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  • <aside>L'entreprise anglaise E2V utilise des ondes électromagnétiques pour couper le moteur d'un véhicule à distance.

    L'entreprise anglaise E2V utilise des ondes électromagnétiques pour couper le moteur d'un véhicule à distance. DR

    </aside>

    SCIENCES - L'armée et la police sont intéressées...

    Voilà qui pourrait mettre un terme aux courses-poursuites dont raffolent les télévisions américaines: une technologie capable de couper, à distance, le moteur d'une voiture.

    E2V, une entreprise britannique, a fait une démonstration, pour la BBC, de son système «RF Safe-Stop»: un générateur et une antenne permettent de bombarder un véhicule avec des impulsions électromagnétique, via des ondes-radios haute-fréquence, provoquant l'arrêt du moteur.

    >> La démonstration

    Retrouvez la vidéo source (non sous-titrée) en cliquant ici.

    E2V fournit peu de données techniques. L'entreprise explique que les ondes-radios interfèrent avec l'électronique à bord de la voiture jusqu'à couper le moteur. Selon la BBC, «les témoins sur le tableau de bord se sont mis à clignoter et le moteur s'est coupé jusqu'à un arrêt du véhicule en douceur».

    La sécurité en question

    Dans la démo, la voiture (et une moto) roulait à faible vitesse, à 24 km/h. On ne sait pas ce que l'expérience donnerait à 160 km/h. Selon The Engineer, le «canon» a une portée de 50 mètres. A 350 kilos, il peut être embarqué sur un véhicule mobile et opérer sur batterie.

    Les voitures modernes sont bourrées d'électronique, jusque dans la gestion du moteur. E2V reconnaît que son système «n'arrêterait sans doute pas un Land Rover de 1960». Certains experts estiment également que le freinage assisté pourrait être perturbé, ce qui rendrait l'arrêt périlleux. Malgré tout, la police et l'armée ont déjà fait part de leur intérêt pour des des technologies similaires, notamment pour arrêter des bateaux ainsi que des véhicules piégés, par exemple en Afghanistan.


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  • homme Néandertal

     

    Une étude britannique révèle que notre ADN contient des virus qui étaient également présents dans l'ADN de l'homme de Néandertal. Crédits : Mauro Cutrona
    Notre ADN porte des virus qui étaient également présents chez l'homme de Néandertal. Tel est le surprenant résultat obtenu par des généticiens britanniques.

    Notre ADN contient des virus qui étaient également présents dans l'ADN de l'homme de Néandertal, révèle une étude publiée le 18 novembre 2013 dans la revue Current Biology.Ce qui suggère que ces virus proviennent d'un ancêtre commun à Néandertal et Sapiens, qui vivait il y a 500 000 ans au moins.

    Ces virus également possédés par Néandertal sont en réalité des rétrovirus endogènes, c'est-à-dire qu'ils sont contenus dans l’ADN, et se transmettent par conséquent de génération en génération.

    Pour parvenir à ce résultat, le généticien Gkikas Magiorkinis (Université d'Oxford, Grande-Bretagne) et ses collègues ont comparé l'ADN ancien issu de fossiles néandertaliens à des échantillons d'ADN prélevés sur des patients atteints du cancer. Au cours de ces travaux, ils ont également comparé ces échantillons à de l'ADN ancien provenant d'ossements appartenant à l'homme de Denisova (un « cousin » de l'homme de Néandertal dont l'existence a été révélée en 2010 à la suite de la découverte d’ossements vieux de 40 000 ans environ d'un enfant de 7 ans dans la grotte de Denisova, en Sibérie).

    Résultat ? Le généticien Gkikas Magiorkinis et ses collègues ont découvert que des séquences de rétrovirus endogènes présents dans l'ADN de l'homme de Neandertal et de l'homme de Denisova étaient également présents dans l'ADN prélevé sur les volontaires ayant participé à l'expérience.

