• <header class="large" style="margin-top: 0px; margin-right: 0px; margin-bottom: 0px; margin-left: 0px; padding-top: 10px; padding-right: 30px; padding-bottom: 10px; padding-left: 30px; border-top-width: 0px; border-right-width: 0px; border-bottom-width: 0px; border-left-width: 0px; border-style: initial; border-color: initial; border-image: initial; outline-width: 0px; outline-style: initial; outline-color: initial; vertical-align: baseline; background-image: initial; background-attachment: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-color: rgb(255, 255, 255); clear: both; zoom: 1; color: rgb(32, 29, 33); font-family: Arial, Verdana, sans-serif; font-size: 13px; ">

    Peut-on avoir une conversation avec une plante ?

    <figure style="margin-top: 0px; margin-right: 0px; margin-bottom: 0px; margin-left: 0px; padding-top: 0px; padding-right: 0px; padding-bottom: 0px; padding-left: 0px; border-top-width: 0px; border-right-width: 0px; border-bottom-width: 0px; border-left-width: 0px; border-style: initial; border-color: initial; border-image: initial; outline-width: 0px; outline-style: initial; outline-color: initial; vertical-align: baseline; background-image: initial; background-attachment: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-color: transparent; ">Une étude menée par des chercheurs australiens, britanniques et italiens montre que les plantes "répondent" aux sons par des bruits de "cliquetis". Photo flickR CC license by Eirik Newth<figcaption style="margin-top: 0px; margin-right: 0px; margin-bottom: 0px; margin-left: 0px; padding-top: 0px; padding-right: 0px; padding-bottom: 0px; padding-left: 0px; border-top-width: 0px; border-right-width: 0px; border-bottom-width: 0px; border-left-width: 0px; border-style: initial; border-color: initial; border-image: initial; outline-width: 0px; outline-style: initial; outline-color: initial; vertical-align: baseline; background-image: initial; background-attachment: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-color: transparent; font-size: 0.8em; font-style: italic; ">Une étude menée par des chercheurs australiens, britanniques et italiens montre que les plantes "répondent" aux sons par des bruits de "cliquetis". Photo flickR CC license by Eirik Newth</figcaption></figure>Les plantes parlent. C'est prouvé scientifiquement.</header>

    Les plantes pourraient être réceptives aux sons et émettre des bruits de "cliquetis" pour communiquer entre elles, selon une étude menée à l'université de Bristol (Grande Bretagne), rapporte Cosmos Magazine.

    Ce travail de deux ans a été dirigée par Monica Gagliano, chercheuse australienne de la Western University de Perth, avec le professeur Daniel Robert de l'université de Bristol, et le professeur Stefano Mancuso, de l'université de Florence (Italie).

    Ces scientifiques ont effectué une série d'expériences, en utilisant des instruments ultra sensitifs, utilisés habituellement pour tester les capacités acoustiques des antennes d'insectes.

    Les instruments ont permis d'entendre des bruits de "cliquetis forts et fréquents", sur de jeunes racines de plantes de maïs flottant dans de l'eau. Soumises à des sons d'une fréquence de 220Hz (soit la même fréquence de son émise par les plantes),les racines "répondaient", en se tournant vers la source du son.

    Ces vingt dernières années, il avait été prouvé que les plantes pouvaient communiquer entre elles, mais seulement en utilisant des signaux chimiques, tels que le mûrissement des fruits, la germination ou le développement des racines.

    La communication par des signaux acoustiques n'avait pas encore été prise au sérieux par manque de preuves scientifiques.

