•  

    Une faille de 1500 mètres à Mexico.

     

    De t’elle fissure se multiplie dans le monde mais la c’est exceptionnel ? 
    Les failles sont un phénomène qui tend à se répandre, et cette fois-ci c’est à Mexico que le phénomène à eut lieu, plutôt inquiétant lorsqu’on sait que la zone est sismique…
    La fissure qui est apparu le 13 Juillet sur la base de St. Mary Huejoculco à Chalco, Mexico, elle atteint 1 km et demi de long et les autorités n’ont pas pris des mesures préventives a déclaré James Hilario Espinoza, chef du projet de planification sociale de la Sierra Nevada de l’Université autonome métropolitaine.
    En outre comme travail d’enquête, après qu’il a été constaté qu’à St. Mary Huejoculco il y avait une autre fissure à environ quatre kilomètres de la Candelaria de Tlapalan, dans la communauté de Miraflores, à Chalco, a expliqué le professeur dans une entrevue avec Martin Espinosa pour le Multimédia Image Group.
    Ces failles font partie d’une famille de fissures qui existent dans la région et menace de s’étendre à travers la vallée orientale du Mexique à la suite de la surexploitation de l’aquifère et la prolifération des lotissements.


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  •  êtes vou surpris de ce qui suit? voilà ce qu'on peut lire ce matin sur  un site 

    Les Etats confisquent les chiffres relatifs à la contamination nucléaire

     http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/les-etats-confisquent-les-chiffres-91175

     

     

    La publication des données du réseau CTBTO (1) ainsi que des installations nucléaires nordaméricaines nous aurait renseigné précisément sur les niveaux de contamination de l’air et nous aurait permis d’évaluer de façon fiable les niveaux de risque bien avant que les masses d’air contaminé n’arrivent sur l’Europe. La CRIIRAD lance un appel international, invitant citoyens, associations, scientifiques, élus… de tous pays à se mobiliser à ses côtés afin d’exiger que les résultats relatifs à la contamination radioactive de l’air, obtenus grâce à l’argent public, soient mis à disposition du public ET SERVENT A SA PROTECTION.

    1- Pas de données interprétables pour l’Amérique du nord !
     
    Plus de 10 jours après le début des rejets radioactifs, les masses d’air contaminé ont traversé des pays aussi étendus que les Etats-Unis et le Canada, des pays qui disposent d’équipements performants, leur permettant d’évaluer précisément l’activité volumique (2) de chacun des radionucléides présents, en tout cas des plus problématiques d’un point de vue sanitaire. Or, en dépit des recherches conduites depuis plusieurs jours, la CRIIRAD n’a trouvé aucun chiffre sur la contamination de l’air. Ne sont accessibles que des résultats sur les débits de dose ou les taux d’émissions de rayonnements bêta et gamma, qui ne permettent pas d’évaluer le niveau de risque. Ils ne permettent d’ailleurs même pas d’établir une relation certaine entre l’élévation des valeurs et le passage des masses d’air contaminé.
     
    La CRIIRAD va adresser, aux ambassades de ces deux pays, des demandes officielles pour que soient publiés dans les meilleurs délais les résultats que détiennent forcément les exploitants d’installations nucléaires, qu’elles soient civiles ou militaires.
     
    Précisons à cet égard que les balises de l’IRSN implantées à Saint-Pierre et Miquelon, en Martiniqueet en Guadeloupe ne mesurent que le niveau de rayonnement (les débits de dose exprimés en μSv/h). Ces résultats ne permettent pas d’évaluer les risques.
     
    2- Black-out international
     
    A la recherche de stations de mesures intermédiaires entre le Japon et la France, le laboratoire de la CRIIRAD s’est tourné vers le réseau mis en place par l’Organisation du Traité d’Interdiction Complète des Essais nucléaires (OTICE) (1).
     
    Il s’agit de stations de mesure réparties sur l’ensemble de la planète et qui enregistrent divers paramètres afin de contrôler qu’aucun essai nucléaire souterrain n’est effectué en violation des dispositions du traité (cf. Corée du Nord). Elles mesurent plusieurs paramètres : données sismiques, hydroacoustiques, infrasoniques et radionucléides. Une soixantaine de stations sont équipées de laboratoires d’analyses radiologiques (voir carte ci-dessous). Elles sont capables de mesurer de très faibles niveaux de contamination dans l’air car l’une de leurs missions est de mesurer la contamination consécutive aux essais nucléaires atmosphériques.
    Ces laboratoires disposent de systèmes de détection de la radioactivité parfaitement adaptés à l’identification et à la quantification des produits radioactifs présents dans les masses d’air contaminé par les rejets radioactifs de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi.
     