    Plus précisément, ces rétrovirus endogènes (appartenant à tous une famille de virus appelée HML2, actuellement suspectée de constituer une forme de prédisposition génétique au sida et au cancer) ont été retrouvés au sein de la partie non codante de l'ADN des volontaires : cette partie de l'ADN qui ne code pour aucune protéine, parfois appelée ADN poubelle (lire « Des généticiens explorent la "matière sombre" du génome »),  représente plus de 90 % de notre ADN.

    Il est à noter que la présence de rétrovirus endogènes dans la portion non codante de notre ADN est un fait connu depuis longtemps des généticiens : il est estimé que ces rétrovirus endogènes constituent en moyenne 8 % de la portion non codante de notre ADN. Si, la plupart du temps, la présence de ces virus contenus dans notre ADN n'a aucune conséquence particulière sur la santé, ils pourraient toutefois, lorsqu'ils sont activés par des facteurs externes, être impliqués dans la survenue du sida et du cancer.

    Grâce à ces travaux, les auteurs de l'étude espèrent ainsi pouvoir mieux cerner le véritable impact sur la santé de ces rétrovirus endogènes. Ils ont ainsi l'intention, au cours de prochains travaux, d'évaluer la prévalence de ces rétrovirus endogènes au sein de la population générale : s'il s'avère que ces derniers sont extrêmement répandus, alors cela signifiera qu'ils n'ont aucun impact important sur la santé humaine (sinon, ils n'auraient pas pu se diffuser aussi largement dans la population). En revanche, si ces travaux à venir révèlent que ces virus sont moins répandus que prévus, alors cela pourrait signifier qu'ils ont un impact négatif sur la mortalité humaine.

    Ces travaux ont été publiés le 18 novembre 2013 dans la revue Current Biology, sous le titre "Neanderthal and Denisovan retroviruses in modern humans".

     

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  • c'est sur la commune de  le vaud qu'il se trouve , on ne sais pas pourquoi mais il est totalement impossible de prendre une photo sous ses branches toutes fois on peut prendre une photo de lui à plus de 50 métres mais pas en dessous 

     

     

    la personne qui est venu avec moi c'est sentie mal sous ses branches mais il dégage une ambiance lourde, voici une ou deux photos que j'ai pu tout de même prendre mais on dirait que je prend la photo de la fenêtre d'une voiture en marche 

     

     

     

     

    j'ai cherché un peu et en cherchant j'ai pu rencontrer un agriculteur qui m'a rapporter que des scénes bien curieuses ont lieu sous cet arbre , des chevaliers munis de tablards avec la croix templiére viendraient sous cet arbre à la saint jean , un promeneur m'a assurer que des femmes en blanc viennent danser les nuits de solstices sous cet arbre, et une autre personne me dit y avoir vu une reunion de druide , bref 3 personnes 3 récits on peut voir dans les petits espaces de ce tronc des petits papiers que je n'ai pas lu mais c'est surement des priéres ou des souhaits , j'ai  relever une inscription que je n'ai pas pu photographier et qui se trouvait aussi sur un arbre de la forêt du temple non loin de la fontaine aux oiseaux dans l'aube , je trouve cet arbre étrange ,magnifique , tenebreux et facinant 

     

     

     

     

    toutes les photos prises sous cet arbre sont aussi magiques que lui . 

     


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    Les tourbillons océaniques sont des structures mal connues, qui peuvent dépasser les 100 km de diamètre. Ils sont suspectés d'affecter le climat mondial. Des scientifiques ont développé un modèle mathématique pour les décrire, qui, surprise, rappelle le fonctionnement des trous noirs

     

