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    photo prise aux gorges de la jogne la cascade du grand cracheur en bas a droite un petit personnage nous regarde sans qu'on l'est vue au moment de la photo 

     


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    en exclusivité pour la taverne de lêtre ange, Joseph Piron citoyen belge, expert en art honoraire diplômé "ad honores" de l'académie européenne des arts, nous raconte son incroyable aventure qui dure depuis 30 ans , il est le premier à avoir découvert les techniques du grand maitre Léonard de Vinci

     

    Qui est Joseph PIRON?

    Joseph est né à Liège en 1940, antiquaire et diplômé en art honoraire en la ville de liège un beau jour une jeune femme lui propose d'acheter un tableau qu'elle avait récupéré alors que des ouvriers communaux brûlaient un fond de grenier.

    Recconnaissant immédiatement une oeuvre de qualité,il a entrepris d'en identifier l'auteur.

    Apres 25 ans de recherches ,il est à même d'apporter les preuves qu'ils'agit bien d'un autoportrait de Léonard de Vinci.

    En analysant son autoportrait ainsi que d'autres oeuvres de Léonard de Vinci ,Joseph fit les découvertes suivantes :

    Léonard de Vinci utilisait une technique de peinture en transparence invisible les sujets peints selon cette technique n'apparaiessent que dans certaines conditions d'éclairage.

    Il utilisaitaussi d'autres techniques comme la miniaturisation,la technique optique et hypnotique qui ne sont visible que sous certains jeux d'ombres et de lumiéres.

    La variationde l'éclairage sur le tableau fait changer le sujet partiellement ou complétement ,il fait apparaitre d'autres personnnages ainsi que de nombreuses scénes et textes et manuscrits.

    chaque tableau est composé à la manière d'un livre, en changeant révèle les diffèrentes pages.

    chaque oeuvre contient une somme considérable d'informations relatives au 15 eme siècles ainsi qu'à la science et l'architecture et à tout les domaines ou de VINCI exellait.

     

    les essais effectués sur d'autres tableaux de la même époque montrent que ces techniques fonctionnent uniquement sur les oeuvres de Léonard de Vinci .durant plus de 20 ans Joseph a enregistré prés de 200 vidéos et des centaines de diapositives donnant un appercu du travail réalisé.

     

    Bacchus alias St Jean-Baptiste de Léonard

    des découvertes extraordinaires 

    Joseph ne se contente pas de chercher dans les peintures mais dans l'histoire elle même ainsi il découvre que Léonard était un grand initié et initiateur et qu'il a glisser plusieurs messages dans ses oeuvres , le precepte de Léonard était " si tu rencontre quelque chose qui t'étonne sur une de mes oeuvres, continue, tu es sur le bon chemin"d'aprés Joseph ce grand maitre utilisait la nécromancie, art interdit pour cet époque.

     ce que veut joseph actuellement 

     

    un élu de belgique voulait voler les découvertes de Joseph mais il ne c'est pas laisser faire , Joseph veut que ce tableau soit autentifié officielement  et que ses découvertes soit mises au grand jour pour le bien de l'art et de l'humanité aussi , car il s'agit d'un début  de réponses éblouissantes dans beaucoup d'énigmes de ce millénaire,nous rencontrerons beaucoup d'autres personnages fessant partie de cette longuie chaines d'initiés, tel que l'abbé Béranger Saunière,Assan farid Dina du chateau des Avenières, et le chanoine Gérard de Crupet de Namur ,avec ses découvertes Joseph nous entraine dans un monde que nous ne perçevons pas.

    SOLIS SACCERDOTIBUS 

    il sollicite l'équipe taverne pour l'aider 

    nous , nous rendrons prochainement à liège pour filmer Joseph et son autoportrait, la rédaction d'un livre sur les découvertes de Joseph est envisageable avec le soutien des sages de la chevalerie .


