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     Olivier LEVASSEUR

    dit La BUSE

    Olivier LEVASSEUR dit LA BUSE  
    Nom Olivier Levasseur
    Sobriquets la Buse, le Buzzard, la Bouche
    Origine France, Calais fin XVIIe, ~1690 - Exécuté à Saint Paul le soir du 7 juillet 1730 (~40 ans)
    Coup d'éclat Pillage du navire Portugais du vice-roi de Goa à la rade de Saint Denis
    Navires La Reine des Indes, Le Victorieux (Victory)
    Fréquentations Hornigold, Moody, Howel Davis, S & C.Bellamy, David Williams, Edward England, Taylor
    Fin de carrière Il jète le plan de son trésor à la foule avant de mourir pendu haut et court




       Olivier Levasseur plus connu sous le nom de "La Buse", surnommé ainsi en raison de sa rapidité à fondre sur sa proie est un authentique pirate.

       Qui de plus authentique que le pirate La Buse ?!
    Son trésor est un butin à perles, diamants, or et vaisselles d'argent, un vrai pirate pendu haut et court, des messages codés, des grottes et une île mystérieuse, des plans ou foisonnent des cachettes !

    La Buse, pirate célèbre écuma l'océan Indien au début du 18ème siècle. Il aurait caché un trésor estimé à 4,5 milliards d'euros quelque part à La Réunion. Aujourd'hui encore, des chercheurs et des scientifiques se lancent à la recherche de ce trésor précieusement conservé depuis plus de 280 ans.

    Exécution de La Buse (Olivier Levasseur) à Saint Paul
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    Olivier Levasseur est né à Calais à la fin du XVIIè siècle. En 1721, La Buse est associé au pirate anglais Taylor. Ils se sont emparé au mois d'avril du riche vaisseau portugais de 72 canon La Vierge du Cap qui avait cherché refuge contre les tempêtes dans le port de Saint-Denis (île Bourbon).
    A bord du vaisseau se trouvaient le comte Ericeira, vice-roi des Indes et l'archevêque de Goa. La Buse n'exigea pas de rançon du vice-roi, mais fit main basse sur les objets d'inéstimable valeur : rivières de diamants, bijoux, perles, barres d'or et d'argent, meubles, tissus, vases sacrés et cassettes de pierres précieuses, et la crosse d'or de GOA constellée de rubis pesant une centaine de kilos, le tout évalué à 4,5 milliards d'euros.
    La Vierge du Cap, radoubée et remise à neuf, devint le vaisseau de La Buse et prit le nom de Le Victorieux.
    Mais l'année d'après, Duguay-Trouin et le commodore anglais Matthews vinrent se chercher querelle dans les parages. La Buse et Taylor se sont méfiés et ont préféré prendre "le large". Taylor s'enfuit aux Antilles et La Buse se retira à l'île Sainte-Marie près de la côte de Madagascar.

    Il prit sa retraite, car la piraterie n'était plus possible avec aux trousses un gaillard de la trempe de Duguay-Trouin, dont le pavillon flottait glorieusement de l'Equateur au cap de Bonne-Espérance.
    La plupart des écumeurs des mers cessèrent également toute activité et devinrent d'assez paisibles citoyens en profitant de la Charte de clémence offerte par le roi de France. Leurs bateaux pourrirent dans les anses et la piraterie disparut.
    Presque seul, La Buse temporisa avant d'accepter la Charte, restitua les vases sacrés, mais ne put se résoudre à rendre le butin de La Vierge du Cap, condition de la clémence.
    Il est certain qu'il cacha son trésor...mais où ?
    On a avancé le nom de 6 îles : Maurice, La Réunion, Frigate, Mahé, Rodrigues, Sainte-Marie.
    Dans tous les cas, c'est à Sainte-Marie que vivait Levasseur, en situation irrégulière mais sans grand danger immédiat... parlant de soumission sans se hâter de conclure.
    Vers 1729, exerçant le métier de pilote dans la baie d'Antongil (Madagascar), il offrit des services au vaisseau La Méduse, de la Compagnie des Indes, qui voulait entrer dans le port.
    Le Capitaine d'Hermitte, commandant de bord, le reconnut, et se souvenant que le pirate avait maintes fois arraisonné des navires de sa compagnie, il l'arrêta.