    Le samedi 19 mars, la CRIIRAD adressait donc une demande de communication de résultats à Mme THUNBORG, responsable de l’information publique à l’OTICE. Elle nous répondait le lendemain soir qu’elle transmettait notre demande à la division en charge de la sécurité des données (3). Le lundi, faute de réponse, la CRIIRAD réitérait sa demande en insistant sur l’urgence de la situation et en précisant que faute de réponse rapide elle dénoncerait publiquement la situation. Mme THUNBORG nous conseillait par retour de nous adresser aux autorités françaises et, soucieuse de nous aider, nous orientait vers des articles où des institutions autrichiennes, suédoises ou allemandes qui ont accès aux données avaient laissé filtrer quelques résultats. Nous obtenions ainsi quelques données mais trop parcellaires et impossible à corréler dans l’espace et dans le temps.
     
    Deux heures plus tard, un courriel de M. SCOTTI (4), nous indiquait que « Les données collectées par le réseau des stations du STP ne peuvent être communiquées qu'aux correspondants (centres de données nationaux) désignés par les Etats Signataires du TICE. Pour la France, l'organisme destinataire de ces données est le Commissariat à l'Energie Atomique ». Le responsable du laboratoire de la CRIIRAD s’adressait le jour même au CEA : « Je vous serais reconnaissant de m’indiquer comment la CRIIRAD peut avoir accès, dans les meilleurs délais, aux données collectées par les stations de surveillance du réseau de l'OTICE, en particulier en ce qui concerne les radionucléides (notamment Cs137 et I131, Sr 90, gaz rares, tritium, transuraniens). Il s’agit pour nous d’affiner les prévisions concernant l’impact des rejets du site de Fukushima et de répondre aux inquiétudes du public français. »
     
    La réponse nous parvenait le lendemain en milieu de journée : aucune donnée ne nous sera communiquée. Le réseau international de mesure obéit à des règles de confidentialité définies strictement par les Etats membres du traité d’Interdiction Complète des Essais. « Les données sont donc uniquement transmises àdes points de contact nationaux nommés par les Etats qui en font une analyse dans l'objectif du Traité, à savoir détecter tout essai nucléaire qui aurait été mené en contradiction avec l'engagement des États ayant ratifié le TICE. ». Pour la France, il s’agit du Commissariat à l’Energie Atomique (CEA), organisme en charge du développement des activités nucléaires militaires et civiles.
     
    La réponse indiquait en outre que « Suite à l'accident de Fukushima, à la demande des États signataires du TICE, les données sur l’activité des radionucléides sont transmises à l'Agence Internationale de l'Energie Atomique (AIEA) et à l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Les équipes de ces deux organisations en charge des aspects sûreté et radioprotection peuvent ainsi les utiliser en complément de l'ensemble des données fournies par les États, pour établir les évaluations nécessaires à la protection des personnes susceptibles d'être concernées par les retombées de l'accident. ». Or, ni l’AIEA, ni l’OMS n’ont rendu publics ces résultats.
     
    Il faut dire que l’AIEA a en charge la promotion des activités nucléaires civiles (voir statuts) (5) et que l’OMS qui est normalement en charge de la santé publique a signé avec l’AIEA, dès 1959, un accord qui dispose que les deux agences « agiront en coopération étroite et se consulteront régulièrement ».
     
    3- BILAN
     
    Depuis plus de 10 jours, la centrale nucléaire de FUKUSHIMA DAIICHI rejette des produits radioactifs dans l’atmosphère : ces rejets ne sont ni maîtrisés ni quantifiés. Dans le même temps des stations de mesures réparties sur l’ensemble de notre planète enregistrent les niveaux de radioactivité de l’air et suivent pas à pas l’évolution de la radioactivité dans l’espace et dans le temps… mais veillent jalousement à ce que ces données restent secrètes.
     
    Cette situation est choquante en temps normal, totalement inacceptable en situation d’urgence radiologique. Et d’autant plus inacceptable que ce réseau de mesure est financé par l’argent public !
     
