu établir que de grands fleuves auraient effectivement coulé dans l’Antarctique jusqu’en 6 000 ans avant notre ère. Ce ne serait que vers 4 000 ans avant notre ère que des sédiments de type glaciaire auraient commencé à se déposer au fond de la mer Ross. Les carottages indiquent qu’un climat chaud a régné pendant longtemps avant cette date. Le plateau de Gizeh était-il immergé jusqu’à cette date, ce qui expliquerait que les peuples qui possédaient la clef de leur fonctionnement ne soient revenus qu’à cette époque ?

     

    L’Antarctique jouissait d’un climat chaud à une époque où il était situé à environ 3 000 km au nord du cercle antarctique actuel. Ce fait étonnant semble bien prouvé par les découvertes récentes.

     

    Mais alors, n’y a-t-il pas une contradiction sérieuse entre le fait que la glace soit absente et le fait que l’inlandsis soit à sec ?

     

    Il semble précisément que non ! Pour deux raisons.

    • D’une part, la fin du glaciaire n’a pas encore libéré tous les glaciers du Nord.
    • D’autre part, l’Antarctique ne se serait pas trouvé à sa position actuelle ni le pôle magnétique.

    De sorte qu’à la fin du premier holocène, avec l’assèchement dû au premier grand refroidissement, une masse colossale d’eau se retrouve dans l’atmosphère, déclenche un premier déluge, entraîne le déplacement de l’antarctique et sa glaciation progressive.

     

    C’est ce scénario qu’il va falloir préciser non seulement pour comprendre les risques actuels alors que le pôle magnétique semble avoir commencé une nouvelle migration mais également pour comprendre comment et pourquoi une civilisation avancée a disparu. Procédons par étape sans aller chercher des histoires abracadabrantesques.

     

    I – L’antarctique a migré

     

     

    L’Antarctique n’a trouvé sa position actuelle que sous l’effet du déplacement de l’écorce terrestre. Cette théorie ne doit pas être confondue avec la théorie de la tectonique des plaques et de la dérive des continents. Ce mécanisme démontre que l’ensemble de la croûte terrestre (lithosphère) peut basculer de temps en temps. Cette théorie avait été ardemment défendue par Albert Einstein. Ce qui ne prouve rien sauf qu’elle n’est pas a priori totalement absurde comme certains ont voulu le dire.

     

    C’est le glissement de l’Antarctique vers le sud qui a provoqué un refroidissement progressif ainsi que la formation de sa calotte glaciaire, permettant ainsi aux eaux de redescendre malgré la sortie de l’Ere de Würms. Point que j’ai souvent expliqué lors de conférences sur le climat.

     

    Albert Einstein a parfaitement résumé le processus : « Un dépôt continuel de glace s’opère dans les régions polaires. Cette glace ne se répartit pas de manière égale autour du pôle. La rotation de la Terre agit sur ces dépôts dissymétriques, et imprime une force centrifuge qui agit sur la croûte rigide de la Terre. Cette force centrifuge induit, à partir d’un certain seuil, un déplacement de la croûte terrestre sur le reste du globe. »

    Les conséquences d’un tel déplacement ont pu être considérables sur l’ensemble de la planète : extinctions massives d’espèces animales, séismes, inondations, changement radical de climat sur les continents… Un film récent sur la réalité des légendes chinoises relataient les effets de ces changements sur les fleuves de Chine. On sait également que cela a pu provoquer le départ de populations du Nord de la Chine vers le Cambodge ou vers le continent amérindien, ce que confirme les proximités des idiomes actuels et surtout les parentés génétiques. Les 600 années de retard sur le cycle antérieurement observé de l’interglaciaire ont une bonne probabilité d’être la conséquence  plus lointaine de ces changements qui ont altéré jusqu’à y compris le déroulement du cycle de précession des équinoxes.

     

    Si des tels évènements devaient à nouveau se produire, notre civilisation n’aurait rien à envier à ce qui a suivi le déluge rapporté par les allégories lointaines des textes anciens. On sait que l’apocalypse n’est pas la révélation de l’avenir mais l’avertissement révélé d’une possibilité dont les hommes sont invités à se prémunir. Fondé sur l’expérience du passé.

