De nombreux experts tentèrent de traduire les hiéroglyphes durant les 20 ans que le disque passa à Peking. Tous échouèrent. Jusqu'à ce qu'un autre professeur, le docteur Tsum Um Nui, brisa le code et commença à déchiffrer les “rainures parlantes” et permit de realiser quelles extraordinaires implications révélait le disque. Réalisé, en fait, par seulement quelques individus sélectionné. Le monde de l'extérieur restait toujours, lui, dans l'ignorance. Les conclusions du professeur sur la signification du disque furent si fracassantes qu'elle furent officiellement supprimées. L'Académie de préhistoire de Peking lui interdit de publier ses découvertes. 2 ans plus tard, en 1965, le professeur et 4 de ses collègues obtiennent finalement la permission de révéler leur théorie. Elle apparaît sous le long mais intriguant titre, Le texte taillé concernant les Vaisseaux spatiaux qui, selon les Disques, atterrirent sur Terre il y a 12000 ans. Les “enregistrements”, 716 de disques taillés furent plus tard découverts dans les mêmes grottes, racontaient l'histoire étonnante de la “sonde spatiale” d'habitants d'une autre planète qui vint s'écraser dans la zone montagneuse de Bayan-Kara-Ula. L'étrange texte en spirale indiquait comment les intentions pacifiques des “visiteurs” furent mal comprises et comment nombre d'entre eux furent pourchassés et tués par la tribu des Hams, qui vivaient dans des cavernes proches.
D'après Tsum Um Nui, une des lignes de hiéroglyphes indique, Les Dropas descendirent des nuages dans leur appareil aérien. Nos hommes, femmes et enfants se cachèrent dans les grottes 10 fois avant le lever du Soleil. Lorsqu'à la fin ils comprirent le langage de signes des Dropas, ils surent que les nouveaux venus avaient des intentions de paix… Une autre section exprime le “regret” de la tribu Ham que le vaisseau de visiteurs se soit écrasé dans des montagnes si éloignées et difficilement accessible et qu'il n'y ait pas de moyen d'en construire un nouveau pour que les Dropas puissent retourner sur leur planète. Dans les années qui suivirent la découverte du 1er disque, archéologues et anthropologues en apprirent plus sur la région isolée de de Bayan-Kara-Ula. Et beaucoup d'informations semblèrent corroborer l'étrange histoire racontée par les disques. La légende existe toujours dans la région, parlant d'hommes petits, frèles, au visage jaune qui arrivent depuis les nuages, il y a très, très longtemps. Ces hommes avaient de grosses têtes protubérantes et des corps chétifs, et étaient si horribles et repoussants qu'ils furent pourchassés à cheval par les hommes des tribus locales. Etrangement, la description des “envahisseurs” correspondaient aux squelettes découverts à l'origine dans les cavernes par le professeur Chi Pu Tei. Sur les murs des grottes elle-mêmes les archéologues découvrirent des représentations primitives du Soleil levant, de la Lune, d'étoiles non identifiables et de la Terre… tous reliés par des lignes de points de la taille de petits pois. Comme les disques, les dessins des grottes furent datés d'environ 12000 ans.
La grotte était toujours habitée par 2 tribus semi-troglodytes connues sous le nom de Hams et Dropas, eux-même d'apparence particulièrement bizarre. Les fragiles et chétifs membres de la tribu ne mesuraient en moyenne que 5 pieds de haut et n'étaient ni typiquement chinois ou tibétains. Leur origine raciale,indique un expert, est un mystère. Mais même avec les publications de l'incroyable traduction du professeur Tsum Um Nui's, l'histoire des disques de l'espace n'était pas terminée. Des scientifiques russes demandèrent à voir les disques et certains furent envoyés à Moscou pour être examinés. Ils furent débarassés des particules minérales qui s'y étaient collées puis soumis à une analyse chimique. A la surprise des scientifiques, on trouva qu'ils contenaient de grandes quantités de cobalt et d'autres substances metalliques. Ce n'était pas tout. Lorsqu'ils étaient placés sur une platine spéciale, d'après le docteur Vyatcheslav Saizev, qui décrivit les expérimentations dans le magazine soviétique Sputnik, ils vibraient ou “bourdonnaient” selon un rythme inhabituel comme si une charge électrique les traversaient. Ou comme l'un des scientifiques le suggera, comme s'ils formaient une partie d'un circuit électrique.Il est clair qu'ils furent exposés à un moment à un voltage extraordinairement élevé.