    Le 7 juillet 1730, La Buse était condamné à mort à 17h.
    Quand il monta sur l'échafaud pour expier ses crimes de pirate, Olivier Levasseur, dit La Buse, lança dans la foule un cryptogramme et s'écria :
    - "Mes trésors à qui saura comprendre !"

    Voici donc La Buse pendu, le cryptogramme lancé dans la foule, et le trésor caché offert aux plus malins.
    Qui ramassa le message secret ?
    Nul ne saurait le dire, mais depuis plus de deux siècles, l'océan Indien, des îles Seychelles à la pointe de Madagascar, est le centre de recherches incessantes et foisonne de documents à clés, de rébus et de signes gravés qui tous, selon la tradition, se rapportent aux prodigieux trésors de La Buse.


    L'étrange Cryptogramme de La Buse

    La traduction du cryptogramme laisse perplexe, puisqu'elle n'a aucun sens apparent. Jugez plutôt:

      (cliquez sur l'image pour obtenir la version en 1160x1277 pixels)
    Le cryptogramme de La Buse (Olivier Levasseur)Litéralement, on peut lire :
    "aprè jmez une paire de pijon tiresket
    2 doeurs sqeseaj tête cheral funekort
    filttinshientecu prenez une cullière
    de mielle ef ovtre fous en faites une ongat
    mettez sur ke patai de la pertotitousn
    vpulezolvs prenez 2 let cassé sur le che
    min il faut qoe ut toit a noitie couue
    povr en pecger une femme dhrengt vous n ave
    eua vous serer la dobaucfea et pour ve
    ngraai et por epingle oueiuileturlor
    eiljn our la ire piter un chien tupqun
    lenen de la mer de bien tecjeet sur ru
    nvovl en quilnise iudf kuue femm rq
    i veut se faire dun hmetsedete s/u dre
    dans duui ooun dormir un homm r
    esscfvmm / pl faut n rendre udlq
    u un diffur qecieefurtetlesl

    Si l'on essaye de déchiffrer ce texte, on peut lire :
    "Prenez une paire de pijon, virez
    les 2 coeurs...tête de cheval... une kort
    fil winshient écu prenez une cuillière
    de mielle... outre vous en faites une ongat
    mettez sur le passage de la...
    ...Prenez 2 liv cassé sur le chemin
    Il faut... toit à moitié couvé
    pour empêcher une femme... vous n'avez
    qu'à vous serrer la... pour veni
    ... épingle ...juillet...
    .. faire piter un chien turc un
    ... de la mer... bien sécher et sur
    ... qu'une femme qui
    veut se faire d'un...
    dans... dormir un homme
    ... faut en rendre...
    qu'un diffur..."


    On peut voir dans le schéma ci-après, l'alphabet des templiers utilisé par La Buse. 
    Détails du cryptogramme de La Buse (Olivier Levasseur)

    Ou bien la traduction est mauvaise, et alors on ne comprendrait pas qu'elle puisse faire apparaître des mots en français... ou bien il y fait lire ce cryptogramme à un autre niveau. Les pirates n'avaient pas besoin de littérature pour retrouver leurs trésors, tout au plus de quelques coordonnées.
    C'est bien cela qu'il fallait chercher et un Réunionnais a été tout près de les trouver. Bibique, de son vrai nom Joseph Guy Germain Tipveau, en 1994, a apporté un nouvel indice dans cette quête de sens. Il s'est rendu compte qu'il y avait un lien entre le parchemin du pirate et la pierre exposée dans le hall de la mairie de la Possession. Cette pierre fut découverte dans la Ravine à malheur, sur le chemin Crémont - rebaptisé chemin des Anglais. Et Bibique d'écrire alors :
    Détails du cryptogramme de La Buse (Olivier Levasseur)"Quelque chose d'insolite m'a frappé : comment se fait-il que dans le cryptogramme de La Buse, on trouve seulement trois "A" pointus
    alors que tous les autres sont carrés ?
    "

    Il compare et se convainc que les "A" du texte sont de la même facture que ceux de la pierre. Sur la pierre, les "A" forment un triangle. Et Bibique, en grand amateur de trigonométrie, est alors convaincu qu'il suffit de tracer une bissectrice judicieuse pour trouver l'emplacement du trésor. Sauf qu'il faut d'abord retrouver l'emplacement originel de la pierre !