     

    De nombreuses découvertes ont été effectuées ces dernières années qui prouvent formellement que l’Antarctique a bénéficié d’un climat tempéré il y a seulement 100 000 ans. La mobilité de l’Antarctique ne fait plus aucun doute car aucun arbre ne peut pousser sur une terre plongée dans l’obscurité six mois de l’année. Or une forêt côtière fossilisée a été découverte en 1990 ne datant que de deux à trois millions d’années. Mais entre 100 000 ans et 12 à 14 000 ans, il y a une marge. Certains veulent déjà placer la fameuse Atlantide dans l’Antarctique. N’allons pas trop vite. A-t-on simplement la preuve qu’une civilisation très avancée existait avant le déluge comme semblent le rapporter les textes sumériens et de manière plus floue la Bible.

     

    II – Oui, on a tout un faisceau de présomptions, sinon la preuve absolue, que le mythe de l’Atlantide que rapporte Solon mais surtout la tradition orale celte, est une réalité.

     

    Ne revenons pas aujourd’hui sur les pyramides égyptiennes et mayas. Il est désormais établi, au-delà des polémiques ridicules, que certaines, pas toutes, ont été édifiées AVANT le déluge, c’est-à-dire aux environs du 12ème millénaire avant notre ère. Pour la Bosnie, les investigations sont en cours. Les pyramides chinoises semblent bien postérieures même si elles sont réalisées sur le même principe. Le baudrier d’Orion de leur implantation est dans une configuration bien postérieure. Imaginer qu’ils aient anticipé les coordonnées exactes du Baudrier avec trois millénaires d’avance ne me paraît pas très sérieux !

     

    Il vient d’autres preuves qu’une civilisation technologiquement avancée semble s’être développée vers 13 000 ans avant notre ère pour disparaître ensuite. En effet toutes les parties du monde ont été cartographiée entre environ – 13 000 et – 4 000 ans. Les fonds de carte sont du 13ème millénaire et des corrections sont disponibles jusqu’à la restauration égyptienne.

     

    A ce jour, un seul continent n’avait pu être exploré en raison de la couche de glace qui le recouvre : l’Antarctique. Et voilà qu’une carte moderne et les modèles qu’elle va permettre d’établir, vont permettre de décider si ces cartes représentent authentiquement une connaissance scientifique précise établie au 13ème millénaire avant notre ère. Un grand merci à la Nasa dans cette ère des révélations en chaîne.

     

    Déjà  se pose la question de l’existence de vestiges de cette civilisation  sur ce continent dont la superficie est d’une fois et demi celle de l’Europe, désormais recouvert d’une couche de glace pouvant aller jusqu’à 6 km d’épaisseur ! L’exploration des sous-sols demanderait des moyens colossaux. Peut-être les satellites peuvent-ils suffire à percer une partie du mystère. Pour avoir commencé d’étudier ces cartes, je ne crois guère que s’y trouve la fameuse Atlantide mais la preuve indirecte de son existence ? Oui…

     

    III – Les cartes établies avant le déluge existent

     

    En 1929, on retrouve à Constantinople une carte incomplète, datée de 1513. Cette carte représente l’Amérique du Sud et l’Afrique sur des longitudes relatives correctes. Cette exactitude est pourtant impossible car au XVIe siècle les connaissances cartographiques étaient minimes. Notamment, on ne savait pas calculer les longitudes ! La carte de Piri Reis est devenue célèbre mais elle n’est pas la seule carte ancienne, et authentifiée. Piri Reis de son vrai nom « Piri Ibn Haji Memmed, l’amiral Reis, est un Turc. Dans les notes qui accompagnent le document, il affirme que certaines des vingt cartes qui lui ont servi de sources datent d’Alexandre le Grand et que d’autres sont fondées sur les mathématiques.

     

    Le capitaine Mallery découvrira que cette carte représente une partie de l’Antarctique. Ce continent est pourtant recouvert de glaces depuis au moins 10 000 ans et n’a été découvert officiellement qu’en 1818.

    Or  la côte de la terre de la reine Maud est cartographiée sans glace, ce qui la date d’avant 4 000 ans avant J.C. D’après les géologues, il semble que ce littoral soit resté libre de glaces, de manière durable, durant au moins 9 000 ans avant qu’il n’ait été englouti par la calotte glaciaire. Si cette carte de 1513 présente un continent inconnu jusqu’au 19è siècle,  elle décrit surtout une partie de la côte dans les conditions climatiques qui ont pris fin il y a environ 6 000 ans. Elles ne se sont jamais reproduites depuis. Carte antédiluvienne ou postdiluvienne ? La question reste posée. La réponse est d’importance pour la compréhension des mythes sumériens sur lesquels je travaille (j’y reviendrai).

