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  • La Corse est aujourd'hui la région qui possède le plus de dolmens et de menhirs en Europe. Environ 500 ont été mis au jour. Un record ! Mais ce qui fait la particularité de cette île par rapport aux autres îles de la Méditerranée est que, sur certains de ces menhirs, on peut distinguer des visages humains, voire des corps entiers d'hommes armés. La moitié de ces statues menhirs, réalisées entre le néolithique et l'âge de bronze, sont situées sur le site de Filitosa, dans la commune de Sollacaro, en Corse du sud.

    http://www.corserealite.com/pages/lieux/filitosa/menhirs-du-neolithique.htmlfilitosa-corse.jpg

     

    Filitosa
    Le site archéologique de Filitosa, situé en Corse du sud, dans la basse vallée du Taravo, entre Propriano et le petit port de Porto Pollo, a été découvert en 1946. On y trouve les vestiges d’un petit village torréen, composé de statues, de monuments et de menhirs imposants, de 2 à 3 mètres de haut.
    A chacune des statues-menhirs retrouvées a été attribué un numéro. Filitosa V est celle qui a la plus grande taille. Elle est aussi celle qui montre un équipement (armes : longue épée et poignard) le plus important et le plus précisément sculpté.
    Certaines statues de ce site préhistorique dateraient du Néolithique et seraient antérieures aux constructions de la civilisation Torréenne (-1500/-1300).
    Corse

    http://luisiades.free.fr/?p=3180

     

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  • Les fantômes du château de Fougeret (86) : mythe ou réalité ?

    À l’occasion des Journées du patrimoine, le château de Fougeret ouvre ses portes et accueille une exposition inédite de photos d’esprits qui sont censés hanter les pièces du château, selon ses propriétaires. 

    • Par Bernard Dussol
    • Publié le 05/09/2013 | 16:15, mis à jour le 05/09/2013 | 16:15
    Le salon gothique du château de Fougeret © Archives famille Geffroy
    © Archives famille Geffroy Le salon gothique du château de Fougeret
    L'exposition proposée par les actuels propriétaires du château, François-Joseph et Véronique Geffroy, est constituée de clichés pris par l’Institut français de recherche et d’expérimentation spirite (IFRES), grâce à une machine spécialement conçue à cet effet.
    Voici l'une des photos de cette exposition.
    © Ifres
    © Ifres

    Troublant en effet ! Grâce à cet équipement spécial mis au point par leurs soins, ces chercheurs prétendent avoir réussi à fixer sur pellicule des spectres. Pour les adeptes de l'association IFRES, il s'agit de fantômes et leurs conclusions sont censées corroborer les constatations des occupants du château.
    Car à en croire ses actuels propriétaires, ce lieu réserverait bien des surprises.Depuis 2009, Véronique et François-Joseph Geffroy ont acquis le Château de Fougeretalors qu'il était abandonné depuis un demi-siècle.

    Dès leur arrivée, la famille est témoin de manifestations bizarres : voix, bruits de pas, apparitions de silhouettes, déplacement de meubles… Il n'en faut pas davantage pour attirer des dizaines de médiums et de spécialistes des activités paranormales qui viendront confirmer la présence d’esprits dans ces lieux.

    Et comme les propriétaires ont visiblement le sens des relations publiques et des affaires, ils vont jouer sur la corde du sensationnel et des émotions fortes pour faire affluer les touristes. Un spot publicitaire fort bien réalisé vante l'étrangeté des lieux.
     

     

    Reportages, films, articles dans la presse spécialisée, les manifestations étranges du château de Fougeret n'en finissent pas d'alimenter les rumeursdans certains milieux ésotériques. Les médiums aussi défilent et draînent des dizaines de visiteurs curieux qui versent leur obole pour passer des soirées-frisson.

    « Oui, nous avons besoin de ces visites pour le budget de l'association Fougeret et les travaux, concédait Véronique Geffroy dans une interview accordée à nos confrères de La Nouvelle République.