    Des trous noirs océaniques existeraient sur TerreDes trous noirs découverts en plein océan Publié par Lionel Huot, le 25 septembre 2013 54 5 367Partager Les tourbillons océaniques sont des structures mal connues, qui peuvent dépasser les 100 km de diamètre. Ils sont suspectés d'affecter le climat mondial. Des scientifiques ont développé un modèle mathématique pour les décrire, qui, surprise, rappelle le fonctionnement des trous noirs. Vous aimez nos contenus ? Recevez gratuitement la meilleure news et vidéo du jour, et profitez des conseils de Consogazette pour améliorer votre pouvoir d'achat On connait l'influence du Gulf Stream et des autres grands courants océaniques sur le climat mondial. Moins connu est le rôle des tourbillons océaniques, dont certains peuvent faire jusqu'à 200 km de diamètre. Une équipe de chercheurs des universités de Zurich et de Miami s'est penchée sur ces phénomènes d'un point-de-vue mathématique, afin de mieux comprendre leur fonctionnement. Le possible impact des tourbillons océaniques sur le climat mondial n'a jamais pu être quantifié, car les limites mêmes de ces formations ne sont pas bien définies. George Haller et Francisco Beron-Vera ont ainsi développé une solution mathématique pour les connaître, et publient leur résultat dans la revue Journal of Fluid Mechanics. Leur astuce : isoler des zones où l'eau est plus cohérente en utilisant des photos satellites. À leur grande surprise, leur modèle s'est avéré être l'équivalent mathématique des trous noirs trouvés dans l'espace ! Aucune issue Les trous noirs sont des formations spatiales dont la masse est tellement gigantesque qu'ils attirent tout ce qui trouve dans leurs environs, lumière incluse. Mais lorsqu'il se trouve à une certaine distance, un rayon lumineux ne s'engouffre pas dans le puits gravitationnel, il suit une orbite circulaire autour du centre. La théorie de la relativité d'Einstein appelle ce phénomène une sphère de photons. C'est donc des structures similaires qui ont été découvertes aux abords des tourbillons. À l'intérieur, aucune particule ne peut s'échapper, elles tournent indéfiniment. Mais sur les bords, des cercles fermés exécutent des rotations sans jamais s'y engouffrer. Dans tous les cas, rien ne peut y réchapper, molécules d'eau, détritus ou plancton. Pour les chercheurs, le seul fait que des structures d'eau aussi cohérentes existent parmi ces chaotiques tourbillons est extrêmement surprenant. Puisque ces tourbillons doivent être stables et continus, les chercheurs ont cherché à vérifier la théorie sur le terrain. Ils se sont penchés sur les anneaux d'Agulhas, des tourbillons qui naissent régulièrement dans l'océan austral, à la pointe sud de l'Afrique, et transportent des eaux salées vers le nord-ouest. Ils ont identifié 7 anneaux de type "trou noir", et ont découvert qu'ils transportaient la même masse d'eau, sans la moindre fuite, pendant plus d'un an. Attention Saturne Mais les scientifiques signalent que ces vortex ne sont pas seulement inféodés à l'espace et aux océans. Beaucoup de tornades pourraient également suivre ce schéma mathématique. Il est même possible que la tempête géante de Jupiter soit elle-même un incroyable exemple de ce phénomène. Reste maintenant à identifier l'impact de ces tourbillons sur le climat. La théorie actuelle prédit qu'en se formant dans l'hémisphère Sud (et les observations indiquent qu'ils sont de plus en plus), ces phénomènes permettent de faire remonter de l'eau plus salée vers le Nord et ainsi faire fondre les calottes polaires, ce qui amplifierait le réchauffement. Les tourbillons "créent des oasis mouvantes qui ont un impact important sur la chaîne alimentaire et les changements climatiques grâce à leur transport sur de longues distances d'eau à la température et à la salinité différentes", expliquent les auteurs dans leur étude. L'utilisation du modèle mathématique développé pourrait ainsi aider les climatologues à en savoir plus sur ces mystérieux phénomènes et leur impact. (Crédit photo :  G. Haller / ETH Zurich) 



    En savoir plus: http://www.maxisciences.com/tourbillon/des-trous-noirs-decouverts-en-plein-ocean_art30874.html
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