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    Des habitants de Skopje faisaient la queue lundi devant l'église Sveti Dimitrije pour voir des icônes et des fresques qui se sont mises à briller. Le pope parle de miracle.

    Une partie de l'une des icônes se trouvant dans l'église Sveti Dimitrije, à Skopje.

    Une partie de l'une des icônes se trouvant dans l'église Sveti Dimitrije, à Skopje.

    Des centaines d'habitants de Skopje faisaient la queue lundi devant l'église Sveti Dimitrije pour voir des icônes et des fresques qui se sont mises à briller sans explication apparente. Le pope de ces lieux n'a pas hésité à qualifier ce phénomène de miracle.

    «C'est réellement un miracle, cela a commencé hier (dimanche) dans la partie centrale de l'iconostase. La couleur dorée est très visible et le phénomène se poursuit», a déclaré le pope, Dimce Malinov. Le prêtre a expliqué que les icônes et les fresques ont commencé à briller, comme si elles avaient été soigneusement et systématiquement polies par une main invisible.

    «Depuis ce matin j'ai continué à observer le phénomène, la moitié des icônes sont déjà nettoyées. D'abord apparaît une couleur rouge qui se transforme en couleur dorée (...) vous pouvez voir les icônes s'autonettoyer de haut en bas», a dit le pope. «Les gens affluent en masse et font la queue pour voir ce miracle», a-t-il ajouté.

    Le chef de l'église orthodoxe macédonienne (MPC), l'archevêque d'Ohrid, Stefan, s'est rendu en personne dimanche à l'église Sveti Dimitrije pour observer le phénomène. La MPC, interrogé par l'AFP, s'est néanmoins refusé lundi à commenter cet événement inhabituel.

    Une journaliste de l'AFP qui s'est rendue aussi sur place a confirmé que des icônes semblaient effectivement devenir de plus en plus claires sous ses yeux.(ats/Newsnet)


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    ce soir je veille et les esprits de mes parents sont là surement car ce soir j'ai compris que je suis la fusion parfaite entre eux deux , je ne possède aucune photo d'eux ni quoi que ce soit mais en me regardant dans le miroir et en passant en détail ma vie je vois qu'ils m'ont pas fait par hasard , j'ai deux soeurs qui sont totalement différentes et peu aimantes envers mes parents décédés , moi quand je me regarde je vois dans le reflet leur deux visages , leur deux intelligences leurs deux mentalités , leur deux courages et force de vivre quand que me regarde je les vois  eux et pire encore quand je regarde mes enfants je vois le simple héritage de mes parents ,aussi pour mon père et ma mère qui ne sont plus là aujourd'hui et qui sont parti communément en début de printemps il y'a plus de 20 ans je lève mon verre de respect et d'amour que j'ai toujours envers eux pour le savoir et la soif d'apprendre qu'il m'ont transmise , car rien ne remplace cette transmission aussi soyez vigilant envers vos enfants et faites ce que mes parents ont fait.

     

    vive papa jean pierre et maman Denise  et vive mes petits qui sont aussi à leur image ....


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    Le symbole de la croix est universel. Tandis que l’on peut trouver de nombreuses significations au signe « plus » ou symbole de la croix, l’arrière plan historique de la célèbre Croix Rouge des Templiers contient de multiples merveilles.

    La Croix des Templiers était venue à l’origine de la « Marque de Caïn. » Ce symbole avait été créé il y a plus de 5000 ans à l’ancienne époque sumérienne et avait été utilisé par les fidèles au Dieu Unique du « Seigneur » jusqu’à ce qu’ils arrivent, guidés par Moïse, en Palestine après être partis d’Égypte.

    La Marque de Caïn est symbolisée par une Croix Rouge entourée par un Cercle.

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    Ce que représente la Marque de Caïn peut être allégoriquement trouvé dans la Bible dans le chapitre de la Genèse (Gen. 4:13-16). Cependant, la combinaison d’un style de rédaction allégorique et de faits historiques crée un labyrinthe de confusion pour de nombreuses personnes quand elles lisent la Bible et la vérité sur la Marque de Caïn ne peut être trouvée que par celui qui s’en « rappelle. »

    Dans la Sumer antique, ceux qui portaient la « Marque de Caïn » montraient qu’ils étaient protégés par le « Seigneur » de la « fureur » de « Jéhovah. » Cette croix symbolisait qu’ils avaient quitté la voie spirituelle dans la vie consistant à prendre aux autres et avaient embrassé la voie de donner aux autres.