    À lire en intégralité (en anglais) sur le magazine australien Cosmos Magazine et sur l'hebdomadaire australien Sydney Morning Herald.


    votre commentaire
  • Les tuiles de Toynbee restent un grand mystereL’existence des tuiles de Toynbee restent jusqu’au jour d’aujourd’hui un grand mystère malgré les différentes recherches menées dans ce sens. Les tuiles de Toynbee qui ont connu une notoriété d’une envergure mondiale ne sont pas des messages ou des cartes trouvés par des archéologues au fin fond du désert, mais ce sont des messages d'origine mystérieuse trouvés dissimulés dans plusieurs villes principales des Etats-Unis. Ces derniers étaient écrits d’un mélange de bitume et de granulats « l'asphalte ».Les messages écrits ne sont pas écrits d’une langue très ancienne que peu de gens peuvent lire, mais ils sont rédigés en anglais et ont tous la même traduction : Idée de Toynbee, Dans Kubrick 2001, Ressuscitez les morts sur la planète Jupiter. Ces plaques de linoléum qui ont été incorporées dans les chaussées d'asphalte des grandes villes à travers le monde depuis plus de deux décennies restent une grande énigme de nos jours.

     

    Pour plusieurs personnes, qui s’étaient intéressées à ces messages mystères, ces écrits pourraient faire référence à Arnold Joseph Toynbee qui est un historien Britannique qui avait écrit une analyse sur l’essor et la chute des civilisations et Kubrick qui n’est autre que le réalisateur et directeur du film Une Odyssée de l’espace. Après plusieurs recherches, de nombreuses personnes soupçonnaient « James Morasco », un résident de Philadelphie, d’avoir été à l’origine de ces plaques avec une tentative de proliférer ses théories du complot, ou peut-être pour faire avancer une théorie favorisant l'exploration, la colonisation, ou la "résurrection" de l'humanité sur la planète Jupiter, mais cet homme est décédé en 2003 et les plaques n’ont pas arrêtés de surgir un peu partout dans les régions américaines. Ce grand mystère des tuiles a poussé des cinéastes à collaborer ensemble afin de sortir un film documentaire sur le sujet : « Résurrection Dead : Le Mystère des tuiles de Toynbee ». Le Mystère persiste toujours et aucune explication plausible n'a été avancée au jour d'aujourd'hui.

     

    «Toynbee idea in Kubrick’s 2001 resurrect dead on planet Jupiter»… Tombé une première fois et par hasard sur cet étrange message inscrit sur une plaque de lino collée en pleine rue à même le sol, l’artiste Justin Duerr s’est au fil du temps rendu compte que ce message codé était reproduit à de multiples reprises à travers toute l’Amérique. Poussé par sa curiosité, le jeune homme s’est alors mis en tête de percer le mystère et tenter découvrir la signification des tuiles dites de «Toynbee» (NDLR: du nom de l’historien Arnold J. Toynbee) faisant référence au film «2001 : l’Odyssée de l’Epsace» de Kubrick…

    Documentaire réalisé par John Foy plusieurs fois nominé et récemment récompensé au Festival de Sundance, «Resurrect Dead» nous propose de suivre Justin dans son obsessionnelle quête de vérité qui l’a poussé à arpenter inlassablement les États-Unis et l’Amérique du Sud à la recherche de nouveaux messages et indices… Malheureusement aucune date de sortie européenne connue à ce jour…

    http://www.nowhereelse.fr/resurrect-the-dead-bande-annonce-video-50813/

     


    1 commentaire
  • L'application Dream:ON pour IPhone doit guider les dormeurs dans leurs rêves, selon ses créateurs.

    L'application Dream:ON pour IPhone doit guider les dormeurs dans leurs rêves, selon ses créateurs. 

    ARTICLES EN RELATION

    MOTS-CLÉS

    Le professeur Richard Wiseman a contribué au développement d'une application nomméeDream:ON sur iPhone, qui prétend guider les dormeurs dans leurs rêves.

    "Passer une bonne nuit de sommeil et faire des rêves plaisants permet de stimuler la productivité. C'est essentiel pour le bien être à la fois physique et psychologique," selon le professeur del'université de Hertfordshire (au nord de Londres) .Pour que l'expérience fonctionne, le téléphone doit être placé sur le lit afin de mieux détecter le moment où la personne est en train de rêver, c'est-à-dire lorsque le corps est le plus immobile, selon le psychologue.