    A Queaux, certains habitants ne veulent pas être dupes et dénoncent cette publicité "uniquement destinée à rapporter de l'argent pour assurer la restauration du château".
    Le couple Geffroy ne s'en émeut pas, certain de tenir entre ses mains un lieu où la magie et le rêve se mélangent pour le plus grand bonheur des visiteurs.
     

     

    14 et 15 septembre prochains, le château de Fougeret, à Queaux, dans le sud de la Vienne, ouvrira ses portes au grand public lors des Journées du patrimoine.

     

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  • <figure class="illustration_haut" style="margin: 0px; overflow: hidden; position: relative;">Les butineuses ont découvert un gisement de sucreries colorées sur un site de méthanisation de déchets organiques et d'invendus alimentaires.<figcaption data-caption="Les butineuses ont découvert un gisement de sucreries colorées sur un site de méthanisation de déchets organiques et d'invendus alimentaires. | AFP/FRANK RUMPENHORST" style="position: absolute; bottom: 0px; left: 0px; padding: 5px 10px; background-color: rgba(0, 0, 0, 0.65098); color: rgb(255, 255, 255); box-sizing: border-box; width: 534px;">Les butineuses ont découvert un gisement de sucreries colorées sur un site de méthanisation de déchets organiques et d'invendus alimentaires. | AFP/FRANK RUMPENHORST</figcaption></figure>

     

    Un hiver rigoureux suivi d'un printemps pluvieux et d'un été sec : les ruches ont souffert au cours de ces derniers mois. La récolte ne sera pas abondante en 2012 et le moral des apiculteurs, déjà fortement touché par les ravages des pesticides sur leurs abeilles, est au plus bas.

    A Ribeauvillé, dans le département du Haut-Rhin, une autre mauvaise surprise attendait les apiculteurs. Début août, plusieurs d'entre eux constatent que leurs abeilles ramènent d'étranges produits de couleur, bleu ou vert, parfois marron chocolat. Les quantités transportées sont importantes au point de bloquer la ponte. Un désastre, car c'est en été que les reines pondent les "abeilles d'hiver" qui permettront à la ruche de passer la saison du froid. Puis, très vite, les apiculteurs récoltent une étrange mixture à la couleur tout à fait inhabituelle.

    Une douzaine de producteurs sont touchés. Le syndicat des apiculteurs de Ribeauvillé mène une enquête, fait fausse route plusieurs fois avant d'identifier au bout de trois semaines la source probable de l'altération du miel. Sur le site d'une entreprise de méthanisation de déchets – qui permet, entre autres, de produire du biogaz –, il découvre une colonie d'abeilles au-dessus de gros conteneurs abritant un produit de couleur identique à la mixture qu'elles ramènent à la ruche.

    La PME concernée, Agrivalor, a ouvert ses portes le 26 janvier, à l'initiative de trois agriculteurs. Cette unité de méthanisation s'inscrit, pour la commune, dans un cercle vertueux. Elle produit de l'énergie à partir de la dégradation de déchets organiques, denrées alimentaires périmées ou invendues, résidus de cuisines ou de l'industrie agroalimentaire.

    MIEL NON COMMERCIALISABLE ET AVENIR INCERTAIN

    Alain Frieh, le président du syndicat des apiculteurs, s'inquiète auprès du directeur du site de ce qui se trouve dans les conteneurs et des conséquences sanitaires possibles sur ses abeilles et la qualité de son miel. D'où viennent ces résidus industriels ? Les colorants sont-ils d'origine naturelle ou chimique ? Contiennent-ils des OGM ? Interrogée par Le Monde, l'entreprise n'a pas souhaité "faire de commentaires", confirmant seulement "valoriser" des déchets sucrés.

    Dans un courrier adressé, le 21 avril, au maire de Ribeauvillé, M. Frieh explique que le directeur d'Agrivalor, Philippe Meinrad, leur a indiqué, au cours d'une visite du site, que "les conteneurs contiennent des résidus de confiserie industrielle des établissements Mars". La multinationale américaine dispose de plusieurs sites de production en Alsace, notamment à Haguenau, où sont confectionnés les fameux M&M's, ces pastilles chocolatées de toutes les couleurs. Depuis plusieurs années, l'entreprise Mars vante son engagement dans le développement durable, en particulier la valorisation de ses déchets...