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  • Tous les Macériens (noms des habitants de Mézières, avant sa fusion avec Charleville en 1966) connaissent la Fosse au Dragon, écrit Paul Hanrion en 1894. C’est un trou, dans le lit de la Meuse, situé au sud du faubourg de Saint-Julien, derrière la maison qui porte l’enseigne du Beau Séjour

    http://www.france-pittoresque.com/spip.php?article3230


    La rivière est en cet endroit assez profonde et les tourbillons nombreux qu’elle y forme ont causé souvent la mort de baigneurs imprudents : de là une mauvaise réputation qui remonte à plusieurs siècles. Mais d`où vient ce nom de Fosse au Dragon ? La légende nous le dira.

    Un des treize chanoines du chapitre de l’église collégiale de Mézières, qui vivait vers la fin du XIIe siècle, s’était épris, dit-on, d’un amour terrestre pour une nonne d’un couvent voisin d’Annonciades Célestes. L’annonciade ne sut pas y rester insensible ; mais Dieu punit terriblement les coupables. La nonne donna le jour à un petit monstre, qui, en grandissant, devint un dragon d’une méchanceté sans pareille. Il dévorait les enfants et les jeunes filles, et rendait la ville déserte par ses hurlements et par l’odeur empoisonnée qu’il dégageait. On résolut de l’enfermer, afin de pouvoir l’enchaîner plus facilement. Prêtres et chevaliers sortirent par la porte Saint-Julien en longue procession à la rencontre de la bête ; un saint évêque s’avança intrépidement et l’aspergea d’eau bénite. On enferma le monstre vaincu dans une cave, mais on jugea plus prudent de le faire périr ; on le traîna à grand’peine hors de la ville et on le précipita dans la Meuse. Il fit de vains efforts pour s’échapper, et, en se noyant, il creusa le gravier du fleuve de ses longues griffes. Depuis lors, il y a en cet endroit, un trou qui prit le nom de Fosse au Dragon, et dont on n’a jamais, paraît-il, pu trouver le fond.

    L'église de Mézières
    L’église de Mézières
    C’est là une des variantes de la légende. L’histoire était connue depuis fort longtemps ; elle a dû être maintes fois modifiée et amplifiée par l’imagination populaire. Une autre version a été conservée par dom Ganneron, chartreux du Mont-Dieu, dans sesCenturies de l’estat ecclésiastique du pays des Essuens (1640). Ce récit est curieux ; aussi le reproduisons-nous en entier.

    « Il arriva autrefois qu’un chanoine de ladite église [l’église collégiale de Mézières, fondée vers 1190 par Manassés VI, comte de Rethel et son fils Hugues], homme curieux des secrets de nature, voulut expérimenter que deviendrait, un ver de terre qui pourrait vivre longuement. Il en enferma un dans une petite fiole, lui donnant aliment convenable pour sa sustentation. Quand il le vit grossir et que la fiole ne le pouvait plus contenir, il le mit dans une bouteille, et à mesure qu’il grossissait, il le transportait de vase en vase, de plus grand en plus grand. Enfin il devint si gros, qu’il fut contraint de le mettre en un tonneau ; mais comme sa curiosité ne se bornait point, voulant en avoir le passe-temps jusqu’au bout, il fit faire une cage de fer en sa cave où il le mit ; mais telle épreuve lui coûta la vie et la perdition de la ville, pour l’infection de l’air qui s’en allait suivre. Car, comme ce ver était devenu dragon, jetant feux et flammes, le pauvre chanoine fut contraint d’en raconter l’histoire à ses amis pour tirer conseil d’eux, comme il se devait délivrer du malheur qui le menaçait et toute la ville.