    Petite musique

    A ce moment, le téléphone déclenche une petite musique censée évoquer des scènes plaisantes, inspirant par exemple au rêveur une marche dans les bois ou encore une sieste sur la plage. Le téléphone déclenche ensuite une sonnerie douce pour réveiller la personne, afin qu'elle livre une brève description de son rêve.

    Le professeur Richard Wiseman espère qu'environ 10'000 personnes participeront à l'expérience, à l'occasion du Festival international des sciences d'Edimbourg, qui se termine dimanche 15 avril. Les résultats de l'expérience à laquelle divers médias dont la BBC se sont intéressés seront dévoilés dans plusieurs mois.

    Le psychologue a expliqué que les gens qui souffrent de dépression rêvaient bien plus que les autres et faisaient très souvent des cauchemars. "Peut-être que si leur rêves pouvaient être améliorés, cela les aiderait" a-t-il ajouté.


    4 commentaires
  •  

    LE PETIT HOMME ROUGE
    DES TUILERIES
    Légende urbaine

     

    Tuileries

    Cette histoire appartient à ces jolis mystères de Paris ma légende que Jacques Yonnet nous contait jadis avec la malicieuse gourmandise qui le caractérisait.

    En 1564, Catherine de Médicis, qui règna de 1547 à 1559, tient ses quartiers au Palais du Louvre. La reine-mère férue d'astrologie, adepte de magie, se lance dans l'ambitieux projet de construire une demeure royale sur le vaste terrain du bord de Seine qui prolonge son palais.

    L'emplacement choisi est alors occupé par une modeste folie abritant les amours coupables des monarques et de leurs courtisans, dissimulée près de hangars où l'on fabrique des tuiles (d'où le nom de "Tuileries") et d'un abattoir où Jean l'écorcheur exerce son métier de boucher tout en observant le va-et-vient discret des grands seigneurs qu'il a reçu pour mission de surveiller. Le nom de Tuileries restera attaché au palais projeté et aux jardins qui l'entourent.

    Priés de quitter les lieux, les occupants du terrain s'exécutent, excepté Jean, une forte tête, qui refuse de partir faute d'une indemnité honorable lui permettant de s'établir ailleurs. Indemnité refusée. Furieux de ce qu'il considère comme une trahison de la Cour, il attise les rancœurs du petit peuple contre l'«étrangère».

    On dit que ce solide gaillard en sait long sur les turpitudes de la Cour, connaît quelques secrets inavouables de la reine-mère.

    Or, dans le grand monde, quand un comparse détient un secret trop lourd pour lui, on l'élimine. Et c'est ce que fait Catherine de Médicis : elle fait assassiner le boucher.

    Catherine

    La petite histoire retiendra que Jean fut tué parce qu'il colportait des rumeurs sur les turpitudes de la reine... Une autre version affirme même que l'écorcheur était en fait un complice de Catherine, le fournisseur de viscères pour ses actes de sorcellerie, et qu'elle ne lui aurait pas pardonné ses bavardages. Une chose est sûre, Jean fut sacrifié sans procès.

    C'est un certain chevalier de Neuville qui fut chargé des basses œuvres, avec pour mission de passer son épée au travers du corps de Jean l'écorcheur.

    Dans la baraque de planches qui lui sert de gîte, le vigoureux boucher se défend avec acharnement, mais il est sans armes.

    Blessé à mort, il tombe à genoux et, dans un dernier sursaut, il défie son meurtrier, hurlant : «Soyez maudits, toi et tes maîtres! Je reviendrai!»

    Gisant sur le sol sans vie, baignant dans son sang, les yeux ouverts mais vitreux, il semble mort. Neuville s'enveloppe dans son manteau couleur de muraille et s'en va.