    Le symbole de la croix dans un cercle est très ancien et a joué un rôle important dans l’Histoire de l’Humanité. Ce symbole peut être trouvé dans de nombreuses cultures et dans de multiples endroits de par le monde. De la Croix « Rose » des Rose-Croix au « Cerceau Sacré » des Amérindiens, de la Croix « Celte » au symbole de certaines tribus du Burkina Faso et du Ghana en Afrique de l’Ouest.

    Il y a 2000 ans, Jésus voyagea beaucoup dans tout le monde occidental, le Moyen-Orient et vers l’Est en Inde, dans sa quête spirituelle pour aller au-delà de l’état d’Illumination et dans les niveaux supérieurs de Conscience de la Création. Jésus étudia pendant un moment avec les Druides celtes de Glastonbury et y appris l’histoire spirituelle du monde occidental. Il apprit aussi le vaste nombre de significations cachées et la sagesse spirituelle de la « Croix Celte », connus jadis comme la « Marque de Caïn. »

     

     

     

     

    Pour complètement comprendre la signification ésotérique de la Croix, on doit comprendre que l’on n’est pas son orteil, son doigt ni même son cerveau. Vous êtes la somme de toutes vos expériences, qui sont enregistrées électro-magnétiquement. Une « Conscience » ou un « Esprit » est ce que vous êtes vraiment, parce que votre corps physique est seulement « celui qui expérimente » pour vous dans ce niveau dense de la Création. Votre Conscience est un champ d’énergie électro-magnétique qui entoure votre corps physique. Au moment de la naissance, votre champ électro-magnétique de Conscience densifie une portion de lui-même et la place à l’intérieur du corps du bébé. Cet attachement a été appelé de bien des façons, y compris Âme, Atman et Semence Adamique. L’Âme d’un corps physique est placée au niveau du « Cœur Supérieur ». (Note : on peut localiser son Centre du Cœur Supérieur en se tenant debout et en plaçant les deux bras parallèles au sol. L’intersection de la ligne formée par les bras tendus avec le centre du corps est l’emplacement de son Centre du Cœur Supérieur ou « Âme »).

    Jésus enseignait aux premiers « Chrétiens » qui étaient prêts le processus ésotérique du Signe de Croix. Dans ce processus, on touche successivement son front, sa poitrine et ses épaules. Ces endroits sont des centres principaux pour les énergies électro-magnétiques de la Lumière Incessante et de l’Amour Inconditionnel de Dieu. La poitrine ou Cœur Supérieur est le « Siège de l’Âme », tandis que le front est directement connecté à la glande pinéale ou « Troisième Œil » qui était appelé par les anciens philosophes le « Passage vers l’Âme ». Le processus commence en plaçant de l’eau sur le front ou « Troisième Œil » pour éveiller la glande pinéale d’une personne. Ensuite, son Cœur Supérieur est tapoté pour éveiller et libérer l’Amour Inconditionnel dans la zone entourant le corps physique de la personne. Ce processus permet à des parties de son cerveau conscient (la glande pinéale) de contacter une portion densifiée de sa conscience totale (ou « Âme ») qui est dans le Cœur Supérieur. Ceci permet une communication complète avec sa Conscience totale ou Esprit, qui est le champ d’énergie électro-magnétique qui entoure le corps humain.

     

     

    Suivant les enseignements du Vrai Jésus, les premiers Chrétiens activaient leur Corps de Lumière, équilibrant ainsi les énergies mentales et émotionnelles de leur Conscience. Le contact avec chaque épaule signifiait l’activation complète de leurs deux énergies mentale et émotionnelle. Aujourd’hui, sans les Activations correctes du Corps de Lumière, tout ce qui reste de ces techniques puissantes dans l’église catholique romaine actuelle est un processus où vous vous mouillez à quatre endroits.

    Au début du XIIe siècle, les premiers Templiers redécouvrirent les Vérités de Jésus avec l’Arche d’Alliance. Là, ils trouvèrent une abondance d’informations et de techniques spirituelles loin d’être limitées aux Activations du Corps de Lumière et à la « Vrai Croix du Christianisme ». C’est par conséquent sans surprise que les Templiers reçurent du Papa Eugène III en 1146 la « Marque de Caïn » comme symbole de leur chevalerie. Dans le symbole de la Croix Rouge des Templiers, le cercle a été abandonné et la représentation stylisée pour montrer la « croix pattée » qui contient nombre de propriétés géométriques et de secrets ésotériques. Mais c’est une autre histoire.