    « Conclusion fut prise de le tirer de la cave et de le jeter dans la rivière de Meuse. Cela fut aisé assez dire, mais Dieu sait si ceux qui eurent charge de le traîner avec sa cage sur le pont, eurent belle peur d’être infectés de l’haleine de ce dragon. On trouve donc invention de le tirer et de le mener à la vue du monde sur le pont, d’où il fut précipité dans la rivière, en laquelle, après avoir fait quelques sauts et virevoltes, il s’alla enfin noyer à quelque espace de là ; depuis quoi, on ne le vit plus, et le peuple remarqua fort bien la place où il fut abîmé.

    « Voilà, se dira quelque Aristarque, un beau petit conte qui sent le papin des enfants du Rethelois et les élans de quelque vieille édentée de Mézières. Je l’ai cru ainsi auparavant, mais depuis que des gens honorables et personnes religieuses me l’ont assuré ainsi, j’ai changé de croyance. On fait annuellement une procession à Mézières, au lieu où ledit dragon fut abîmé, qu’on appelle la procession des jambons, à cause que chaque ecclésiastique doit avoir pour son assistance et distribution un jambon, selon les termes de la fondation. Cette histoire aussi est dépeinte aux vitres de l’église, et dit-on que le chanoine s’enfuit, craignant la fureur du peuple ». L’usage de fournir ce jambon est constaté notamment en 1764, dans le bail de la cense de Saint-Julien à Pierre Lacatte (Archives départementales des Ardennes). La procession se faisait après le mardi de la Trinité et c’était le fermier de cette cense qui le donnait au doyen de Mézières.

    Comme on le voit, précise Paul Hanrion, un des vitraux de l’église rappelait aux habitants de Mézières la légende du dragon, qui avait fourni matière au grand vitrail, placé derrière le maître-autel. Le bombardement de 1815 l’avait laissé intact : il fut détruit en 1870. On a replacé dans la fenêtre flamboyante qui surmonte la porte de la sacristie, au sud de l’abside, tous les débris qu’on a pu retrouver. Ces débris, provenant de tous les anciens vitraux de l’église, ont été réunis de manière à occuper toute la fenêtre. Ils ne présentent aucune unité et sont placés pêle-mêle. En haut et à gauche de ladite fenêtre, on voit un fragment, bien petit, de la superbe verrière. Du dragon, il ne reste qu’un morceau d’environ 8 centimètres de hauteur sur 10 de largeur. Le monstre a la face grimaçante : on dirait qu’il possède une tête de singe : la partie antérieure du corps est verte ; ce qui en reste est jaunâtre. Il est encastré dans un panneau représentant un évêque, levant le bras comme pour bénir ou jeter de l’eau sainte ; à côté de l’évêque on a rassemblé un arbre couvert d’oiseaux, une tête de chien et un grand lévrier jaune, qui faisaient peut-être partie du vitrail primitif.

     

     


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    DRAVEIL, ce samedi. Martine Comette, en compagnie du spécialiste Alain Carion, a découvert une météorite chez elle, vieille de 4,57 milliards d’années.

     

    Son nom la prédestinait. Une météorite est tombée à Draveil (Essonne), sur le toit de la maison d’une jeune femme nommée... Martine Comette. C’est en faisant venir un couvreur le mois dernier pour une tuile cassée sur son toit que cette jeune mère de famille, comptable au ministère des Finances, a découvert cet objet extraterrestre vieux de 4,57 milliards d’années.<btn_noimpr style="margin-top: 0px; margin-right: 0px; margin-bottom: 0px; margin-left: 0px; padding-top: 0px; padding-right: 0px; padding-bottom: 0px; padding-left: 0px; font-family: Arial; border-top-width: 0px; border-right-width: 0px; border-bottom-width: 0px; border-left-width: 0px; border-style: initial; border-color: initial; "></btn_noimpr>

     

    «Plus magnifique et improbable que de gagner au loto», se réjouit Martine Comette. 