    Mais soudain, dans une ruelle sombre et déserte, il sent une présence hostile derrière lui. Quelqu'un le suit. Il se retourne. Jean l'écorcheur debout, à trois pas, immobile, ruisselant de sang, le défie du regard. Neuville tire son épée, fonce droit sur lui, mais la lame ne perce que le vide.

    Surpris, le chevalier décide de retourner aux Tuileries, pensant que l'homme a survécu à ses blessures. Dans la cabane ravagée, sur la paillasse éventrée, l'homme qu'il avait abandonné rougi par son sang, a disparu.

    Neuville court chez la reine et lui raconte sa mésaventure. Catherine ricane. Que lui importe la malédiction d'un écorcheur à elle qui communique avec les entités infernales! Elle invite son homme de main à prendre un peu de repos.

    Quelques jours plus tard, pourtant, la reine-mère réprime mal un sursaut d'effroi quand Cosme Ruggieri, son astrologue favori, lui avoue qu'une singulière apparition vient de le visiter en rêve. «Un fantôme, dit-il, m'est apparu environné de brume rouge me disant que vous seriez chassée des Tuileries et que vous alliez mourir près de Saint Germain».

    Le spectre lui aurait aussi prédit la malédiction pesant sur les futurs occupants du château et sa propre disparition le jour où le palais partirait en fumée.

    Catherine de Médicis verra à son tour la sanglante apparition dans son salon, en plein jour, et s'évanouit parmi ses courtisans à la vue du spectre «trempé de sang» qu'elle sera seule à voir.

    Très superstitieuse, la prédiction l'incite à quitter les Tuileries et elle décide de ne plus jamais fréquenter un lieu, une ville ou une personne portant de près ou de loin le nom de Saint Germain, notamment l'église de Saint-Germain-l'Auxerrois ou le château de Saint-Germain-en-Laye où elle était accoutumée de se rendre.

    Bien des années plus tard, lorsque Catherine de Médicis meurt à Blois, le jeune prêtre dépêché pour lui donner l'extrême-onction s'appelle : Laurent... de Saint-Germain.

    Henri IV, Louis XIV, Louis XVI

    Le petit homme rouge reparaît le 13 mai 1610, à Saint-Denis, au cours de la cérémonie du couronnement officiel de la reine Marie de Médicis, longtemps repoussé. Or, le lendemain, Ravaillac assassinait Henri IV. Si elle a succédé dans le lit du roi à Marguerite, la fille de la grande Catherine, Marie de Médicis n'en est pas moins une lointaine cousine de Catherine et cette tragédie fait jaser.

    Le spectre refait parler de lui à maintes reprises durant le règne de Louis XIV, tant à Versailles que sur les champs de bataille, notamment durant la Fronde (1648-1653) et la veille de la mort de Mazarin en 1661.

    Plusieurs témoins déclarèrent aussi l'avoir vu le jour même de la mort du souverain, le 1er septembre 1715.

    Le mystère de ce "petit homme rouge" qui surgit de temps à autre dans notre histoire, reste entier. A la fin de la Monarchie on l'appelait encoreLe Petit Homme Rouge des Tuileries. Dulaur rapporte à son sujet une légende qui prétend que l'on trouva ce "petit Homme Rouge" aux Tuileries, couché dans le lit du roi, la matin qui suivit son départ pour Varennes.

    Depuis le spectre familier apparaît épisodiquement aux habitants du palais, jusqu'au XIXe siècle, pour les prévenir de désastres imminents.

    Une nuit de 1792, Marie-Antoinette, assignée à résidence aux Tuileries avec la famille royale, s'éveille en sursaut. Le petit homme rouge est debout, à son chevet, muet. Elle le revoit une dernière fois le 10 août au matin lorsque les émeutiers assiègent le palais l'obligeant à se réfugier dans la salle du Manège où se tenait alors l'Assemblée législative.