Les disques racontent-ils vraiment la mission spatiale avortée d'astronautes extraterrestres il y a 12 000 ans de cela ? Pratiquement tous les principaux “spéculateurs des théories de l'espace”, des théoristes tels que Erich von Daniken et Peter Kolosimo, le pensent. Si l'on accepte l'idée selon laquelle des extraterrestres ont déjà dû visiter la Terre, alors vient l'idée que certaines de leurs sondes spatiales peuvent avoir eu des problèmes et que les astronautes à bord ont dû être détruits.
Les disques de pierre de Baian-Kara-Ula
Ce rapport est basé sur les écrits de MM. J. Drendl et H. Hausdorf de l'AAS. Les informations présentées ici sont issues d'une recherche approfondie mais prétendent pas être exhaustives ou précises. Toutes les images sont la propriétées de l'AAS.
Sommaire :
- 1937 : Découverte des disques de pierre
- 1947 : Expédition du docteur Karyl Robin-Evans
- 1968 : W. Saitsew et le professeur Tsum Um Nui
- 1995 : Une preuve ethnologique ?
1937 : Découverte des disques de pierre
Dessin d'un disque de pierre
Au cours d'une expédition dans la région montagneuse difficilement accessible de Baian-Kara-Ula située à la frontière du Tibet et de la Chine, l'archéologue chinois Chi Pu Tei découvrit un certain nombre de grottes funéraires contenant d'étranges squelettes, grands seulement de 4 pieds 4 pouces, dont les têtes étaient disproportionnées par rapport à leur carrure menue. Dans chacune des 716 grottes au total il découvrit un disque de pierre d'un diamètre approximatif de 1 pieds et de l'épaisseur de 1/3 de pouce. Ces disques étaient gravés avec des inscriptions d'origine alors inconnue. Chi Pu Tei publia ses découvertes en indiquant que les squelettes étaient ceux de gorilles des montagnes et que les disques avaient été ajoutés par les cultures suivantes, ce qui le ridiculisa au yeux de la communauté des archéologues chinois.
1947 : Expédition du docteur Karyl Robin-Evans
Un disque de pierre
Peu après la seconde guerre mondiale, le professeur polonais Lolladoff montra un disque étrange au scientifique anglais et docteur Karyl Robin-Evans. Lolladoff déclare avoir acheté le disque à Mussorie (Inde du nord) et qu'il est supposé provenir d'un peuple mystérieux appelé les “Dzopa” qui l'a utilisé pour des rites religieux.
En 1947 le docteur Robin-Evans effectua un voyage pour le pays mystérieux des Dzopas, traversant Lhasa (Tibet) où il obtint une audience avec le 14èmeDalai Lama. Sur la route de cette région particulièrement difficile d'accès du nord-est de l'Himalaya, le scientifique anglais fut abandonné par ses porteurs tibétains, particulièrement effrayés par Baian-Kara-Ula, et ce ne fut qu'au terme d'un incroyable effort qu'il réussit à gagner sa destination. Après avoir gagné la confiance des indigènes, le docteur Karyl Robin-Evans reçu les enseignements d'un professeur de langue locale qui lui appris les bases de la langue Dzopa et il apprit de Lurgan-La, gardien de la religion des Dzopa, l'histoire des Dzopas. Lurgan-La indiqua qu'ils (les Dzopas) venaient originellement d'un planète du système de Sirius. Ils avaient entrepris, il y a environ 20000 puis en l'année 1014, 2 missions d'exploration sur Terre. En 1014 eu lieu un crash qui ne permit pas aux survivants de l'accident de repartir de la Terre.
Cette image prise par le docteur Karyl Robin-Evans montre le couple de chefs des Dzopas, Hueypah-La (mesurant 4 pieds) et Veez-La (mesurant 3 pieds 4 pouces).
Le couple royal Dropa Hueypah-La (1,20 m) et Veez-La (1 m) en costume traditionnel, photographié par le docteur Karyl Robin-Evans lors de son expédition de 1947
Le docteur Karyl Robin-Evans déceda en 1974. Le rapport ci-dessus fut publié en 1978.
Remarques :
- Les Dzopas sont souvent appelés Dropas. Ceci parce que le son de la seconde consonne est entre le “Z” et le “R”.
- Le Tibet n'étant pas sous tutelle chinoise en 1947, le voyage du docteur Robin-Evans pu facilement être entrepris.
- Il est très possible que le docteur Robin-Evans ait été reçu par un “lineholder” au lieu du Dalai Lama lui-même, fait qui peut être exploité pour vérifier l'exactitude du récit du docteur Robin-Evans.
- Le rapport du docteur Robin-Evans date le crash à l'année 1014, toutes les autres sources parlant au contraire d'un crash ayant eu lieu il y a 12000 ans de cela. Cette divergence reste inexpliquée à ce jour.
- D'après l'histoire de Lurgan-La les Dzopas seraient les descendants directs d'”étrangers” voyageurs de l'espace.