     

    Piri Reis a reconnu qu’il n’a été qu’un compilateur et un copiste. Certaines cartes dont il s’est inspiré remontaient, d’après lui, au quatrième siècle avant J.-C, voire même avant. Il ne connaissait évidemment pas l’identité des cartographes. Mais ce qui est intéressant, c’est que cela apporte la preuve que de vraies connaissances se sont continument transmises jusqu’à la fin des empires sumériens et pour le cas d’espèce égyptien.

     

    La carte fut envoyée au Professeur Hapgood. En 1966, dans son ouvrage Maps of the ancient sea kings « les cartes des anciens rois de la mer », il conclut  ainsi !

     

     « Il semble que des informations géographiques d’une grande précision se soient transmises de peuple en peuple. Ces cartes, selon toute vraisemblance, ont été dressées par un peuple inconnu, puis léguées à d’autres civilisations, peut-être les Crétois de l’époque de Minos et les Phéniciens ».

     

    « La plupart de ces cartes concernaient la Méditerranée et la mer Noire. Certaines représentaient le continent américain, ainsi que les océans Arctique et Antarctique. Aussi incroyable que cela puisse paraître, nous avons la preuve qu’un peuple ancien a exploré l’Antarctique quand ce continent était encore libre de glaces. Il est manifeste que ce peuple disposait d’une technologie nettement supérieure à toutes celles des peuples de l’Antiquité, du Moyen-Age et jusqu’à la seconde moitié du 18è siècle ».

     

    Malgré le soutien d’Albert Einstein, Hapgood fut ridiculisé par ses Pères jusqu’à sa mort. Aucun chercheur ne s’est penché depuis sérieusement sur ces cartes.

     

    La publication de la carte de l’inlandsis par La Nasa devrait modifier cette situation. La référence aux Crétois est intéressante. Proto-celtes liés à la navigation (liens en Egéen Aegua, gael, et tout simplement Aegyptos), ils ont sans doute hérité ces cartes  des peuples anatoliens et de Bosnie d’où ils semblent descendre. On retrouve trace de ces allégories dans la tradition orale celte.  Un gigantesque travail nous attend.

     

    Ces cartes représentent les continents européens et africains avec une incroyable précision à une époque où le calcul de la longitude est inconnu. Elles sont centrées sur le plateau de Gizeh et font état d’un pôle magnétique dévié de plusieurs degrés vers l’occident. En Amérique, l’énorme île de Marajo, découverte seulement en 1543 et très mal cartographiée jusqu’à la fin du 16è siècle, est dessinée avec exactitude. On y trouve également les Andes ; un lama figure dans l’ornementation alors que les européens n’ont encore jamais vu cet animal. On comprend peut-être mieux ce qui a permis de dessiner faune et flore amérindienne sur les chapiteaux de la chapelle Roslin.

     

    D’autres points sont encore plus intrigants. Il y a, par exemple, deux grandes îles au-dessus de l’équateur qui n’existent plus de nos jours. La localisation de l’une d’elle correspond au plateau sous-marin situé sous les îlots Saint-Pierre et Saint-Paul. D’autres îles figurent au Pôle Sud, cachées sous la glace qui ne seront connues qu’en 1958 !

     

    Cette carte est loin d’être la seule. D’autres cartographes ont partagé les mêmes secrets. J’avais déjà émis l’hypothèse que ces copies de ces cartes ramenées par les hospitaliers en 1309 en France avaient été acheminées les unes au Sud d’Edimbourg, les autres en Avignon. Les originaux (doubles sauvegardés d’Alexandrie dont certaines portent la marque) existent-ils toujours dans le saint des saints de Kashan et de Chiraz ?

     

    La carte d’Oronce Fine (Oronteus Finaeus) datée de 1531 est tout aussi incroyable. Cette carte donne les précisions suivantes : plusieurs régions côtières de l’Antarctique sont également représentées libres de glaces. Le profil du terrain et les accidents du relief visibles correspondent parfaitement à la carte de la Nasa de l’Antarctique. La mer Ross est représentée, là où aujourd’hui, les grands glaciers Beardmore et Scott se déversent dans la mer. La carte fait apparaître à cet endroit des estuaires, des fjords et des cours d’eau.