    La trouvaille céleste qui provient de la ceinture astéroïde entre Mars et Jupiter a été validée ce samedi matin par le scientifique Alain Carion, spécialisé dans ce domaine : «C’est bien une météorite, confirme l'auteur du livre «Les Météorites et leurs impacts». C’est d’autant plus exceptionnel qu’on n’en a jamais trouvé à moins de 80 km de Paris».


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    La Pierre qui chante

     

    http://www.france-secret.com/marlin_art2.html

    Un mégalithe très peu commun

    Le mégalithe le plus insolite de l’ensemble des ‘Roches de Marlin’ est pour nous celui qui a pour nom ‘La Pierre qui chante’. Cette ‘pierre’ était sans doute la plus importante du site. Il semblerait qu’avant nous, il y a plus de trente ans, personne n’ait jamais fait mention de cette roche et encore moins de son nom. Il est vrai, qu’à cette époque, nous étions les premiers à nous intéresser sérieusement à cet endroit qui ne fut connu du public que bien plus tard.
    Ce bloc rocheux se trouve en alignement avec le hameau de Jurieu, quasiment au bout du chemin (et à droite) en arrivant de Marlin que nous avons déjà vu précédemment.
    Il s’agit là d’une sorte d’énorme amande rocheuse, tournée vers l’ouest et inclinée (montante) par rapport au sol ambiant. C’est un mégalithe peu commun, qui n’est pas vraiment un dolmen, puisque posé directement au sol, ni un menhir en raison du fait qu’il n’est pas dressé complètement. 
    De forme grossièrement ovale, elle mesure plus de trois mètres cinquante de long, pour une largeur d’un mètre vingt et quatre-vingts centimètres à sa plus importante épaisseur. Inclinée à près de vingt degrés sur le terrain, et ce dernier étant lui-même en déclivité, la pierre pointe résolument aux alentours de quarante degrés de l’horizon réel. Dire qu’elle repose sur sa partie basse est une erreur. Une arrête rocheuse naturelle la supporte en une sorte d’équilibre très stable renforcé par le blocage de petites cales de roches. L’amande repose ainsi sur ses 3/5ème, et cette position lui donne une apparente légèreté. Elle se trouve à la fois surélevée du sol et solidement ancrée sur ce dernier par l’action de son propre poids; l’impression de ‘porte-à-faux’ s’estompe si l’on songe que ce bloc fut posé ainsi il y a des millénaires… et que visiblement il n’a subi depuis aucun glissement ou tassement sur sa base. Mais il y a encore mieux : à l’observation du sol, le sentiment que la pierre fut ‘posée’ sur son calage est renforcé par la conviction que les minces plaques rocheuses qui la bloquent auraient été immanquablement écrasées si une telle masse avait été poussée ou tirée à cette place. Non… cette pierre est à la juste place où des hommes l’ont voulue… avec une précision qui dépasse encore notre entendement, vu ce dont ils disposaient pour un tel travail !

    Témoin de rites monstrueux ou de chants lancinants ?

    Le bloc se trouve percé de deux grosses cupules sur sa face exposée au sud. Elles sont reliées entre elles par une mince et étroite gorge… Ainsi si l’on verse du liquide dans la cupule haute, ce dernier s’écoule vers la cavité basse. De cette évidence est sans doute née l’idée de monstrueux sacrifices avec écoulement de sang tout au long de la roche. Or, un quelconque liquide doit d’abord remplir la première cupule à ras bord pour commencer à s’écouler, ce qui impliquerait beaucoup de sang… sans oublier que ce dernier coagulerait trop vite pour permettre un tel spectacle sur une longue durée !
    Mais il faut maintenant apporter une série d’éléments pour tenter de trouver ce à quoi ce mégalithe doit un tel nom : « La Pierre qui chante ».
    Bien entendu, cette énigme nous a intéressés depuis le début de nos recherches. Il fallait exclure évidemment le moindre espoir de l’entendre… chanter au sens général du mot. Il restait les possibilités pratiques, en tenant compte de ce qu’avaient nos ancêtres à leur disposition, afin de rester dans les limites du ‘réalisable’ avant de plonger dans l’imaginaire et l’irréel. Nous pouvions songer à produire des sons en tapant avec de la pierre, du bois ou une barre de bronze sur le mégalithe… Tout au plus avons-nous obtenu effectivement des bruits qui, selon un rythme, pouvaient devenir une sorte de litanie… peu harmonieuse mais qui, même avec une très bonne volonté, n’avaient rien à voir avec un chant ! Il restait bien sûr le bruit du vent (quasiment perpétuel à cet endroit) dans les cupules et qui pouvait sembler une plainte… rien non plus dans ce sens, car on entend simplement les sifflements du vent et rien d’autre !

