• bonne nouvelle on va enfin pouvoir donner des noms à nos pop corn 

    Photo : Le savions-nous ? Il y a de cela déjà plusieurs années, les États Unis ont autorisé la culture dans un but commercial, d’une plante modifiée à partir de gènes humains. Autrement dit, un riz OGM contenant des protéines humaines  contenues dans la salive et le lait maternel.

Selon les chercheurs de l’entreprise californienne Ventria, ce riz pourrait soigner les enfants de diarrhée et la déshydratation qui en découle, responsable de 2 millions de décès chaque année dans le Tiers Monde.

Dans un premier temps, 3000 hectares avaient reçu l’approbation au Texas pour la culture de ce riz transgénique. Pour soigner les enfants des pays pauvres ?

Pas tout à fait, la compagnie prévoyait à l’époque d’utiliser plutôt cette récolte dans la fabrication de boissons, desserts, yaourts et barres de céréales…

La nouvelle avait provoqué l’effroi parmi les anti-OGM.  « Le gouvernement doit obliger les Etats-Unis à interdire la production de médicaments dans nos cultures de nourriture. Il doit aussi introduire des mesures qui empêchent les cultures illégales d’OGM qui contaminent notre nourriture et s’assurer que les compagnies biotechnologiques soient responsables pour les dégâts que leurs produits causent » avait alors annoncé Clare Oxborrow, activiste des « Amis de la Terre ».

► 2007 : Le ministère de l'agriculture américain a donné son approbation préliminaire à la culture d'un riz transgénique à base de gènes humains.

C'est une société californienne de biotechnologie qui en a fait la demande. Et l'USDA- US Departement of Agriculture - a donné son premier feu vert. Ventria Bioscience va pouvoir planter son riz amélioré avec des gènes humains.

Ce riz permettra de lutter contre la diarrhée. Une étude au Pérou a montré l'efficacité de cette méthode chez de jeunes enfants atteints de diarrhée sévère... On est tout de même effaré de s'apercevoir que cette étude a été financée par la société Ventria.

Et comme le dirait Vientra Bioscience : "avec des produits innovants, nous allons améliorer votre qualité de vie"...

Ce riz est une étape majeure dans les aliments dits « Frankenstein », le premier mélange de gènes de l’homme avec ceux des plantes. Le ministère de l’Agriculture des États-Unis a déjà signalé qu’il entend permettre la culture et la vente de ce riz.

La nouvelle a provoqué l’horreur parmi les critiques des OGM et de groupes de consommateurs, des deux côtés de l’Atlantique.


A LIRE AUSSI :

- CES ANIMAUX MUTANTS QUE LA CUISINE GÉNÉTIQUE VOUS PRÉPARE
http://www.facebook.com/photo.php?fbid=325250947513398&set=a.315724878466005.71403.194826560555838&type=1&ref=notif&notif_t=photo_comment&theater


Sources :

http://www.express.be/business/fr/technology/un-bol-de-riz-au-gene-humain-sil-vous-plait/142879.htm

BBC : http://news.bbc.co.uk/2/hi/americas/6422297.stm

PHYS ORG : http://phys.org/news92460082.html

L'Homme, une arme de destruction massive : http://www.facebook.com/HADDM ~

     

     

    Le savions-nous ? Il y a de cela déjà plusieurs années, les États Unis ont autorisé la culture dans un but commercial, d’une plante modifiée à partir de gènes humains. Autrement dit, un riz OGM contenant des protéines humaines contenues dans la salive et le lait maternel.

    Selon les chercheurs de l’entreprise californienne Ventria, ce riz pourrait soigner les enfants de diarrhée et la déshydratation qui en découle, responsable de 2 millions de décès chaque année dans le Tiers Monde.

    Dans un premier temps, 3000 hectares avaient reçu l’approbation au Texas pour la culture de ce riz transgénique. Pour soigner les enfants des pays pauvres ?