     

     

    Et que dire de la carte d’Hadji Ahmed datée de 1559 qui représente une cartographie très moderne des Amériques et surtout de leurs côtes ouest. La forme actuelle des Etats-Unis y est parfaitement reproduite. Cette perfection ne sera atteinte que deux siècles plus tard. Cette carte représente également une bande de terre large de plus de 1 500 km, reliant l’Alaska à la Sibérie. Ce pont a bel et bien existé (actuel détroit de Behring) mais il a été submergé par la montée des eaux à la fin de la dernière période glaciaire. Les proto asiatiques ont emprunté ce « pont » lors de l’accident (indéterminé) qui en chassa une partie vers les « Amériques ».

    La liste des cartes existantes serait trop longue à détailler :

    • Paul Emile Victor quand il s’est aperçu en 1950 que la carte de l’italien Zeno avait plusieurs siècles d’avance sur ses découvertes en montrant le sous-sol rocheux du Groenland ;
    • Ibn ben Zara (1487) et Benincasa (1508), cartographes arabe et portugais montrent l’Europe du Nord recouverte d’un glacier ressemblant à celui qui existait 12 000 ans avant notre ère.

    Ces cartes ont toutes la même source. Où se trouve aujourd’hui cette source ? A-t-elle été détruite ? Si oui, pourquoi ? Admettre l’existence de ces cartes signifiait remettre totalement en cause l’évolution de l’espèce humaine telle qu’elle était conçue il y a encore 40 ans. Elles remettaient en cause également le monopole de l’explication darwiniste de l’apparition de l’homme. Mais il faut désormais revenir d’urgence à la vérité.

     

    Alors que le sapiens-sapiens avec lequel nous sommes métissés en était encore à l’état sauvage, à une époque où l’Europe n’était qu’au stade préhistorique, des hominidés, pas des extra-terrestres, ont pu explorer le globe il y a au moins 10 000 ans. Il est temps de relire les textes anciens avec un autre regard et notamment le récit de la création via les allégories sumériennes. Elles racontent en fait la rencontre entre les rescapés de ces hominidés et les sapiens de la région.

     

    ALORS ?

     

     

    Ecartons  toutes les possibilités farfelues et invraisemblables qui polluent le Net et spécialement Facebook. Il est normal en revanche que chacun s’interroge à sa façon, quitte en rêvant. Il est clair que les différentes cartes sont le fruit d’un travail de topographie établi sur une très longue période, plusieurs milliers d’années. Ce n’est pas un legs instantané de dieux venus d’ailleurs ! L’Antarctique apparaît à différentes périodes de sa progressive glaciation. Ce qui devrait permettre des datations en les confrontant avec une dynamique toujours mieux connue de la climatologie. Si les scientifiques acceptent de s’en donner les moyens.

     

    De la même façon que l’égyptologie, ou l’étude des sites archéologiques de la Bible, ou la compréhension des textes sumériens sont en train de sortir du monopole des découvreurs ou des gardiens des temples vers le partage d’une démarche scientifique, sémantique, archéologique, historique, il est indispensable de mener des recherches sans apriorisme sur ces cartes.

     

    Une chose est certaine : des humains aussi instruits que nous ont précédé ou accompagné le sapiens-sapiens. Pourquoi ont-ils disparu ? Comment se sont-ils hybridés avec nous comme l’enseignent les mythes sumériens et égyptiens ? Que nous ont-ils vraiment légué ? Pourquoi une part de leur science a-t-elle été cachée détournée, idolâtrée ? Pourquoi les Anunnakis ne sont-ils plus que des Elohim et des dieux sans cervelle, tour à tour méchants ou bons ? Quel est le sens de la tentative de restauration du message ? Comment pouvons-nous éviter les erreurs passées ? Est-il déjà trop tard ? Comment ne pas partir dans des délires dangereux ? Comment arc-bouter science et connaissance ? Pourquoi certains veulent-ils s’approprier la filiation au lieu de la partager ?

     

    Comment ? Pourquoi ? Où ? D’où ?

     

    Accrochons-nous à la réalité et respectons nos rêves.