    En 1923, à l'île Mahé, au sud des Seychelles, Mme Savy était propriétaire d'un terrain bordant la mer.
    Un jour, elle découvrit des pierres sculptées baignant dans l'océan, comme il en existe tant dans les îles indiennes. Ce qui était étrange est qu'elle pouvait y distinguer des animaux gravés par la main de l'homme : chiens, serpents, tortues, chevaux, et des formes d'objets et d'êtres humains : une urne, des coeurs, une figure de jeune femme, une tête d'homme et un oeil monstrueusement ouvert.
    Un ethnographe avança une suggestion : ces sculptures rupestres pouvaient se rattacher aux écritures idéographiques, indonésiennes et pascouanes, où l'on retrouve fréquemment le serpent et la tortue.
    Mais pour le reste ? A quelle civilisation rattacher les formes humaines, les chiens, l'oeil, etc. ?
    Tout se ratache mystérieusement au trésor de La Buse, mais aussi à celui d'un autre pirate : Butin Nagéon de L'Estang.
    Les deux trésors étant peut être le même par voie de succession et de vol !


    Etrange similitude entre le trésor de La Buse et celui du pirate Butin Nagéon de L'Estang

    Le dernier possesseur des trésors de l'Océan Indien, qui ont une similitude avec le trésor de La Buse, est le pirate Bernardin Nagéon de L'Estang, dit Butin, qui était le fils d'un officier de marine de la Compagnie des Indes.
    Dans son testament, le pirate Butin donne un aperçu de sa vie. Il pars s'enrôler et défendre la patrie. Il sais qu'il sera sans doute tué.
    C'est pourquoi il rédige ce testament pour son neveu Jean Marius Nagéon de l'Estang, officier de la réserve.
    A savoir, un demi-terrain rivière La Chaux au Grand-Port, île de France, et les trésors sauvés de l'Indus !

    => Note de l'auteur du site : Je n'écris pas dans ce site tout le testament qui est assez long.
    Mais de nombreuses informations décrites dans ce testament sont étrangement similaires aux indications données dans le cryptogramme de La Buse !
    A savoir :
    - la similitude des lieux et le fait que tous les chercheurs mêlent étroitement par tradition les deux pirates : Butin et La Buse
    - les rébus
    - dans les documents chiffrés et gravés sur les pierres, des points de rappel : les initiales S.B.N. ou B.N. ainsi que les lettres Ghe
    - les mots organeau, tortue, oeil
    - la symbolique maçonnique.
    Beaucoup de coincidences !
    Il est possible aussi que des chercheurs, dans le but d'épaissir le mystère, aient sciemment forgé ou falsifié le fatras des documents.

    Les trésors du pirate Butin sont au nombre de quatre ! Deux sont identifiés à ce jour, dont un découvert.
    Les trésors se situeraient aux endroits suivants :
    - dans l'île de France (île Maurice) : à Belmont dans le nord de l'île, dans une caverne de la ribière La Chaux près de Mahébourg, à la pointe de Vacoas
    - dans l'île Rodrigues (plus douteux !)
    Ces trésors sont enfermés dans des grottes signalées par les initiales B.N. gravées sur le roc.
    Et enfin, l'un des quatre trésor a été découvert en 1916 dans l'île Pamba, près de Zanzibar. Un trésor de Butin Nagéon puisque marqué des initiales B.N. !

    Mais le trésor de La Vierge du Cap pillé par La Buse ne serait-il pas à l'île Sainte-Marie, là où habitait le pirate et où il pouvait surveiller à son gré le magot évalué à 4,5 milliards d'euros ?

     


    Des infos récentes (cliquez sur les images pour les agrandir)