    Agrivalor, dans un courrier adressé au syndicat apicole, le 6 septembre, reconnaît à demi-mot les faits, "déplore très sincèrement la situation", mais soutient que "les sous-produits sucrés" valorisés sur le site de méthanisation sont "conformes à l'arrêté préfectoral d'autorisation d'exploiter""Nous n'imaginions à aucun moment que la présence de sous-produits sucrés dans l'enceinte de notre site aurait une relation avec l'exploitation de vos ruches."

    La PME assure qu'elle va cependant vidanger et nettoyer les conteneurs etconditionner les futurs arrivages de sucreries dans "des contenants étanches et rapidement traités".

    Mais pour les apiculteurs, le miel reste non commercialisable et l'avenir incertain. Le syndicat a décidé de faire analyser son "miel bleu". Il faudra attendre le printemps 2013 pour savoir si les abeilles de Ribeauvillé nourries aux résidus de Mars se portent bien.


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  • station balnéaire, Hendaye est l'une des villes les plus touristiques de la cote basque avec sa plage de plus de 3,5 kilomètres de long. Sur ces magnifiques terres, vous y verrez le château Abbadia et le domaine du même nom, qui appartient au Conservatoire du littoral.

    "En 1598, Hendaye obtint de construire de l’Église Saint Vincent,

    et se détacha de celle d'Urrugne. L'autorisation lui fut accordée par l'évêque Bertrand d'Etchaux :

    « Comme soit ainsi qu'en l'année 1598, les habitants du lieu de Hendaye qui dépendaient tant au spirituel qu'au temporel de la paroisse d'Urrugne, eussent obtenu permission de construire une église à part pour la commodité du peuple qui etaitt beaucoup accru audit Hendaye, à condition néanmoins qu'elle soit une annexe de l'église matrice dudit Urrugne et le sieur Urtubie en serait le patron. »

    Ville frontière entre la France et l'Espagne, Hendaye a connu bien des turbulences à l'occasion des nombreuses guerres entre les deux nations.

    Lors de la guerre franco-espagnole, la ville fut prise en septembre 1636 par les Espagnols.

    Témoin de ce passé le fort Gaztelu Zahar
    maintes fois détruit puis reconstruit, il fut embelli par les travaux de Vauban, puis définitivement rasé, ainsi que toute la ville lors des guerres de la Révolution, ou l'île des Faisans au milieu de la rivière Bidassoa. C'est sur cette dernière que le roi Louis XIV rencontra le roi d’Espagne et que furent signés le traité des Pyrénées en 1659 et plus tard le contrat de mariage entre Louis XIV et l'infante Marie-Thérèse.

    En 1867, Urrugne restitue à Hendaye 762 hectares concédés par Louis XIV. La commune était jusque là un village vivant sur 33 hectares.

    C'est à la gare d'Hendaye qu'eut lieu, le 23 octobre 1940, l'entrevue entre Hitler et le général Franco, ce dernier, respectant l'engagement pris lors des accords Bérard-Jordana signés le 25 février 1939, et réaffirmant le non-engagement de son pays dans la Seconde Guerre mondiale."

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Hendaye


    La Légende basque, nous raconte que la plage de la ville de Hendaye est hantée par les fantômes des sorcières.
    En 1609, quelques 10 000 sorcières fêtaient le sabbat sur la plage en dansant autour des menhirs et cela jusqu’au XIXe siècle.
    Mais suite au retrait des mégalithes, elles se vengent en tourmentant les vacanciers qui seraient assez courageux pour aller prendre un bain de minuit.
    Les anciens de la ville d'Hendaye expliqueraient que se sont ces sorcières, tuées pendant l'inquisition, qui seraient la cause de certaines noyades très mystérieuses. 

    Pour les profanes, cette superbe plage est plus connue pour ces vagues et ces compétitions de surf. Mais pour les basques, elle restera toujours une plage maudite où les fantômes résident encore.



    Géolocalisation: Les Fantômes des Sorcières de la Plage


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