     

    Patrice Hernu

    11 juin 2013

     

    (Texte provisoire avec encore trop de notes compilées ! Juste pour mémoire avant rédaction pour une publication officielle en cours. ©2014)

     

     

    D’après des éléments fournis par :

     

     

    Carte d'Oronce Fine qui montre l'Antarctique avec des fleuves, des chaînes de montagnes et des côtes libres de glaces

     

     

    Copie de la carte de Piri Reis en couleur

     

     

    Projection de la carte de Piri Reis qui confirme que toutes les références sont centrées sur le delta du Nil et le plateau de Gizeh à l'époque conjecturées de construction de l'ensemble

     

     

    Carte reproduisant parfaitement l'Antarctique et datant de 1537

     

     

    Détail central de la carte de Piri Reis

     

     

    Carte de Piri Reis Zoom

     

     

    Carte de Mercator de 1569 qui montrent les fleuves et les montagnes de l'Antarctique couverts de glace
     
    un grand merci à Patrice Hernu pour ces esplications et surtout pour cet article merveilleux 

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    Un bout d'étoffe «taché du sang de Louis XVI» vendu aux enchères


    Une relique contenant un fragment d'étoffe en lin «taché du sang de Louis XVI», sera vendue le 3 avril aux enchères à l'Hôtel Drouot à Paris. Elle est conservée dans un cercueil miniature en acajou et ébène sculpté.

    L'Hôtel Drouot mettra en vente une pièce d'étoffe en lin «taché du sang de Louis XVI».

     

     

    Cette pièce est estimée entre 4000 et 6000 euros (4950 et 7400 francs), a indiqué la maison de vente Coutau Bégarie, qui organise cette vente de souvenirs historiques.

    La relique est accompagnée d'une inscription manuscrite à l'encre sur une feuille de papier indiquant «Sang précieux de Louis XVI, 21 janvier 1793. Donné par le colonel Joubert en 1829».

    Incarcéré à la prison du Temple en 1792, le roi Louis XVI a été jugé, condamné à mort puis a été guillotiné le 21 janvier 1793 sur la place de la Révolution (devenue depuis place de la Concorde).

     

    Cheveux ramassés

    «Après son exécution, les gens se sont jetés sur les effets du roi déchu. Ses cheveux, coupés par le bourreau, ont été ramassés et revendus», déclare l'expert de la vente Cyrille Boulay.

    Des écrits indiquent aussi que «les citoyens ont trempé leurs piques et leurs mouchoirs dans le sang» du condamné.

    L'étoffe relique mesure 20 cm sur 16 cm.

    Le mini-cercueil de 9 cm de hauteur sur 13 cm de longueur contient également une petite bourse remplie de sable, «recueilli probablement sur le sol au pied de la guillotine le jour où le roi fut décapité», selon l'expert.

    Pas de certitude

    L'expert concède qu'«il n'y a pas de preuve absolue qu'il s'agisse bien du sang de Louis XVI. «Pour cela il faudrait faire des analyses ADN», dit-il.

    Les nostalgiques de Louis XVI pourront également acheter sa boucle de chaussure en argent, conservée par Jean-Baptiste Cléry, valet du roi à la prison du Temple. Elle est évaluée entre 3000 et 5000 euros (3700 et 6200 francs).

    Elle a été donnée par Cléry, réfugié en Belgique, au duc Guillaume-Joseph de Looz Croswarem, et conservée depuis dans sa descendance, précise l'expert.(ats/afp/Newsnet)


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  • Un habitant de Morteau, dans le Haut-Doubs, d'ordinaire plutôt réputé loin à la ronde pour ses fameuses saucisses, affirme avoir recouvré la vue après s’être nettoyé les yeux avec l’eau de la grotte-chapelle de la Vierge de Remonot.

    La grotte chapelle de Remonot, près de Morteau.A priori, Jean Cairey-Remonay, 74 ans, n’a rien d’un illuminé. Ce chimiste retraité d’une grande usine de Morteau, tenue durant des années par sa famille, est pourtant le protagoniste d’une histoire peu commune survenue le 19 janvier dernier. Il affirme à qui veut bien l’entendre qu'en ce jour béni, il a retrouvé le plein usage de ses yeux.