    Reginald Cruise-Wilkins (1913-1977) devant un signe de La BuseEn 1949, Reginald Cruise-Wilkins (1913-1977) contracta la malaria et les médecins lui conseillèrent de venir se reposer aux Seychelles. Et c'est là qu'il fit mis en contact accidentellement avec cette chasse au trésor. Au début c'était une blague et puis cela devint de plus en plus sérieux. Il commença donc en 1949, de grands travaux à la recherche du trésor de Levasseur sur la plage du petit village de Bel-Ombre, au nord de l'île Mahé.
    La plupart des gens pense qu'il était fou, mais il se fichait pas mal de l'avis des autres et savait qu'il avait raison. Il continua son travail car il avait un fort caractère.
    John Cruise-WilkinsWilkins entraîna dans l'aventure son jeune fils, car il se doutait bien qu'une vie entière n'y suffirait pas pour trouver le trésor de La Buse. Il n'ont été retrouvés à ce jour qu'un fusil à pierre, une lame d'épée, des figurines et quelques monnaies... Pâle consolation au regard des 30 000 livres sterling investies pour la cause durant plusieurs décennies!
    A sa mort en 1977, John Cruise-Wilkins a repris le flambeau. A la poursuite du rêve inachevé de son père.
    Le chantier de fouille du trésor de La BuseCette chasse au trésor coûte une forture, heureusement, wilkins travaille actuellement avec son associé, un riche américain.
    Ils sont convaincu que les pirates ont caché leur trésor à marée basse. Les vagues de la marée montante pouvaient ainsi abriter leur trésor.
    Ci-contre, le chantier de fouille du (peut être) trésor de La Buse. Wilkins a fait sauter à la dynamite les rochers pour atteindre l'entrée naturelle de la grotte. De nombreuses marques indiquent la direction de l'emplacement du trésor de Olivier Levasseur. 

    Des crânes déterrés pendant les fouilles du trésor de La BuseJacques et Edward, deux autres chercheurs de trésors effectuent leur recherche plus profondément dans la jungle. Ils ont découvert de vieilles fondations, un vieux coffre, une clochette ainsi que des lanternes et des ossements !
    Ils se sont querellé avec Wilkins qui prétend que Jacques et Edward ont créé de toute pièce des marques sur les rochers...

    Jacques et Edward à la recherche du trésor de La BuseBeaucoup d'autres histoires incroyables continuent à se répendre : Un jour, une famille déterre dans son jardin des pichets à vin remplis de pièces d'or. Une autre famille découvre sur une plage des fers, des boulets et des restes de campement. Sur tout l'archipel, les légendes bruissent des noms de célèbres pirates: Hodoul, Boudin, Avery, Kid, Halsay ou Taylor...




    Pour conclure...

    Plus d'un aventurier s'est cassé les dents à cette quête au trésor. Bibique (qui s'est suicidé à la 22 long rifle le 31 mars 1995) en est un cas particulièrement bien connu puisqu'il a passé 30 ans a faire des fouilles, mais il y en a eu d'autres. On a vu la difficulté de retrouver les signes cabalistiques que les pirates plaçaient sur les routes de leurs trésors. L'érosion, les cyclones, l'urbanisation ont radicalement changé les repères. Pour trouver un trésor aujourd'hui, il faudrait s'en remettre davantage à la chance qu'à un parchemin. Mais le rêve n'est pas mort pour autant.


    Cliquez pour agrandir la tombe de La Buse au cimetière marin de St Paul.
    Il s'agit d'une tombe symbolique, La Buse n'y est pas enterré car ce cimetière a été créé en 1788,
    soit 58 ans après la mort du pirate.
    De plus, au dos de la dalle tombale, il y a des mots écris en hommage à une esclave libérée.

    et pour en savoir plus :

     http://www.pirates-corsaires.com/levasseur-la-buse.htm

     http://ybphoto.free.fr/piste_la_buse_yb_3.html

     


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    En 1980, quatre témoins affir http://jack35.wordpress.com/2011/06/13/haute-vienne-lenigme-du-fantome-sans-tete-sur-les-bords-de-la-glane-2/ment qu’ils ont été poursuivis par un « corps sans tête » sur les bords de la Glane, à Saint-Junien. Trente ans après, l’énigme est peut-être résolue.

    D’abord méfiant, l’homme se livre peu à peu. Avec une sorte de soulagement mêlé d’espoir : « Si je vous raconte tout ça, c’est parce que je voudrais comprendre ce que j’ai vu ce soir-là… »

     « Je n’avais jamais eu aussi froid de ma vie ». C’est pourtant au

    coeur de l’été, en 1980, que le sang de Marc s’est glacé. Il a alors 19 ans, il est pompier à Paris. Il est revenu passer quelques jours dans la demeure familiale à Saint-Junien. Ce soir-là, il se promène avec un collègue soldat du feu, ainsi que le frère et le père de celui-ci, sur les bords de la Glane, au milieu de la végétation dense qui entoure le barrage du Gué Giraud.