    Sous la République et Empire

    En 1793 cet étrange petit personnage se serait montré après la mort de Marat et son apparition frappa d'une frayeur mortelle un soldat qui gardait sa dépouille.

    Le spectre revient sous la République et sous l'Empire, mieux intentionné à l'égard de Napoléon qu'il ne le fut à l'égard des rois.

    Coiffé d'un chapeau rouge pointu, il aurait suivi Napoléon en Égypte, lui prédisant la victoire à la veille de la bataille des Pyramides.

    En 1799, au siège de Saint-Jean d'Acre, le 31 mars au soir, après un nouvel assaut malheureux, Bonaparte veillait dans sa tente, nerveux, plein d'inquiétude et d'indécision.

    Il attachait une grande importance à la prise de Saint-Jean-d'Acre. «Si cette ville fût tombée, dira-t-il à Sainte-Hélène, je changeais la face du monde.»

    Un peu après minuit, parut soudain devant la tente du général, un petit homme vêtu de rouge, au visage noir, portant turban et barbe blanche.

    Bonaparte montra un visage aux traits creusés par la fatigue. Le petit homme, croisant les mains sur sa poitrine, s'inclina profondément, sortit vivement de sa manche un poisson d'argent ciselé qu'il tendit à son hôte.

    A sa vue, le général pâlit, fit deux pas vers son visiteur nocturne et proféra une légère exclamation, puis, d'un geste vif, lui fit signe d'entrer.

    Tuileries

    La toile de la tente retomba sur eux. On ne sait ce que les deux hommes se sont dits cette-nuit-là.

    Napoléon était superstitieux et on était un premier avril. Bonaparte décida de lever le siège de Saint-Jean-d'Acre sans perdre la face. Quelques semaines après, il repartait pour la France.

    Napoléon et le Coup d'État du 18 brumaire

    C'est vêtu d'une cape verte jetée sur sa tunique rouge que l'étrange petit bonhomme fut reçu en 1799, par le futur Empereur, dans sa résidence de la rue de la Victoire où il demeurait avec Joséphine. Il conseille à Napoléon son coup d'Etat du 18 Brumaire.

    Il lui aurait ainsi annoncé sa destinée : «Tu seras heureux jusqu'à ta quarante-cinquième année. Jusque là je te protégerai. Ensuite, tu n'auras plus confiance qu'en toi et je t'abandonnerai.»

    Au cours de l'Empire, les apparitions du petit homme rouge furent nombreuses. Des récits évoquent ses rires incessants derrière le dos de Napoléon quand celui-ci exprimait son orgueil.

    Onze ans plus tard, le 1er avril 1810, au matin du mariage civil de l'Empereur avec Marie-Louise d'Autriche à Saint-Cloud, le spectre reparut, mais Napoléon refusa de le recevoir.

    Des courtisans prétendent avoir vu à plusieurs reprises le petit homme rouge hanter les couloirs du château de Fontainebleau, notamment lors des Cent-Jours. C'est un bonnet phrygien écarlate sur le crâne, qu'il apparaît une dernière fois à l'Empereur, juste avant la débâcle de Waterloo.

    Le 13 février 1820, lorsque le duc de Berry, héritier de la couronne, frappé d'un coup de couteau s'écroule le petit homme rouge est vu parmi la foule.

    Après la mort de Napoléon, on le vit encore sur les marches de l'Opéra, rue de Richelieu, à Paris, le jour de l'assassinat du Duc de Berry (13 février 1820), héritier du trône de France et quelques heures avant la mort de Louis XVIII.

    En 1824, le comte d'Artois, frère de Louis XVI et de Louis XVIII, entrevoit le petit homme rouge la veille de la mort du roi (16 septembre), qui lui tend une couronne royale ensanglantée.

    En 1831, la célèbre voyante Marie Anne Adela•de Lenormand, publia un indigeste opuscule Le Petit Homme Rouge au Château des Tuileriesqui popularisera pourtant le personnage auquel Pierre-Jean Béranger consacra une chanson, et Honoré de Balzac quelques belles pages.

