Afin de bâtir la trame ésotérique de mon œuvre, je me suis librement inspirée des travaux du professeur Zecharia Sitchin, développés dans son livre intitulé "La douzième planète". 
 
Je voue une admiration sans borne à ce savant émérite. Aussi ai-je éprouvé un véritable choc en apprenant son décès le 9 octobre 2010.
 
Érudit, au caractère chaleureux et sociable, le professeur Sitchin fait sensation en faisant paraître en 1976, aux États-Unis, son premier ouvrage "La douzième planète". Tout au long de sa carrière, il publiera beaucoup d'autres titres comme "L'escalier céleste", "Les guerres des dieux et des hommes", "Quand les géants dominaient sur terre" ou "Le livre perdu du dieu Enki" pour ne citer que ceux-là.
Parallèlement à ce travail méticuleux d'historien, il parcourt inlassablement le monde en quête de preuves. Il donne des conférences dans le monde entier et vend des millions de livres.
 
Je suis une fervente adepte des théories de Sitchin, que beaucoup appelaient le nouvel Evéhmère (la théorie de l'évhémérisme. présente les dieux grecs comme étant des héros ou de grands hommes divinisés après leur mort). L'évhémérisme est une théorie selon laquelle les dieux sont des personnages réels (des rois, des héros) qui furent divinisés après leur mort. Elle tire son nom du philosophe grec Evhémère. 
 

Un dernier hommage par Olivier Magnan
 
"...Son dernier combat n’est pas achevé. Dans "Quand les géants régnaient sur Terre" que s’apprête à publier en français et en italien Macro Gruppo, le disparu fait état des démarches encore non abouties auprès du British Museum visant à obtenir l’analyse ADN des restes de Dame PU.ABI *. Une pseudo-reine enterrée dans l’une des tombes royales d’Ur, et dans laquelle Zec Sitchin voit les dernières traces d’une authentique demi-déesse anunnaki, extraterrestre. Il suffirait au conservateur de décider cette analyse pour que l’on sache si, oui ou non, ces os appartenaient à un être non humain, au sens génétique du mot. Ce dernier combat, ses amis sont prêts à le mener. Puissent les traductions à paraître nous aider à le gagner au nom de l’Einstein moderne de l’histoire de l’humanité."

* Les restes de NIN PU ABI, répertoriée sous le nom de Reine de Shubad, sont déposés au British Museum. Le squelette provient des fouilles de Léonard Wooley à Ur.

Lire l'hommage au professeur Zecharia Sitchin par Olivier Magnan, en entier :
 
http://www.macrolivres.com/fiches/mort_de_zecharia_sitchin.php
 

Pour la première fois, le doigt d'une momie de taille gigantesque vient d'être authentifié. Ce doigt mutilé a été découvert à 100 km au nord du Caire en Egypte. Il est actuellement en Allemagne pour être étudié. Il mesure 38 cm de long et parait avoir été tranché net.
Une première dans l'histoire de l'archéologie moderne ! Preuve manifeste de la présence de géants ayant vécus sur Terre, il y a longtemps.

 

La science respecte-t-elle ses propres principes, à savoir : étudier les faits et rien que les faits, même s'ils contredisent les théories dominantes ?

Hélas, la réponse est non. Le filtrage des connaissances est communément pratiqué à partir du moment où les trouvailles archéologiques ne cadrent pas avec ce qui est scientifiquement admis, interdisant à la science de progresser ! Une sorte d'auto-censure s'opère spontanément dès que les faits ne cadrent pas avec ce que nous pensons connaître de notre lointain passé. Cette video dénonce cette forme d'occultisme contre laquelle je m'insurge depuis des années.

"Notre Histoire commence à Sumer mais ses racines sont peut-être dans les étoiles"... 
 
Guy Tarade
 
 
Découvrez le blog "Les archives du savoir perdu"

"Nos ancêtres viennent d'ailleurs" : La théorie se fraye un chemin parmi les plus grands scientifiques.
 
 
 
À propos de Guy Tarade :
 
Écrivain et conférencier spécialisé dans le paranormal et l'ésotérisme, il est le fondateur du Centre d'études et de recherches d'éléments inconnus de civilisation. En 1969, Guy Tarade participe à l'émission phare de la télévision française « Les Dossiers de l'Écran » sur le sujet « extraterrestre » avec en première partie une projection du film « la Guerre des Mondes » (première version). Cette émission le révèle au grand public.
 