1968 : W. Saitsew et le professeur Tsum Um Nui
En 1968 le scientifique russe W. Saitsew publia un article à sensation déclenchant un grand intérêt quant au sujet des extraterrestres ayant visité la Terre par le passé. Certaines informations présentées dans son article étaient basées sur les travaux qu'effectua le professeur Tsum Um Nui en 1962.
1962 : Professeur Tsum Um Nui
En 1962 le professeur Tsum Um Nui entreprit de décoder et traduire partiellement les disques de pierre et publia ses découvertes, qui furent si extraordinaires que l'adadémie des sciences de Pekin interdit tout d'abord leur publication. Le rapport du professeur Tsum Um Nui racontait l'histoire d'un groupe d'individus, appelés les Dropas, dont le vaisseau spatial s'était écrasé dans les montagnes Baian-Kara-Ula il y a 12 000 ans de cela et qui, après avoir réalisé l'impossibilité de quitter la Terre à nouveau, avait dû supporter un environnement assez hostile afin de survivre. Le professeur Tsum Um Nui publia son rapport après en avoir reçu la permission de l'académie, ce qui lui valut la moquerie de nombreux archéologues. Attristé par ces événements, le professeur Tsum Um Nui émigra au Japon, où il mourut en 1965.
Remarques :
- Tsum Um Nui ne semble pas être un nom chinois mais plutôt la transcription phonétique d'un nom d'origine japonaise.
- Aucune minorité ethologique du nom de “Dropa” ou “Dzopa” n'est recensée en Chine.
1968 : Article “science ou fantasme” de W. Saitsew
A la frontière du Tibet et de la Chine se trouve la zone de grottes des montagnes Baian-Kara-Ula. Il y a 25 ans, les découvertes remarquables de tablettes avec des écritures et des hiéroglyphes furent faites à cet endroit. Il y a de cela quelques milliers d'années un peuple dont l'aspect n'est que peu familier aux archéologues chinois, a découpé dans le granit des disques de pierre semblables à ceux d'un phonographe, à l'aide d'outils complètement inconnus. Les 716 disques de pierre retrouvés jusqu'ici ont un trou en leur centre exactement comme l'ont les disques d'un phonographe. De là, en spirale jusqu'à la bordure, partent des doubles rainures. Ce rainures ne correspondent pas bien sûr à des pistes sons mais plutôt au système d'écriture le plus particulier jamais découvert en Chine et Peut-être dans le monde entier. Cela prit aux archéologues et scientifiques plus de 2 décennies pour les déchiffrer. Leur contenu est si fantastique que l'académie de préhistoire de Beijing ne voulu pas publier le rapport du professeur scientifique Tsum Um Nui au départ. Backed by four colleagues, archeologist Tsum Um Nui stated : le texte gravé parle de véhicules aériens qui, d'après les disques de pierre, furent là il y a 12000 ans. A un moment, il dit litéralement : Les Dropas descendirent des nuages avec leurs planneurs aériens. Par dix fois les hommes, femmes et enfants de Khams se cachèrent dans les grottes jusqu'au lever du Soleil. Puis ils comprirent les signes et virent que les Dropas venaient cette fois en paix.
Les découvertes des races Dropa et Kham avaient déjà été faites dans ces grottes des montagnes. Les archéologues avaient été incapables de classer ethnologiquement ces humains 4 pieds et 4 pouces de haut. Il n'y a aucune similarité avec les chinois, les mongols ou les tibétains. On pourrait bien sûr suggérer qu'il y a quelques années un Kham instruit voulu faire une blague, ou qu'il s'agissait plutôt d'une supersistion lorsqu'il parla d'appareils volants. Mais alors, que dire du récit, toutes sensations exclues, raconté dans d'autres bas-reliefs hiéroglyphiques à propos du lourd deuil de leur propre flotte aérienne au cours d'un atterrissage dans les montagnes difficilement accessibles et de l'impossibilité de réparer.