    Les Etats cotisent en effet à hauteur de 55 700 000 € pour faire fonctionner les stations de mesure. Les citoyens américains respirent depuis le 17 mars dernier les particules radioactives rejetées par les réacteurs nucléaires et les piscines de stockage de combustible irradié de la centrale de FUKUSHIMA DAIICHI. Premiers contributeurs au budget du réseau, ils apprécieront de n’avoir strictement aucune donnée en contrepartie de leurs 12 millions d’euros. Un sacré marché de dupes. A noter qu’avec un versement de 3 600 000 €, les Français ne sont pas mieux lotis.
     
    La CRIIRAD reçoit des centaines d’appels de personnes inquiètes de la contamination de l’air qu’elles respirent, inquiètes pour elles-mêmes et surtout pour leurs enfants. Elle aimerait informer correctement, et si possible rassurer, mais sur des bases solides, tous ses correspondants, qu’ils habitent le Finistère, la Martinique ou la Corée du Sud. Elle invite chaque citoyen, chaque association, chaque scientifique, chaque élus… à se mobiliser pour obtenir la levée du secret sur les niveaux de contamination de l’air. Une pétition sera prochainement mise en ligne pour collecter des signatures sur la France mais chacun peut d’ores et déjà relayer la mobilisation à l’étranger et intervenir auprès des autorités de son pays pour dénoncer la situation.
     
    ---
     
    Notes : 
     
    (1) Le CTBTO – Comprehensive Nuclear-Test-Ban Treaty Organisation – est une organisation mise en place dans le cadre du traité d’interdiction totale des essais nucléaires (TICE en français), accord multilatéral ouvert à la signature le 24 septembre 1996 www.ctbto.org
     
    (2) L’activité volumique s’exprime en becquerels par mètre cube d’air (notée Bq/m3). Elle renseigne sur le nombre de désintégrations qui se produisent par unité de temps et de volume. Une valeur de 15 Bq/m3 signifie que dans un mètre cube d’air, à chaque seconde, 15 noyaux d’atomes radioactifs se désintègrent en émettant des rayonnements ionisants. Cette valeur décroît en fonction de la période radioactive du radionucléide considéré. La période correspond au temps au bout duquel l’activité est divisée par 2 : 8 jours pour l’iode 131 ; 30 ans pour le césium 137 ; 2 ans pour le césium 134. Document CRIIRAD
     
    (3) “I have forwarded your request to the Division responsible for the Secure data. They will get back to you in regards to your inquiry. Best regards”, Annika THUNBORG, Spokesperson and Chief of Public Information, Preparatory Commission for the Comprehensive Nuclear-Test-Ban Treaty Organization (CTBTO), UN, Vienna, Austria.
     
    (4) M. Lucien SCOTTI, Conseiller, Représentation Permanente de la France auprès des Nations Unies et des Organisations Internationales à Vienne Document CRIIRAD nous d’affiner les prévisions concernant l’impact des rejets du site de Fukushima et de répondre aux inquiétudes du public français. »
     
    (5) Article 2 des statuts de l’AIEA : « L’Agence s’efforce de hâter et d’accroître la contribution de l’énergie atomique à la paix, la santé et la prospérité dans le monde entier. Elle s’assure, dans la mesure de ses moyens, que l’aide fournie par elle-même ou à sa demande ou sous sa direction ou sous son contrôle n’est pas utilisée de manière à servir à des fins militaires. »

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  •  Les 10 techniques de manipulation de masse


                                                                          Selon Noam Chomsky



    1/ La stratégie de la distraction

    Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes. La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s’intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l’économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique. « Garder l’attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser; de retour à la ferme avec les autres animaux. » Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »

    2/ Créer des problèmes, puis offrir des solutions

    Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution ». On crée d’abord un problème, une « situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter. Par exemple: laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.

    3/ La stratégie de la dégradation

    Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement, en « dégradé », sur une durée de 10 ans. C’est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles (néolibéralisme) ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n’assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution s’ils avaient été appliqués brutalement.

    4/ La stratégie du différé

    Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un sacrifice immédiat. D’abord parce que l’effort n’est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que « tout ira mieux demain » et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation lorsque le moment sera venu.

    5/ S’adresser au public comme à des enfants en bas-âge

    La plupart des publicités destinées au grand-public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-age ou un handicapé mental. Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi ? « Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d’une personne de 12 ans ». Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles ».