     

    Carbonisé

    Vers 21h30, tandis que la nuit tombe, les quatre promeneurs s’apprêtent à regagner leur voiture. Soudain, l’un d’eux remarque : « Il y a quelqu’un qui nous suit ». Derrière eux se tient une silhouette massive, sombre, d’environ deux mètres. Ils croient alors à une blague : « J’ai cru reconnaître un pêcheur que je voyais souvent dans le coin ». Pour rire, ils se mettent à pourchasser l’inconnu. Celui-ci file se cacher derrière les noisetiers. Sauf qu’il ne semble pas courir mais  « glisser » sur le sol. Surpris, les promeneurs font demi-tour. Mais à nouveau, la silhouette apparaît derrière eux. Cette fois, elle est éclairée par un lampadaire et Marc peut mieux la distinguer.  « J’ai senti les cheveux se dresser sur mon crâne… C’était un corps sans tête ! On aurait dit qu’il était carbonisé ».

    Le père de son collègue brise le silence : « Ça suffit. On ne sait pas ce que c’est, on rentre ! ». Terrifiés, ils filent à leur voiture tandis que des branches craquent derrière eux.

     

     

    Malaise

    Après cette rencontre angoissante, c’est le choc. La nuit suivante, le plus jeune des témoins, âgé de 17 ans, dort d’ailleurs dans la chambre de ses parents, comme s’il était retourné à ses peurs d’enfants.

    De son côté, Marc raconte son récit avec euphorie à son entourage. Mais au fil des jours, un malaise le prend à la simple évocation du spectre sans tête.

    Il passera sa vie à tenter de comprendre. Des vieux du coin lui racontent qu’il n’est pas le premier à voir l’homme sans tête. Une légende affirme que le fantôme serait celui d’un brigand qui vivait dans les ruines d’un manoir, situé près du barrage. Le criminel aurait été décapité au XVIe siècle.

     

     

    « Jusqu’ici, les histoires de fantômes me faisaient rire. Plus maintenant ».

    D’autant qu’au cours de sa vie, il aura la sensation d’être suivi par ce spectre, à nouveau, sans jamais le revoir cependant. « Après un an passé à Paris, je suis revenu vivre à Saint-Junien dans un mobile-home. Plusieurs fois, j’ai senti que c’était autour de moi. Parfois en plein jour, parfois dans la nuit. Pendant une heure, je me sentais mal, comme paralysé ».

    Des années après, il rencontre des guérisseurs venus rendre visite à ses parents. « L’un d’eux m’a laissé entendre que ça pouvait être lié à la magie noire, que ça n’était pas destiné à me faire du mal mais que ça signalait la mort de quelqu’un ». Comme une âme errante.

    Un cri dans la nuit

    Son collègue d’alors, Robert, témoin de la scène, n’a pas oublié. Aujourd’hui, il vit dans le Nord et tous deux ne se sont jamais revus depuis. Sa version varie peu :  « Quand j’ai vu ce corps sans tête, j’ai pensé que Marc avait monté une blague. Je me suis tourné vers lui mais j’ai compris que je me trompais : il avait les yeux qui sortaient de la tête ! C’est là que j’ai commencé à avoir peur »

    Détail troublant : « Pour moi, ça n’était pas un corps carbonisé. Ca ressemblait à un guerrier en sang. Et j’ai entendu comme un cri de souffrance ». Un cri qui résonne encore dans sa mémoire, trente ans après, et l’interroge : qu’ont-ils vraiment vu ?

    (Source : La montagne)


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    CHAMPIGNY (Marne). Bruits mystérieux, ombres fugaces, voix inquiétantes… A en croire ses occupants, d’étranges phénomènes se produisent la nuit dans une maison de Champigny.