     
     



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     Les bâtisseurs de Dieu

    Opération de «magie collective» pour la reconquête des lieux saints, les croisades ont favorisé l’essor des cathédrales gothiques dans tout l’Occident. Fondé sous l’impulsion de saint Bernard de Clairvaux, l’ordre des Templiers a versé son sang sur les champs de bataille des croisades et protégé les bâtisseurs de cathédrales, auxquels il a confié de nouveaux savoirs.


     

     

    exemple du savoir-faire des artisans de l’art gothique: la rosace de la cathédrale de Chartres (S. Abramovicz)

    Pourquoi, comment, s’est-il trouvé, tout à coup dans l’Occident chrétien, des «dompteurs» de pierre comme on n’en avait jamais vu depuis les pyramides? D’où tenaient-ils leur savoir d’initiés? Combien de générations de maçons et de tailleurs de pierre faudrait-il, aujourd’hui, pour produire des maîtres capables de réaliser l’équivalent des cathédrales de Chartres ou d’Amiens?
    On objectera que ce phénomène, unique dans l’histoire de l’architecture, est aussi une question de «mode». Le propre de l’architecture n’est-il pas de s’adapter à l’esprit de son temps? En témoigne l’œuvre du dernier bâtisseur de cathédrales, le Tessinois Mario Botta, concepteur de celle de la Résurrection à Evry, près de Paris (1995). Pour lui, l’architecture moderne ne s’applique pas qu’aux supermarchés, mais aussi aux églises, aux mosquées et synagogues…

     

     Mystérieux bâtisseurs

    Des bâtisseurs de jadis ont laissé leurs signatures, sur des poutres ou des pierres. On connaît des noms d’architectes et de maîtres d’œuvre, pour Amiens, mais pas pour Chartres… Le fait est que l’on sait peu de choses sur l’origine de ces constructeurs, sur le savoir-faire dont ils ont été les dépositaires.
    Ils étaient réunis en confréries, fraternités. Ou compagnonnages, un mot qui vient de «compas», leur outil de prédilection, et signifie aussi «qui partage le même pain».
    Les confréries les plus connues avaient pour nom les Enfants du père Soubise, les Enfants de Maître Jacques ou les Enfants de Salomon. Elles ont aujourd’hui pour héritiers les Compagnons des devoirs du Tour de France. Certains d’entre eux ont gardé une tradition initiatique et morale de savoir-faire et de «chevalerie de métier» en refusant, par exemple, de construire des forteresses et des prisons, leur œuvre étant dévolue aux hommes libres. La cathédrale, dans cette éthique, apparaît paradoxalement comme un édifice laïc, au sens originel du terme, car construit pour l’âme du peuple et non pour la gloire des seigneurs.
    De saint Louis, ardent croisé, les bâtisseurs de cathédrales obtinrent des franchises royales qui en firent des «maçons francs». C’est dire la reconnaissance et l’estime dont ils jouissaient. Ces privilèges, le roi Philippe le Bel, dans son acharnement pour anéantir les Templiers, les supprima sèchement…

     

     

     

     Sous protection templière

    En effet, les bâtisseurs de cathédrales furent pourchassés lors du procès des chevaliers du Temple, leurs protecteurs. Si bien que beaucoup disparurent, signe de leur inclusion dans l’ordre, d’autres entrant dans la clandestinité.
    La cathédrale de Chartres a dû être construite par les Enfants de Salomon, qui édifièrent la majorité des autres grands sanctuaires gothiques, comme Amiens et Reims. Les bâtisseurs étaient très liés aux Templiers, qui les avaient instruits et pris sous leur protection. Et on peut remonter plus loin. Car ces constructeurs puisent leurs origines dans les écoles initiatiques de l’ancienne Egypte.
    L’art gothique, en tout cas, prospère en même temps que l’ordre du Temple. Et il déclinera avec lui, de même que l’art du vitrail, tel que splendidement pratiqué à Chartres, lorsque l’ordre sera brisé, au terme d’un des procès les plus scandaleux de l’histoire.