    6/ Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion

    Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements…

    7/ Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise

    Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage. « La qualité de l’éducation donnée aux classes inférieures doit être la plus pauvre, de telle sorte que le fossé de l’ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures. Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »

    8/ Encourager le public à se complaire dans la médiocrité

    Encourager le public à trouver « cool » le fait d’être bête, vulgaire, et inculte…

    9/ Remplacer la révolte par la culpabilité

    Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l’individu s’auto-dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action. Et sans action, pas de révolution!…

    10/ Connaître les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes

    Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, le « système » est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux connaître l’individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes.
     
     

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  •   http://pollutionespace.lescigales.org/pollution.html#origine

    1)Les origines

      

    Il existe une multitude de débris autour de la terre

    Parmi tous ces débris nous pouvons tout d'abord remarquer les variations de tailles. En effet nous trouvons autour de la Terre des gros tout comme des petits débris.
    Parmis les plus volumineux, nous remarquons la présence de satellites en fin de vie qui restent en orbite autour de la Terre mais aussi des débris post-opérationnels comme des objets mis en orbite en même temps que le satellite (dernier étage du lanceur, dispositifs de séparation, capot de protection, .. ).
    Lorsqu'une fusée est lancée elle met en orbite ses différents étages, se sont ces étages de fusée qui constituent nos gros débris en gravitation autour de la Terre, en 1986 l'explosion de l'étage supérieur d'Ariane VI a provoqué la création de 700 débris. Les étages libérés par la fusée lancée sont ensuite séparés, c'est suite à cette séparation que nous avons des petits débris il s'agit de fragments de peinture, d'acier ou encore des résidus de carburant. Les débris peuvent aussi être le résultat d'explosions, volontaires ou non, ou de collisions entre objets ce qui crée un effet de cascade. La destruction du satellite chinois Feng yum - IC a provoqué la formation du plus important nuage de déchets orbitaux de l'histoire, soit 2500 débris.

     

    • Cependant la pollution de l'espace ne vient pas seulement des fusées.


    L'Homme devenu expert en pollution terrestre continu ses performances même en dehors de sa planète.
    En effet parmis les déchets trouvés dans l'espace nous remarquons la présence de matériel d'expédition plutôt volumineux comme des caméras, des outils, .. mais aussi des déchets domestiques puisque les Soviétiques de la station MIR les vidangeaient directement dans l'espace par le sas arrière. D'autres objets plus intriguants sont envoyés.
    C'est le cas dans les années 60 où durant la guerre froide: les américains ont mis en place un système de communication basé sur l'emploi d'aiguilles à coudre mises en orbite, les envois dans l'espace d'urnes funéraires ou encore l'expérience d'un cosmonaute durant l'été 2006 qui a tenté de mettre en orbite une balle de golf depuis la station spatiale internationale.

      

    2)Des débris nombreux


    La NASA suit actuellement 100 000 déchets d'un diamétre comprit entre 1 et 10 centimètres et 10 000 possédant un diamétre supérieur à 10 centimètres.
    D'après Fernand Alby, un travailleur au cnes  il y aurait aujourd'hui en orbite basse, c'est à dire à moins de 2000 km de la Terre, environ 10 000 objets de plus de 10 centimètres, 200 000 de 1 à 10 centimètres et 35 000 000 de 0.1 à 1 centimètres.

     Alors qu'en orbite géostationnaire, c'est à dire à 36 000 km de la Terre il y aurait environ 1 147 débris de plus de 1 mètre de large. Le nombre augmente de 200 à 250 objets de plus de 10 centimètres par an provenant des étages des lanceurs. En effet au début de l'exploration spatiale ils conservaient des résidus de carburant et selon leur déplacement en orbite ces étages se retrouvent au soleil ou à l'ombre de la Terre ce qui provoque un changement de température et donc des tensions ammenant à des explosions, d'où la création de nouveaux débris.

     

     

     

    • Dans un siècle il est prévu cinq fois plus de gros débris dans l'espace soit 50 000 débris.


    La concentration de ces objets est bien sur plus élevée sur les orbites dites "utiles" où l'activité humaine est la plus importante, ce sont les orbites géostationnaire, basse ou encore très basse.


     

     

    CNES (Centre N 

    3)Leurs effets


    La vitesse d'un débris est très élevée: en moyenne 10 km/sec. Cette vitesse crée des riques de collisions, ce sont les conséquences dévastatrices de la pollution de l'espace, mais il existe aussi des riques potentiels sur Terre.

    collision  en effet tout ce qui tombe du ciel n'arrive pas dans son entier  mais quelques residus ne se désintegrent pas
    .