    Pas tout à fait, la compagnie prévoyait à l’époque d’utiliser plutôt cette récolte dans la fabrication de boissons, desserts, yaourts et barres de céréales…

    La nouvelle avait provoqué l’effroi parmi les anti-OGM. « Le gouvernement doit obliger les Etats-Unis à interdire la production de médicaments dans nos cultures de nourriture. Il doit aussi introduire des mesures qui empêchent les cultures illégales d’OGM qui contaminent notre nourriture et s’assurer que les compagnies biotechnologiques soient responsables pour les dégâts que leurs produits causent » avait alors annoncé Clare Oxborrow, activiste des « Amis de la Terre ».

    ► 2007 : Le ministère de l'agriculture américain a donné son approbation préliminaire à la culture d'un riz transgénique à base de gènes humains.

    C'est une société californienne de biotechnologie qui en a fait la demande. Et l'USDA- US Departement of Agriculture - a donné son premier feu vert. Ventria Bioscience va pouvoir planter son riz amélioré avec des gènes humains.

    Ce riz permettra de lutter contre la diarrhée. Une étude au Pérou a montré l'efficacité de cette méthode chez de jeunes enfants atteints de diarrhée sévère... On est tout de même effaré de s'apercevoir que cette étude a été financée par la société Ventria.

    Et comme le dirait Vientra Bioscience : "avec des produits innovants, nous allons améliorer votre qualité de vie"...

    Ce riz est une étape majeure dans les aliments dits « Frankenstein », le premier mélange de gènes de l’homme avec ceux des plantes. Le ministère de l’Agriculture des États-Unis a déjà signalé qu’il entend permettre la culture et la vente de ce riz.

    La nouvelle a provoqué l’horreur parmi les critiques des OGM et de groupes de consommateurs, des deux côtés de l’Atlantique.


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    Sources :

    http://www.express.be/business/fr/technology/un-bol-de-riz-au-gene-humain-sil-vous-plait/142879.htm

    BBC : http://news.bbc.co.uk/2/hi/americas/6422297.stm

    PHYS ORG : http://phys.org/news92460082.html

    L'Homme, une arme de destruction massive :http://www.facebook.com/HADDM ~


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    Un iceberg géant se détache d'un glacier du Groenland


    Un immense bloc de glace de deux fois la superficie de Paris ou Manhattan s'est détaché d'un glacier du Groenland, selon des images satellite de la Nasa.

     

     

    en 2010 s'était détaché de ce glacier, selon le processus de désagrégation des glaciers et de création des icebergs appelé «vêlage».Selon la Nasa, la fissure était visible depuis 2011. Le satellite Aqua mis sur orbite polaire a détecté une fracture entre le 16 et le 17 juillet.

    L'océanographe Andreas Muenchow, de l'université du Delaware, précise que si les icebergs vêlés semblent immenses, l'essentiel de la fonte des glaces se passe à 600 mètres sous le niveau de la mer, là où le glacier est en contact avec le substrat rocheux et où l'eau de mer est beaucoup plus chaude qu'à la surface.

    Pas visible à l'oeil nu

    «La plus grande partie de la fonte est causée par l'océan, dans les eaux. Ce phénomène majeur n'est pas visible, il n'est pas possible de le détecter à l'oeil nu» écrit-il sur son blog.

    «Par contre, contrairement à ce que l'on pourrait penser, le détachement de ces morceaux de glace n'aura que peu d'effet direct sur le niveau de l'océan, la plaque de glace de 100 à 150 mètres d'épaisseur étant déjà plongée dans des eaux océaniques proche du point de congélation», ajoute-t-il.

    Selon Andreas Muenchow, les eaux de l'Atlantique responsables de la fonte du glacier seraient de plus en plus chaudes, selon des chiffres datant de 2003.