Très attaché à la tradition et passionné de symbolisme, il a visité certains des lieux les plus mystérieux de la planète afin de retrouver les traces « d'anciennes et grandes organisations initiatiques ». Il s'est notamment attaché à étudier le lien entre les civilisations humaines et les possibles civilisations extraterrestres. On peut retrouver ses articles sur le blog qu'il a créé avec son ami Christophe Villa-Mélé : "les archives du savoir perdu"
 
 (Information Wikipedia)

Une grande avancée scientifique en matière de génétique :
 
 
 
 
La vie s’est développée à partir des premiers organismes vivants qui se sont formés dans l’eau des océans primitifs. D’ailleurs, le code génétique, comme le précise les généticiens est universel. Il est identique qu’il s’agisse d’un brin d’herbe, d’un écureuil ou d’un homme. Seules de minuscules variantes déterminent notre appartenance au groupe humain. À vrai dire, l'ADN de deux individus pris au hasard sur la planète ne diffère que de 0,1 %, et notre ADN est le même que celui d'un chimpanzé à 99 %. Les scientifiques viennent de faire la preuve que la population mondiale descend directement d'un petit groupe d'individus (10.000 pas davantage) vivant en Afrique, sans doute du côté de l'actuelle Namibie, il y a 200 000 ans.
 
« Lorsque l’humanité fut créée, ils ne savaient pas manger le pain, ils ne connaissaient pas le port du vêtement… des poils touffus recouvraient tout leur corps… ils côtoyaient les animaux sauvages aux points d’eau… ils remplissaient les fosses que j’avais creusées, ils détruisaient les pièges que j’avais posés. »

Ce passage est extrait d’un texte assyrien, preuve que les peuples de Mésopotamie avaient entendu parler des êtres primitifs qui peuplaient notre Terre avant l’apparition d’Homo sapiens sapiens, autrement dit nous !
Nous savons actuellement que la vie s’est développée à partir des premiers organismes vivants formés dans l’eau des océans primitifs. Très récemment, les généticiens ont apporté la preuve que la population mondiale descendait directement d'un tout petit groupe d'individus (10.000 pas davantage) vivant en Afrique, sans doute du côté de l'actuelle Namibie, il y a 200. 000 ans. Depuis, toutes les autres branches d’hominidés se sont éteintes. La théorie que je soutiens ne réfute pas du tout l’existence des australopithèques et autres représentants fossiles du genre homo. Bien au contraire !

Or, si l’on en croit la genèse sumérienne, les Anunnaki ont modifié le génome des « têtes noires », peuplade d’homo erectus ainsi nommés dans les textes cunéiformes. Il faut savoir qu’il existait beaucoup d’autres races d’hominidés en Afrique et que toutes se sont éteintes, excepté la nôtre. En quoi était-elle différente ou plus résistante ? Mystère. Si on récuse la théorie d’un croisement génétique à l’aube de la civilisation, rien n’explique pour quelle raison ce groupe de 10.000 individus a perduré dans le temps, alors qu’à la base, ils n’étaient ni mieux armés, ni plus intelligents que leurs congénères.

Toujours est-il que ce fameux groupe dont nous descendons vivait au cœur de l’Afrique noire comme le précise le texte akkadien nommé : « Lorsque les dieux comme les hommes ».
Le SHI. IM.TI littéralement en langue sumérienne : « la maison où souffle le vent de la vie » se situait en terre d’Arali : compte tenu de la distance que mettaient les bateaux pour s’y rendre, les côtes qu’ils longeaient et les descriptions des lieux, il s’agissait très probablement du Zambèze actuel.

Donc, loin de mettre la théorie évhémériste de Zecharia Sitchin en défaut, cette nouvelle avancée de la science l'étaye plus encore.

Je laisse la parole à d'éminents généticiens : http://youtu.be/-9bkm91BGt8

FR - Klaus Dona : L'Histoire cachée du genre humain

La Révélation des Pyramides ( s-t fr. )

Inutile de préciser que j'adhère complètement à la théorie émise dans cette vidéo, théorie dont j'ai fait mon cheval de bataille.