     

     Mythes et Templiers

    La Chevalerie des pauvres chevaliers du Christ du temple de Salomon occupe une partie importante de la mythographie médiévale. Nés d’un temple à Jérusalem et morts sur les bûchers parisiens, condamnés par un pouvoir royal en pleine création, contre leur propre pouvoir et celui du pape, les Templiers ont rempli l’imaginaire des siècles suivants. Pauvres chevaliers maniant des fortunes, ils ont nourri la littérature historique et ésotérique. Ainsi, plusieurs auteurs, dont Louis Charpentier (Mystères de la cathédrale de Chartres et des Mystères templiers) ou Patrick Rivière sont convaincus que les Templiers, qui ont versé leur sang sur les champs de bataille des croisades, étaient les «dépositaires des Arcanes majeurs de la tradition primordiale», connaissances qui leur ont permis d’instruire les bâtisseurs.
    Ainsi, les premiers Templiers auraient occulté leur mission officielle de défenseurs des routes pèlerines pour se livrer à d’intenses fouilles (neuf ans!) dans le temple de Salomon à Jérusalem et y auraient trouvé l’Arche d’alliance, réceptacle des Tables de la Loi. Des objets non pas «magiques», mais porteurs de lois mathématiques régissant l’univers. La clé, en quelque sorte, du progrès humain. Ramenés secrètement en France pour être mis en lieu sûr, ces objets auraient été contemplés par quelques initiés, dont saint Bernard de Clairvaux, le phare spirituel de l’Occident. Mais il n’existe aucune preuve de cela… Une absence qui participe au mystère des Templiers.

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     Bases d’une civilisation

    C’est au retour de ces neufs Templiers, tous connus, qu’a été promulguée, en 1128, la règle de l’ordre du Temple lors du Concile de Troyes, convoqué sous l’impulsion du même saint Bernard. Dès lors, l’ordre se développe d’une façon extraordinaire. Il organise un solide système d’économie publique, protège cultures et récoltes, sécurise routes et transport, crée la lettre de change. Les Templiers se muent en trésoriers.
    Ce sont eux qui payeront l’énorme rançon pour libérer saint Louis, fait prisonnier en 1250 en Egypte. Eux, encore, qui financent les chantiers des cathédrales et qui prêtent des sommes faramineuses à Philippe le Bel, qui prend peu à peu ombrage de la puissance grandissante de cet état dans l’Etat. Accusés d’hérésie, les Templiers, dont leur grand maître Jacques de Molay, périssent sur le bûcher en 1314.

      

     Dans la foulée de Cluny

    Richissime, l’ordre du Temple avait réussi à poser les fondements d’une nouvelle civilisation. Les cathédrales, dans la mystique de saint Benoît puis de saint Bernard, en étaient la dimension spirituelle, l’aboutissement du long labeur élaboré à l’abbaye de Cluny, où ont été établies les fondations de la civilisation chrétienne occidentale. Plus de 1300 monastères se rangeront en effet sous la règle clunisienne. Et c’est de Cluny, aussi, qu’est issu le pape Urbain II, qui prêchera la première Croisade.
    Parfaitement organisés, les Templiers avaient assuré le nécessaire vital, le blé, l’outil, l’argent. Avec les cathédrales, ils ont donné au peuple la clé de l’éveil spirituel qui lui manquait. Pour agir sur la pierre, il fallait des constructeurs initiés à certaines lois, à l’instar des constructeurs de dolmens sacrés et des pyramides d’Egypte.
    C’est si vrai que, sept siècles plus tard, lorsque des compagnons travaillèrent sous les ordres de l’architecte et restaurateur de cathédrales Viollet-le-Duc (1814-1879), ils s’effarèrent, raconte Louis Charpentier, «de ce que le moindre choc sur certaines pierres provoquait des ondes sonores comme on en obtient sur des ressorts tendus ou sur des cordes d’instruments de musique».
    Le Temple anéanti, la civilisation idéalisée se transforme. On ira jusqu’à dénigrer le gothique et s’enticher d’art classique antique. Restent les pierres et leur mémoire. Aux XVe et XVIe siècles, le gothique, sur le déclin, devient flamboyant. Des «flammes» architecturales hautement symboliques: on donne dans la surenchère de dentelles de pierres, on répète obsessionnellement courbes et contre-courbes, on démultiplie les nervures dans les voûtes. On assiste à un tumulte plastique qui ne traduit plus la mission fonctionnelle et mystique de l’art gothique, mais la douloureuse inquiétude spirituelle des temps.

     


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    en essayant de comprendre ce que ézéchiel aurait pu voir je suis tomber sur cette vidéo ethnologique (logique ) mais à voir tout de même

     http://www.dailymotion.com/video/k7KDbDM3GZoTIISMF

     

    il faut aller la voir sur le site car j'arrive pas à la mettre sur le blog quand à celle qui est ci dessous elle complète la première 

     


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