    Des yeux pour les étoiles

    Une fois ces hypothétiques essais avérés sans succès, nous avons abordé une autre série de constats. 
    A bien regarder l’amande rocheuse, on s’aperçoit que ceux qui l’ont voulue ainsi ont utilisé au maximum les formes naturelles du bloc. Nous sommes donc assez proches de l’esprit des druides qui voulaient qu’une roche servant à leur culte soit la plus naturelle possible. 
    Il faut, dans ce cadre, prendre un peu de distance et regarder cette roche dans son ensemble, sans la fixer trop du regard et si possible en matinée ou fin de journée pour avoir un éclairage arasant.
    C’est à ce moment qu’apparaît un grand visage se dessinant sur la pierre depuis la forme naturelle du minéral formant l’arête d’un nez aquilin encadré vers le haut par les deux cupules disposées à la place des yeux… Ces détails amplifiés par le jeu des ombres dessinent des traits surprenants, austères, graves… ceux d’un visage qui crie ou… chante ! L’expression fugitive est empreinte d’une certaine noblesse; on n’y décèle aucune cruauté ni effroi… 
    Lorsque le soleil s’apprête à disparaître à l’horizon, les traits s’intensifient encore, se durcissent, puis se fondent dans l’ombre… le visage est redevenu pierre inerte. Le cliché entrevu inspire le respect et prédispose à une méditation interrogative. Le regard sombre et attentif interroge le ciel, la nuit… les étoiles. Ici, comme au menhir du Flat (dont nous parlerons bientôt), des yeux observent à jamais le firmament.
    Une autre roche du même type devait se trouver très près de celle-ci… mais, brisée sans doute en cours de transport, elle n’eut pas le temps d’être mise en place ou activée…

    Un chant que les oreilles ne pouvaient écouter

    Ainsi, nous avons, semble t-il, trouver une explication à ce nom : un visage criant ou chantant… Mais était-ce seulement cette expression qui en justifiait l’appellation ? Nous sommes allés un peu plus loin, car un autre détail nous surprenait dans la construction de ce visage. Nous admettons que les maîtres d’œuvre de ce mégalithe aient été capables d’édifier une telle roche agrémentée d’un visage comme nous le voyons… ce qui exclut radicalement l’intervention naturelle d’un pur hasard. Peut-on croire qu’un détail important dans le dessin d’un visage ait pu leur échapper ?... car, en effet, il manque pour compléter cette morphologie… les oreilles ! En échange, un front très long, effilé, quasiment aussi grand que le bas de la figure depuis les yeux… ne manque pas de nous étonner ! 
    Doit-on en conclure que les oreilles ont été ‘oubliées’ volontairement ?... tout aussi volontairement que le front est représenté démesurément long ?
    En ce cas nous avons cette possibilité : 
    Nous sommes devant une figure avec :
    - une bouche grande ouverte qui chante ‘fort’… 
    - sans oreilles pour ‘entendre’ ce son… 
    - mais pourvu d’un front anormalement prolongé pouvant simuler une grande capacité cérébrale… 
    Tous ces ‘détails’ veulent, peut-être, signifier que le chant de cette Pierre unique en son genre n’est pas une mélopée audible par des oreilles… mais par un cerveau capable de la percevoir ! En quelque sorte un son, un message, un savoir ( ?) à destination d’une intelligence capable d’entendre cérébralement ce que des oreilles ne peuvent entendre… Ou peut-être est-ce là un avertissement que ce ‘chant’ n’est pas pour le commun des mortels attendant simplement d’entendre ce qui ne lui est pas réservé ? 
    Mais alors… de quel son ou ‘chant’ peut-il s’agir ? Et comment l’activer… et le percevoir ? C’est ce que longtemps nous nous sommes demandés. Un détail nous surprenait également : il était difficile de faire tenir un animal (expérience faite avec plusieurs chiens et chats) sur la roche... ce dernier ne semblait avoir qu’une idée … en descendre le plus vite possible en gémissant !