     

     


     

    • Dans l'espace, les déchets sont une menace pour les satellites, la navette, la SSI et les astronautes.


    La SSI doit se déplacer régulièrement, soit plusieurs fois par an pour ne pas être percutée par des débris puiqu'ils pourraient pénétrer dans les compartiments habités et provoquer la dépressurisation de la station, ce qui pousseraient alors les astronautes à sortir de la navette et à boucher le trou avec des plaques métalliques, comme en 2003 où elle est remontée de 1.8 kilomètres pour éviter un satellite experimental italien. Les satellites en fin de vie, peuvent provoquer d'importants dégats et rendre hors service des satellites operationnels mais aussi commerciaux qui représentent de gros investissements financiers. Ca a été le cas pour le satellite millitaire français Cerise, coupé par un débris provenant de la fusée Ariane ce qui l'a rendu inopérant. 

       

    • Les navettes spatiales revenant de l'espace sont elles criblées de trous, ce qui peut aller jusqu'à 30 000 trous sur une navette.


    A chaque voyages les hublots de la navette doivent être changés et les ailes sont endomagées ce qui pourrait poser problème lors de son entrée dans l'atmosphére. De plus, les astronautes peuvent être blessés voir même tués puisqu'un scaphandre en sortie extra véhiculaire est très fragilisé. 
     

    equipe colombia 


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  • la traduction du site n'est pas une des meilleures qui soit mais c'est la seule que j'ai trouvé et elle à le mérite de dire que les cinéastes nous en mettent plein la vue avec cette histoire de 2012 tout en prenant vos petits sous au passage

     "2012" est le pire film de SF de tous les temps, dixit la NASA.

     

     

     Rappelez-vous la crise de la Y2K? Il allait et venait sans beaucoup de pleurnicher parce que d'une planification adéquate et l'analyse de la situation.spéciaux film des effets impressionnants côté, le 21 décembre 2012, ne sera pas la fin du monde comme nous le savons. Il sera, toutefois, être un autre solstice d'hiver.


    Tout comme Y2K, 2012 a été analysé et la science de la fin de la Terre une étude approfondie. Contrairement à certaines croyances communes là-bas, la science derrière la fin du monde dénoue rapidement quand cloué au calendrier 2012. Ci-dessous, scientifiques de la NASA répondre à plusieurs questions que nous sommes fréquemment posées concernant 2012.

    Question (Q): Y at-il des menaces pour la Terre en 2012? De nombreux sites Internet disent que le monde prendra fin en Décembre 2012.
    Réponse (R): Rien de grave va arriver à la Terre en 2012. Notre planète a été s'entendre très bien depuis plus de 4 milliards d'années, et les scientifiques crédibles à travers le monde ne connais pas de menace liée à 2012.

    Q: Quelle est l'origine de la prédiction que le monde prendra fin en 2012?
    A: L'histoire a commencé avec les revendications que Nibiru, une planète supposée découverte par les Sumériens, est dirigée vers la Terre. Cette catastrophe a été initialement prévue pour mai 2003, mais quand rien ne s'était passé la date de fin du monde a été repoussée à Décembre 2012. Ensuite, ces deux fables ont été reliées à la fin de l'un des cycles dans le calendrier maya antique au solstice d'hiver en 2012 - d'où la date de fin du monde prévue du 21 Décembre 2012.

    Q: La fin du calendrier maya en Décembre 2012?
    R: Tout comme le calendrier que vous avez sur votre mur de la cuisine ne cesse pas d'exister après Décembre 31, le calendrier maya ne cesse pas d'exister le 21 Décembre 2012. Cette date est la fin de la longue période maya compte mais - tout comme votre calendrier commence à nouveau sur Janvier 1 - un autre compte-longue période commence pour le calendrier maya.

    Q: Est-ce qu'un phénomènes se produisent lorsque planètes s'alignent de manière que les impacts de la Terre?
    A: Il n'y a pas alignements planétaires dans les quelques prochaines décennies, la Terre ne peut pas traverser le plan galactique en 2012, et même si ces alignements devait se produire, leurs effets sur la Terre serait négligeable. Chaque Décembre le soleil et la Terre aligner avec le centre approximatif de la Voie Lactée, mais qui est un événement annuel n'a aucune conséquence.