    La Commune et la fin des Tuileries
    Incendie

    Le 4 septembre 1870 ce fut au tour de l'impératrice Eugénie de fuir le palais en passant par le pavillon de Flore. Perdue dans la grande galerie du Louvre, le petit homme rouge lui apparut, très amaigri, lui indiquant la sortie d'un geste furtif. Errant seule dans Paris, sans argent et sans escorte, Eugénie trouva refuge chez son dentiste, le Dr Thomas Evans qui l'abrita dans son hôtel particulier situé alors à la hauteur de l'actuel N° 41 de l'avenue Foch, avant d'accompagner sa patiente en Angleterre.

    Le 26 mars 1871, les Communards incendient le château des Tuileries. Le peuple assemblé contemple le brasier. Au moment où le pavillon central explose on voit, aux fenêtres de la salle des Maréchaux, se dresser un spectre sanglant environné de fumée pourpre. Il tend les bras à la foule et disparaît dans le fracas des plafonds effondrés. Ce sera la dernière apparition du petit homme rouge.

    Aujourd'hui, au XXIe siècle, dans les jardins dessinés par Le Nôtre, nul ne se souvient plus de l'ancien hôte des lieux. «On voit des hommes de toutes les couleurs, mais des rouges, non» , confie non sans humour l'un des gardiens interrogés par un visiteur.

    Rien à signaler, donc, à part la foudre tombée deux fois...

    Et cette dernière étrange malédiction, vraie ou inventée :

    Après l'incendie du palais en 1871, les matériaux récupérables ont été vendus. Un entrepreneur corse aurait racheté des pierres, des poutres et quelques éléments décoratifs sauvés du désastre pour construire un château sur l'île de Beauté.

    Quelques années plus tard, le bâtiment a lui aussi connu un triste sort. Il a brûlé. Comme les Tuileries.

    http://www.science-et-magie.com/sm0myst.htm


    votre commentaire
  •  

    Des habitants de Skopje faisaient la queue lundi devant l'église Sveti Dimitrije pour voir des icônes et des fresques qui se sont mises à briller. Le pope parle de miracle.

    Une partie de l'une des icônes se trouvant dans l'église Sveti Dimitrije, à Skopje.

    Une partie de l'une des icônes se trouvant dans l'église Sveti Dimitrije, à Skopje.

    Des centaines d'habitants de Skopje faisaient la queue lundi devant l'église Sveti Dimitrije pour voir des icônes et des fresques qui se sont mises à briller sans explication apparente. Le pope de ces lieux n'a pas hésité à qualifier ce phénomène de miracle.

    «C'est réellement un miracle, cela a commencé hier (dimanche) dans la partie centrale de l'iconostase. La couleur dorée est très visible et le phénomène se poursuit», a déclaré le pope, Dimce Malinov. Le prêtre a expliqué que les icônes et les fresques ont commencé à briller, comme si elles avaient été soigneusement et systématiquement polies par une main invisible.

    «Depuis ce matin j'ai continué à observer le phénomène, la moitié des icônes sont déjà nettoyées. D'abord apparaît une couleur rouge qui se transforme en couleur dorée (...) vous pouvez voir les icônes s'autonettoyer de haut en bas», a dit le pope. «Les gens affluent en masse et font la queue pour voir ce miracle», a-t-il ajouté.

    Le chef de l'église orthodoxe macédonienne (MPC), l'archevêque d'Ohrid, Stefan, s'est rendu en personne dimanche à l'église Sveti Dimitrije pour observer le phénomène. La MPC, interrogé par l'AFP, s'est néanmoins refusé lundi à commenter cet événement inhabituel.

    Une journaliste de l'AFP qui s'est rendue aussi sur place a confirmé que des icônes semblaient effectivement devenir de plus en plus claires sous ses yeux.(ats/Newsnet)


    2 commentaires