    L’extraordinaire chant inaudible

    Il a fallu attendre plusieurs années l’arrivée d’un chercheur, maintenant totalement oublié, Jean-Louis Brechet. Il s’agissait d’un ingénieur de très haut niveau dans une technologie qui commençait à prendre de l’importance : l’informatique. A ce savoir, Jean-Louis ajoutait des compétences supérieures en électronique. Il s’est très vite intéressé à ce problème du « chant de la pierre que l’on ne pouvait pas entendre ». Plusieurs fois, il s’est rendu, avec d’autres scientifiques, sur les lieux. Pour lui, la réaction des animaux signifiait qu’un son en ‘infra’ ou ‘ultra’ fusait de cette roche… sans pour autant en supposer l’émission. La pierre bardée de capteurs finit, après de longues séances, par se laisser ‘deviner’. Et c’est en explorant des fréquences inaudibles à l’oreille humaine… qu’une veille de Noël, J.L. Brechet finit par ‘entendre’ ce que nulle oreille humaine n’avait entendu : le chant de la Pierre… comme une sorte de suite de 5 tonalités répétitives à l’infini ! Mais l’origine de ce son, sa transmission, sa réception et surtout son but final sont toujours restés une énigme. Une autre série de questions reste, pour nous, extraordinaire, mais sans réponse et inquiétante: Peut-il s’agir d’un hasard minéral du type ‘poste à galène’ ? ‘Ceux’ (ou celles) qui implantèrent une telle pierre savaient-ils ce qu’elle pouvait produire ? Si oui, pouvaient-ils à volonté reproduire et cette forme et ces résultats ? Qui étaient ces ‘créateurs’ et de quel peuple étaient-ils les maîtres ou les prêtres ?