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    source http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2012/07/02/les-mysterieux-cercles-de-fees-de-namibie-sont-vivants/

    En Namibie, à la lisière orientale du désert du Namib, se trouve une vaste étendue de prairies clairsemées, laquelle constitue le théâtre d'un mystère de la botanique qui défie les chercheurs. Grâce aux 5 à 10 centimètres de pluie qui tombent là-bas en moyenne chaque année, des graminées parviennent à pousser sur un sol sablonneux, mais cette pauvrichonne couverture végétale est trouée par une multitude de taches circulaires, délimitées par un rond d'herbes plus denses et plus élevées que partout ailleurs, ainsi qu'on peut le voir sur la photographie ci-dessus, comme si une myriade de petits Attila s'étaient assis sur le sol et avaient empêché l'herbe d'y repousser.

     

    Selon la tradition locale, ces cercles de fées sont les empreintes de pas que les dieux laissent sur Terre. Quand, en 2005, à l'occasion de vacances qu'il passe en Namibie, l'entomologiste américain Walter Tschinkel fait la connaissance du phénomène, il se dit, un peu par déformation professionnelle : "De toute évidence, c'est causé par des termites." Soit, imagine-t-il, leurs galeries souterraines tuent la végétation par en-dessous, soit ces insectes relarguent des composés chimiques qui empoisonnent la végétation, raconte la revue Science dans l'article qu'elle vient de consacrer à Walter Tschinkel. Deux ans plus tard, celui-ci revient sur le terrain, se met à creuser dans les cercles de fées et ne trouve aucun indice permettant de valider l'hypothèse des termites. D'autres théories voulant expliquer ces motifs n'ont d'ailleurs pas bien résisté à l'analyse, comme celles de la radioactivité du sol, de l'influence néfaste de plantes sur leurs voisines, de remontées d'hydrocarbures contenus dans le sous-sol ou d'une organisation spécifique de la végétation dans des conditions de stress hydrique, capable de générer des "no plant's lands".

    Face à tous ces échecs,Walter Tschinkel s'est dit qu'avant de trouver la cause du phénomène, il fallait d'abord bien le connaître et notamment savoir sur quelle échelle de temps il se produisait. Certains avaient en effet cru que les taches étaient permanentes mais ce n'est en réalité pas le cas et,dans un article paru le 27 juin dans PLoS ONE,l'entomologiste américain, qui s'est pris de passion pour les cercles de fées namibiens, montre que ces structures étranges possèdent un véritable cycle de vie. Pour arriver à le déterminer, l'homme n'a ménagé ni son argent ni sa peine. Il a tout d'abord acheté un jeu de photos satellite prises à quatre ans d'intervalle, en 2004 et 2008, afin de détecter des traces d'évolution. Il les a ensuite couplées à des images de Google Earth et à des vues aériennes et s'est également rendu sur le terrain, pour examiner les cercles qui avaient changé d'aspect.

    Le premier constat est que, à la différence des ronds de sorcières, bien connus des amateurs de champignons, qui voient leur rayon croître sensiblement année après année, les cercles de fées n'évoluent que très peu. Leur rayon est compris entre 2 et 12 mètres et il ne varie guère une fois que les cercles se sont formés, un peu comme s'ils "naissaient" avec leur taille adulte. Ceux-ci apparaissent assez vite et se caractérisent d'abord par la disparition des végétaux, qui crée la tache. Puis, dans une phase dite de "maturation", la couronne d'herbes s'installe. Ensuite vient une période de stabilité au cours de laquelle rien ne change, sauf pour quelques cercles minoritaires qui gagnent légèrement en superficie. Au cours de cette phase, le disque dénudé se creuse sous l'action de l'érosion éolienne et prend une forme légèrement concave. Au bout de plusieurs années, l'"agonie" du cercle de fées commence et celui-ci se revégétalise. Seul demeure son "fantôme", c'est-à-dire la couronne d'herbes plus hautes qui finit par disparaître. Dans de très rares cas, le cercle, après être allé jusqu'à l'état de fantôme, ressuscite en se vidant à nouveau de ses plantes.