    C’est une maison comme une autre, quelque part à Champigny, localité de 1 200 habitants située aux portes de Reims. Et pourtant, à en croire ses occupants, d’étranges événements s’y déroulent certaines nuits. Des bruits mystérieux, des ombres fugaces, des voix inquiétantes…
    Ombres et lumière
    Le couple X.*, la quarantaine, vit dans cette maison depuis 2007 avec une aïeule de 87 ans. « Pendant un an, tout était normal. Ça a commencé fin 2008 », raconte le mari. « On entend des grattements bizarres dans notre chambre, comme si une main griffait sur le mur. Ce n’est pas toutes les nuits, mais de temps en temps. Quand on allume la lumière, ça s’arrête. Quand on éteint, ça recommence. Ça dure un quart d’heure vingt minutes, puis c’est fini pour la nuit. »
    L’octogénaire occupe la chambre voisine. Elle aussi entend « les grincements », mais pas seulement. « Dans mon armoire, ça fait « boum, boum », comme si quelqu’un était enfermé et tapait pour sortir. C’est assez fréquent. La première fois que ça a fait ça, j’ai ouvert la porte pour voir s’il y avait quelqu’un dedans. Ça ne tapait plus. Il n’y avait rien que mon linge. » Maintenant, elle ne prend plus la peine de se lever et attend que ça se passe (ça dure « dix-quinze » minutes).
    D’autres bizarreries troublent les nuits de la famille X. « Une fois, j’ai vu la lumière du couloir et celle de la chambre d’en face s’allumer toute seule », affirme l’épouse. « Une nuit, j’ai senti comme une main qui me frôlait le long du corps », ajoute le mari.
    « On n’est pas les seuls à voir des choses. J’avais un cousin qui dormait sur le canapé, dans le salon. Il a vu une ou deux ombres qui longeaient le mur, montaient au plafond et repartaient par la fenêtre. Une autre fois, c’est ma cousine, dans la chambre d’amis, qui a vu une ombre venir d’un côté du mur, longer le plafond et redescendre par la fenêtre. Ça ne pouvait pas venir de l’extérieur. Nos volets ne laissent pas passer la lumière. »
    « Partez d’ici ! »
    Il y a enfin des « voix » entendues à une seule reprise, un coup par Madame : « Pars d’ici ! Ne reste pas là ! » ; un coup par Monsieur : « Partez d’ici car vous allez finir comme tous les autres ! »
    Aucune mort violente n’a pourtant ensanglanté la maison construite il y a une quarantaine d’années. Et aucun phénomène bizarre ne semble s’y être produit avant l’arrivée des X.
    Une maison hantée à Champigny ? Gardons raison ! Il doit y avoir une explication rationnelle. Les loirs et autres bestioles aiment bien se mettre au chaud dans les maisons. N’est-ce pas eux qui grattent aux murs ? « Non ! », coupe Madame. « Les loirs, je connais ! Il y en avait chez les parents. Le bruit qu’ils font n’a rien à voir avec ce qu’on entend. »
    Problème électrique pour les lumières qui s’allument toutes seules ? Hallucinations ou phénomènes d’autosuggestion pour les voix, les ombres et le reste ? Géologiquement, le sous-sol est très humide à cet endroit. L’eau serait-elle à l’origine des phénomènes ? La famille X. n’en sait rien et aimerait bien que ça s’arrête. Boutade de la grand-mère : « C’est peut-être ceux qui dorment là-bas qui viennent nous dire bonjour : les gens du cimetière !


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    si vous allez dans ce cimetière vous risquez de rencontrer ce pauvre fantôme, il se manifeste à la tombé du jour entouré de nombreux jin's qui tournoient et siffle autour de lui car il s'agit d'un tirrailleur nord africain tombé pour la france et nous avons eu la chance de le prendre en photo, elle est pas de trés bonne qualité je vous l'avoue mais je vous assure que ni photoschop ni autre montage n'ont été fait, il c'est assis simplemnt sur les genoux de mon fils pour nous montrer qu'il est bien là,regardez comme le visage de mon petit bonhomme est déformé comme brûler et ses mains ne sont plus les mains d'un enfant, je vous met la photo en positif et en négatif ,ce soir là nous avons eu trés peur mais il n'est pas agressif il doit souffrir de manque de reconnaissance pour son sacrifice, si vous allez là bas vous regarderez le nom et l'âge des victimes , des gens parti trop tôt pour notre libérté .pour ceux qui veulent examiner cette photo de plus prés je peux leur envoyer, faites en la demande.

     


    2 commentaires
  • pas besoin de prendre l'avion pour faire un beau voyage venez voir ce site magnifique 

     http://www.juste-pour-voir.net/20101116Petra/

     

     

     


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