Les hiéroglyphes de Baian-Kara-Ula semblent être si mystérieux pour l'archéologie chinoise que celle-ci ne les utilisa que d'une manière extrêmement scientifique. En une occasion une découverte sensationelle fut faite. Les disques contenaient beaucoup de cobalt et d'autres métaux. Lorsqu'ils testèrent un disque avec une oscillographe un rythme oscillatoire surprenant fut découvert, comme si les disques et leurs écritures gravées avaient été chargés ou avaient fonctionné comme des conducteurs électriques. Personne ne peut dire ce qu'il y a derrière ces disques de pierre de 12000 ans. Des suppositions seraient trop risquées et pas assez objectives. Mais on se souvient de ce vieux conte chinois à propos d'un peuple jeune et chétif qui vint des nuages et fut fuit par tout le monde en raison de leur apparence hiddeuse, de grande tête larges et des corps très frèles, et pourchassés par les hommes aux chevaux rapides (les Mongols ?). En fait il y eu découverte de tombes et de squelettes restés dans ces grottes depuis 12000 ans et il est également un fait que ces découvertes, classées comme reliques des races Dropa et Kham, portaient les signes de la carrure d'un petit corps et de très grandes têtes. Le 1er rapport archeologique parle d'une espèce éteinte de gorilles des montagnes. Mais quelqu'un a-t-il déjà entendu parler de tombes de singes alignées et de tablettes écrites ? En 1940 l'archéologue Chi Pu Tei fut largement ridiculisé pour avoir fait de telles déclarations. Mais Chi Pu Tei se défendit en déclarant que les disques de pierres avaient été apportés par les cultures suivantes.
Tout ceci est plutôt confus, mais ne change rien quant au mystère hiéroglyphique de Baian-Kara-Ula, qui se complique encore par le fait que les murs des grottes présentaient des figures sculptées des tablettes d'écriture, et à divers endroit le Soleil levant, la Lune et des étoiles, entre lesquels des séries de points de la taille d'un petit-pois descendaint vers les montagnes et la Terre selon des courbes gracieuses.
Le texte ci-dessus est une traduction de l'article originellement écrit par W. Saitsew, modifié en aucune façon.
2 disques de pierre
1995 : Une preuve ethnologique ?
En 1995 des nouvelles remarquables vinrent de Chine : dans la province de Sichuan, située du côté est des montagnes Baian-Kara-Ula, 120 membres d'une tribu jusqu'ici ethnologiquement non classée furent découverts. L'aspect le plus important de cette nouvelle tribu est la taille de ses membres : pas plus grands que 3 pieds 10 pouces, le plus petit adulte mesurant seulement 2 pieds 1 pouce !
Cette découverte pourrait être la première preuve solide de l'existence desDropas/Dzopas - un peuple dont les ancêtres sont supposés être venu de l'espace ...http://www.rr0.org/
Les pierres de Dropa
Nous aurions pus inclure ce dossier a celui concernent les légendes chinoises, mais nous avons à faire là a autres choses qui méritent toute notre attention. En effet il s’agit de fais réel qui dépasse le cadre de légendes. Ce document plaira à tous les amateurs de fait mystérieux. Il s’inscrit directement dans la documentations de l’astro-archéologie.
Tout d’abord nous examinerons les découvertes qui mirent en lumière ces faits étranges. Puis nous étudierons les recherches effectuer sur ces découvertes. Nous verrons également ce qui reste dans la régions de ces mystères que sont les Dropa.
Encore une fois nous vous rappelons que la plus part des recherches qui sorte des chemins évolutionnistes conventionnels, et qui touche à l’ufologie sont discrédité par l’ensemble des scientifiques qui préfère fermer les yeux sur ces découvertes.
En 1938 une expédition archéologique menait par le professeur Chi Pu Tei s’engage sur des chemins peu accessibles de la montagne Baian-Kara-Ula sur la frontière entre la Chine et le Tibet. Le but fut de visité des cavernes qui avaient était occupée par un peuple primitif. Trois cavernes attirent particulièrement leurs attentions. Seul une est accessible.
Elle semble avoir était creusée par des être humains. Elles auraient été artificiellement découpées. Les murs ont était vitrifié comme découpés à l’aide d’une source de chaleur extrême. Il en ressortait qu’il s’agissait d’une sorte de système complexe de tunnels et de salles souterraines que les effondrements successifs ont partiellement détruit.
L’archéologue et ces étudiants constatent la présences de tombeaux antiques disposés de manières ordonnées. Le mystère commence par l’exhumations des squelettes. La particularité de ces restes c’est qu’ils mesurent pas plus de 1m30, frêles et surtout la taille de leurs cranes disproportionné par rapport aux corps.
L’équipe trouve également des pictogrammes sur les parois, ont reconnais la lune, le soleil et des groupes d’étoiles. En dégagent les corps un des étudiants tombe sur la plus grandes des découvertes du cite. Des disques de pierres a moitié enterrée dans le sols de la caverne. Evidemment façonné par la main d’une créature intelligente. D’un diamètre d’environs 30cm, épais de 2cm au centre exact un trou et une cannelures fine qui ce développe en spirale du centre aux extrémités. La cannelure s’avère être des inscriptions minuscules hiéroglyphiques. 716 assiettes du même type sont dégager. Les disques sont envoyer à l’université de Beijing. Des tuyaux en métal sont découverts, d’environs 40cm à 2cm de diamètres, ils courent de la grottes jusqu’au lac Toson non loin du cite de fouille.