    En comparant les images entre elles et en les confrontant aux observations sur le terrain ainsi qu'au registre des cercles de fées "vendus" aux touristes, Walter Tschinkel a pu extrapoler la durée de vie moyenne de ces structures : 41 ans. Les taches dotées d'une surface moyenne (entre 30 et 60 m2) bénéficient de la longévité la plus importante (jusqu'à 75 ans) tandis que celle des naines et des géantes est réduite. Grâce à ces travaux, les chercheurs savent que les cercles de fées de Namibie constituent un processus dynamique mais cela ne fait finalement qu'ajouter un peu plus de complexité au mystère. Reste donc le plus compliqué pour les biologistes : déterminer ce qui peut bien être à l'origine du phénomène et pourquoi celui-ci se maintient sur des échelles de temps aussi longues puisque ce cycle de vie dure des décennies...


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    Diplômés de l’Ecole des elfes

     

    “Les gens viennent me voir avec leurs histoires en jurant qu’ils ne sont ni sous l’emprise de l’alcool ou de la drogue, ni menteurs pathologiques”, rapporte Magnus Skarphéðinsson. Directeur de l’Ecole des elfes depuis vingt ans, Magnus a rencontré plus de 700 personnes qui ont aperçu des elfes et des représentants de peuples “cachés” ou “invisibles” (uldufolk) et autres esprits de la nature. 



    “Je n’ai jamais prévu de créer une école des elfes, se souvient Magnus. Mais on ne cessait de m’interroger sur ma façon de travailler, alors j’ai fini par répondre à tout le monde de venir les vendredis. C’est comme ça que tout a commencé.” A ce jour, 8 000 personnes ont terminé leurs études dans l’établissement et ont décroché le diplôme en “études et recherches sur les elfes et autres peuples invisibles”. C’est peut-être l’un des diplômes les plus faciles et les plus agréables à obtenir qui soient. 

    Magnus nous invite dans sa classe et nous nous installons à une table. Tout autour de nous, les étagères débordent de vieux livres et de babioles. Pas moins de cinq lampes différentes trônent sur le rebord de la fenêtre, avec des objets de toutes sortes. “Bienvenue à l’Ecole des elfes”, lance Magnus. A sa connaissance, nous nous trouvons dans une école unique en son genre dans le monde. 

    ELFES . FEES

    Il commence son cours en se présentant comme un scientifique neutre qui recueille les témoignages de personnes ayant rencontré des “alfar”,un terme qui se traduit par “elfes” mais regroupe elfes, peuples invisibles, fées de lumière, nains, esprits de la montagne et gnomes. 

    Magnus nous remet une brochure contenant des dessins représentant ces esprits de la nature, dont l’aspect, assure-t-il, a été confirmé par d’innombrables témoignages. Au total, il existe treize types d’elfes, deux de nains et trois de peuples cachés. Si les elfes mesurent entre 8 et 80 centimètres de haut, les peuples invisibles, eux, seraient exactement semblables aux êtres humains, sauf qu’ils portent des habits d’antan. 

     



    “Nous ignorons encore beaucoup de choses des elfes et des peuples invisibles, reconnaît Magnus. Et ce que nous savons, nous l’avons appris de gens qui entretiennent avec eux des liens d’amitié vieux de dizaines d’années et qui ont été invités chez eux.” Après trente années passées à compiler ces expériences, il affirme n’avoir jamais rencontré personne qui en sache plus que lui sur ce sujet. 

    Environ 75 % des rencontres qu’il a consignées concernent les peuples cachés, appartenant à l’un des trois types – Moderne, Bleu et Ancien. Mais, selon Magnus, personne n’a jamais parlé à des représentants des peuples Ancien ou Bleu. “Ils s’enfuient toujours”,



    explique-t-il, puis, après avoir marqué une petite pause, il poursuit : “Ils détalent en criant : ‘Vous, espèces de braqueurs de banques !’ ” Magnus se tourne ensuite vers les Américains présents dans la classe et lance :“Vous, espèces d’impérialistes !” Sur ce, nous éclatons de rire, en pensant qu’il plaisante. Le fait est qu’il est d’humeur badine, ce soir. 