    Des roches à la chapelle des… fous

    A l’époque de nos recherches, nous avions poursuivi nos enquêtes avec l’aide d’un autre chercheur : le père Ado Bedoin ! C’est lui, par exemple, qui nous avait fait remarquer que la pierre se trouvait dans le périmètre de promenade des chartreux de Ste Croix… et que, de fait, ils ne pouvaient en ignorer la présence… mais surtout, que jamais cette roche n’avait été christianisée, détruite, déplacée. En effet, une paire de bœufs ou un bon et long levier aurait alors suffi à renverser cette pierre ‘maléfique’… pour d’autres que ces moines ! Mais ce n’est pas tout. Ado avait continué sa petite enquête et s’était aperçu que certaines personnes de Ste Croix et ses environs avaient eu de l’intérêt pour ce lieu énigmatique et cette pierre. Plusieurs avaient tenté d’en savoir plus sur ce mégalithe qui, par un certain aspect, invitait ses visiteurs à s’étendre sur lui.
    Nous avons pu alors recenser formellement quatre personnes qui, en moins de cinquante ans, avaient essayé de ‘violer’ le secret, sur place, de ce fascinant rocher… Ces quatre personnes en sont toutes redescendues avec de graves problèmes cérébraux. Grâce aux relations d’Ado, nous avons pu rencontrer quelques instants une de ces… victimes. Plus aucune discussion n’était possible avec nous… tout au plus quelques mots incompréhensibles. Seul Ado, en sa qualité de religieux, avait pu patiemment établir un faible lien, au cours duquel il avait fini par reconstituer le processus.
    Certes, l’émotion, la crainte, ou certains exercices d’extases mal vécus ou poussés au paroxysme peuvent déstabiliser un esprit fragile… Mais saurons-nous un jour ce qui se passe vraiment, dans certaines conditions, sur ces lieux ?
    Ce rite ‘d’enchantement’ subi sur la roche était-il seulement destiné à ‘rendre fou’ le patient, le néophyte, le profane ou le postulant ? Rien n’est moins certain… Celui qui ‘savait’ pouvait sans doute user de cet exercice et s’ouvrir à ce secret sans grand risque. Mais le ‘non-initié’ y laissait toute sa lucidité et, ne pouvant rapporter le moindre souvenir de son voyage… enchanteur, il devenait … fou et le secret restait, lui, inaccessible! Mais qu’y a-t-il de plus mince que l’espace séparant la sagesse de la folie ? A ce propos, ajoutons à ces étranges faits que l’antique chemin conduisant au site des roches de Marlin partait de Jurieu (derrière la chapelle) et arrivait devant la ‘Pierre qui chante’… et que l’ancien nom de cette vénérable chapelle était : « la chapelle des fous » ! Encore un dernier hasard sans doute…

    L’enchantement d’une roche et la présence des fées
    La pierre des fées

    ‘Pierre qui chante’ est un nom qui ne pouvait être donné par hasard ou caprice. Il faut admettre qu’il a donc été octroyé en fonction d’un rôle précis et connu, qu’elle assure avec justesse. Ceux qui ont fait ce choix, il y a bien longtemps, savaient peut-être le contenu du message et les modes d’emploi pour ce genre de ‘réception’, pouvant être extrêmement dangereuse sans le savoir nécessaire. Cette procédure et le but de ce ‘contact’ sont-il toujours en possession de quelques personnes ? A qui étaient réservés cette roche et ce chant oublié ? à quelle élite ou quel condamné ?...
    Chanter… certes, nous fait penser à une mélodie, une harmonie de sons… un chant, une chanson peut-être ? Si ce nom est très ancien, ne pourrait-il pas s’apparenter au terme ‘chanson’ dans le sens d’un récit merveilleux tel par exemple… « La chanson de Girard de Roussillon » ??? Ce message alors serait un récit, une saga, un savoir merveilleux ?...
    Patrick Berlier, avec justesse, sur le sujet, supposait que le mot « chanter » en vieux français signifiait aussi « enchanter »… faire des enchantements… et des ensorcellements. Il ajoute que si la pierre « enchante », elle prend alors toute sa place dans le site des roches de Marlin ou Merlin… puisque ce magicien, cher au roi Artus, était sans doute le plus connu des … enchanteurs de son époque !

    Les seules découvertes faites près de cette roche sont quelques pierres de rivière. Elles furent donc apportées ici par des hommes. Etait-ce un culte, une offrande, un rite oublié, une marque de respect, de crainte, d’inféodation ? Il s’agit de galets recouverts de petites cupules… sur une seule face, celle qui se trouvait tournée vers la terre. Ces galets étaient tous rassemblés en un seul lieu (du moins à notre connaissance) à quelques mètres de la Pierre qui chante. Montrés à un vieil habitant de Marlin, à l’époque de notre découverte, celui-ci s’était rapidement ‘signé’ et avait très vite prononcé le mot « une pierre de fée ». Certaines cheminées du hameau en étaient quasiment ‘religieusement’ parées. Nous n’avons jamais su où les ‘anciens’ les avaient trouvés, ni le pouvoir visiblement immense, qu’ils leur accordaient… Sans doute un autre mystère de la Pierre enchanteresse?
    A suivre…


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