     

     

    «Quand j’étais enfant, j’ai été victime d’une mine laissée là après la guerre. J’ai perdu un œil et l’autre ne m’assure que 3/20e d'acuité visuel. Depuis le début du mois de novembre j’avais perdu la vue à cet œil. J’ai ce que l’on appelle un trou rétinien. Je devais subir une opération lourde à Paris. Ce qui me faisait le plus peur c’était la suite, je devais rester couché durant vingt jours dans le noir, 23 heures sur 24», relate le septuagénaire dans les colonnes de L’Est Républicain.

    «Je me suis frotté les yeux»

    Angoissé à la perspective de vivre ces moments pénibles, Jean Cairey-Remonay prend contact avec des religieuses, à Remonot, village situé entre Morteau et Pontarlier, afin qu’elles organisent une messe. Lieu choisi et tout indiqué: la grotte-chapelle située entre Morteau et Pontarlier.

    Selon des historiens, ce lieu est devenu sacré à l’époque des druides. Dès le Moyen-Age, il est considéré comme un lieu de pèlerinage et son eau devient plus particulièrement réputée pour la guérison des yeux.

     

    «J’y vais depuis que je suis petit, à l’époque c’était avec ma grand-mère. Ce 19 janvier, je me suis frotté les yeux avec l’eau», confie Jean Cairey-Remonay avant d’ajouter: «Il ne s’est d'abord rien passé. C’est trois heures après, quand j’étais rentré à la maison que la vue m’est revenue. Je pouvais relire, les lignes aplaties se redressaient. C’était complètement inespéré. Et depuis, je vois assez pour lire le journal ou même les petites lettres sur les boites de médicaments. »

    Chirurgien très étonné

     

    L’événement ne l’empêche pas le retraité de consulter le praticien chargé de l’opérer à Paris. «Il m’a dit que c’était totalement inexplicable pour lui mais qu’il n’était plus nécessaire de m’opérer. Le trou s’était bouché. Et cela semble définitif. Il était très étonné», souligne le septuagénaire «miraculé».

    L’histoire de Jean Cairey-Remonay commence à faire le tour des médias. Le Figaro a interrogé un spécialiste, le professeur Gilles Renard, directeur scientifique à la Société française d'ophtalmologie (SFO). «Le trou rétinien est une pathologie banale, un traumaculaire, qui survient chez les personnes âgées par modification du vitré et qui contracte la rétine pour donner l'impression d'un trou», explique le spécialiste.

    «L'opération prend 45 minutes à une heure et consiste à enlever le vitré de la surface de la rétine. Après quoi le trou disparaît et la vision revient. Or il arrive que le vitré se décolle spontanément. Ce n'est pas fréquent mais pas exceptionnel non plus, bien des opérations ont été annulées en raison de ces autoguérisons».

    Explication médicale

    Pour les milieux scientifiques, l’histoire heureuse de Jean Cairey-Remonay pourrait donc avoir une explication purement médicale: le frottement de ses yeux a pu aider à recouvrer la vue, bien davantage que l'eau «bénite».

    Egalement contacté par L’Est Républicain, Mgr Lacrampe, évêque de Besançon fait preuve de prudence, tout en prenant note de l’issue réjouissante de la messe-pèlerinage: « Si cette personne est guérie ou soulagée alors on ne peut que s’en réjouir et rendre grâce ».

    Quant à certifier être en présence d’un miracle, la procédure ecclésiastique passe, entre autres, par une commission composée aussi de scientifiques laïques, précise l’évêché de Besançon. Autant dire, qu'on en est bien loin...(Newsnet)


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    Maubourguet. Un objet non identifié découvert sur un chantier

     
    Maubourguet. Un objet non identifié - Tous droits réservés. Copie interdite.
    Maubourguet. Un objet non identifié () 

    Maubourguet. Un objet non identifié

    Cet objet a été trouvé lors des fouilles et des travaux de terrassement du nouveau complexe sportif derrière le collège. Ce n'est pas un objet volant, bien au contraire, et les ouvriers interrogés ce jeudi 28 février ignorent tout de cet étrange objet.

    Il ressemble à une grosse altère qui s'élève à 2 m environ du sol sur près de 6 m de long. Il est rouillé et a un écrasement en son milieu qui fait penser à un gros huit. Et si c'était une dalle de dolmen ? et si c'était… À l'heure où nous écrivons ces lignes, nous n'avons pas de réponse.sourcehttp://www.ladepeche.fr/article/2013/03/02/1573130-maubourguet-un-objet-non-identifie.html#xtor=EPR-1


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