    "Il ya apparemment un grand intérêt dans les corps célestes, ainsi que leur emplacement et les trajectoires à la fin de l'année civile 2012. Maintenant, pour ma part l'amour d'un bon livre ou le film autant que le gars à côté. Mais les choses qui volent autour de dans le cyberespace, de la télévision et le cinéma n'est pas fondée sur la science. Il ya même un communiqué de fausses nouvelles de la NASA là-bas ... "
    - Don Yeomans, Directeur de recherche NASA

    Q: Yat-il un ou brun planète naine appelée Nibiru ou planète X ou Eris qui s'approche de la Terre et menace notre planète avec des destructions massives?
    A: Nibiru et autres histoires sur les planètes sont égarés une canular sur Internet. Il n'y a aucune base factuelle de ces réclamations. Si Nibiru ou planète X était réelle et se dirige vers une rencontre avec la Terre en 2012, les astronomes auraient été s'il suivi pendant au moins la dernière décennie, et il serait visible à ce jour à l'œil nu. De toute évidence, il n'existe pas. Eris est réel, mais c'est une planète naine semblables à Pluton qui restera dans le système solaire externe; le plus proche il peut venir à la Terre est environ 4 milliards de miles.

     



    Q: Qu'est-ce que la théorie de déplacement polaire? Est-il vrai que la croûte terrestre fait un degré de rotation de 180 autour de l'âme dans une affaire de jours voire quelques heures?
    A: Un renversement de la rotation de la Terre est impossible. Il ya des mouvements lents des continents (par exemple l'Antarctique a été près de l'équateur centaines de millions d'années), mais ce n'est rien à voir avec les revendications de l'inversion des pôles de rotation. Toutefois, bon nombre des sites en cas de catastrophe tirer un appât-et-shift pour tromper les gens. Ils prétendent avoir des relations entre la rotation et la polarité magnétique de la Terre, ce qui ne change de façon irrégulière, avec une inversion magnétique a lieu tous les 400.000 années en moyenne. Pour autant que nous savons, une telle inversion magnétique ne cause aucun préjudice à la vie sur Terre. Une inversion magnétique est très improbable dans les quelques millénaires prochaine, de toute façon.

     world end in 2012 2 December 21, 2012 Mayan Calendar Prediction:End of world, Science or Superstition






    Terre, comme on le voit dans le Blue Marble: Next Generation collection d'images, montrant la couleur de la surface de la planète en haute résolution.Cette image montre l'Amérique du Sud à partir de Septembre 2004.

    Q: Est-ce la Terre en danger d'être frappé par une météorite en 2012?
    A: La Terre a toujours été soumis à des impacts de comètes et les astéroïdes, bien que les grands succès sont très rares. Le grand impact dernière était de 65 millions d'années, et qui a conduit à l'extinction des dinosaures. Aujourd'hui, les astronomes de la NASA sont la réalisation d'une enquête intitulée l'Enquête Spaceguard de trouver toute proche de la Terre grands astéroïdes de temps avant qu'ils frappent. Nous avons déjà déterminé qu'il n'ya pas de menace des astéroïdes aussi grand que celui qui a tué les dinosaures. Tout ce travail se fait ouvertement avec les découvertes affichés chaque jour sur la NASA Bureau du programme NEO site , afin que vous puissiez voir par vous-même que rien n'est prévu pour frapper en 2012.

     


    Q: Comment puis-scientifiques de la NASA se sentent au sujet des revendications de l'attente apocalyptique?
    R: Pour toute demande de catastrophe ou des changements spectaculaires en 2012, où est la science? Où sont les preuves? Il n'en est pas, et pour toutes les assertions de fiction, si elles sont faites dans des livres, films, documentaires ou sur Internet, nous ne pouvons pas changer ce fait simple. Il n'existe aucune preuve crédible pour l'une des affirmations contenues dans le soutien d'événements inhabituels lieu en Décembre 2012.

    Q: Y at-il un danger de géant des tempêtes solaires prévus pour 2012?
    A: L'activité solaire a un cycle régulier, avec des pics d'environ tous les 11 ans. Près de ces pics d'activité, les éruptions solaires peuvent provoquer des interruptions des communications par satellite, bien que les ingénieurs apprennent à construire des appareils électroniques qui sont protégés contre la plupart des tempêtes solaires. Mais il n'y a pas de risque particulier associé à 2012. Le solaire maximum prochain aura lieu dans l'intervalle de temps 2012-2014 et on s'attend à un cycle solaire moyen, pas différente de celle des cycles précédents dans l'histoire.

     



    Ajout d'informations au sujet de 2012 est disponible sur le Web, au:


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