    Magnus – à ne pas confondre avec son frère, le ministre [islandais] des Affaires étrangères Össur Skarphéðinsson – est un excellent conteur. Nous passons la soirée à écouter le récit de ses rencontres l’une après l’autre. Soudain, sans crier gare, il disparaît et nous nous demandons s’il n’est pas simplement parti. Mais il revient avec une assiette pleine de gaufres tout droit sorties du four, avec de la confiture et de la crème fouettée. Il se remet à rapporter une autre série d’événements inexplicables – qui ne le sont que si vous ne croyez pas en l’existence des peuples cachés. 



    Au moment de quitter l’Ecole des elfes, diplôme en main, je ne sais pas trop quoi penser de tout cela. Je me souviens d’un documentaire réalisé en 2002, Enquête sur le monde invisible. Dans le film, l’ancienne présidente islandaise, Vigdís Finnbogadóttir, dit fort diplomatiquement : 

    “Je n’ai jamais vu d’elfe ni de peuple invisible. Je n’ai jamais rencontré de fantôme, mais j’ai souvent entendu parler d’eux. En France et en Espagne, on ne croit plus en ce genre de choses, parce que ces pays sont catholiques. Le catholicisme y est tellement puissant qu’il ne laisse aucune place à d’autres croyances. Au Moyen Age, les Islandais ont adapté le catholicisme à leur paganisme, et ils ont continué à raconter des histoires de peuples cachés, d’elfes et de fantômes. L’existence de ces créatures, des extraterrestres et d’une vie après la mort n’a jamais été prouvée. Mais c’est la même chose avec Dieu : personne n’a prouvé son existence.”



     

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  • Un article sur le site de la BBC:
    http://news.bbc.co.uk/

    Traduction par Michel Dussandier:


     
    Les autorités des Etats Unis ont donné leur approbation préliminaire à un plan de production d'un riz modifié génétiquement pour produire
    des protéines humaines. 

    Les plants de riz incorporant des gènes humains impliqués dans 
    la production de lait seraient cultivés dans le Kansas.

    La compagnie Ventria Bioscience à l'origine du projet indique
    que les plants pourraient être utilisés pour produire des médicaments contre les diarrhées et la déshydratation des enfants.

    Les critiques indiquent que des composants de ces plants de riz
    pourraient entrer dans la chaîne alimentaire.

    Selon la proposition, qui a reçu le soutien préliminaire du Ministère US de l'agriculture la semaine dernière, Ventria sèmerait son riz sur 3,000 acres (1,215 ha).

    La compagnie a indiqué qu'elle prendrait des précautions
    pour s'assurer que les semences ne se mélangent pas avec 
    les autres cultures.

    "Face à l'inconnu"

    Mais les critiques disent que de mauvaises conditions météo
    ou des erreurs humaines pourraient créer des problèmes.

     



    Bill Freese du US Center for Food Safety [une ONG] indique: "Je suis très concerné par cela, parce que je pense qu'il y a d'une part un risque de retrouver ce riz dans la chaîne alimentaire et que d'autre part il n'a pas été testé. Il n'a pas suivi le processus

     

    d'homologation des médicaments. Nous sommes ici face à l'inconnu, quelque chose qui est susceptible de mettre en danger la santé humaine".

    Face à l'augmentation de la controverse, le Ministère de 
    l'agriculture US doit encore donner son approbation finale, nous dit James Westhead de la BBC à Washington. 

     



    Et même alors, ajoute-t-il, il existe de nombreux obstacles
    règlementaires avant que de la nourriture contenant de l'ADN 
    humain puisse être vendue aux consommateurs.

    Le public a jusqu'à fin mars pour émettre des objections au plan, 
    selon l'agence Associated Press. Si l'autorisation finale est donnée, 
    Ventria commencera ses semis de riz en avril ou mai, selon Scott 
    Deeter, président de la compagnie.


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