•  "Un maître post-industrielle Rococo, Kris Kuksi organise obsessionnelle personnages et d'architecture dans des compositions asymétriques avec un sens exquis de l'art dramatique. Au lieu de pierres et de coquillages, il utilise cris des soldats en plastique, des blocs moteurs miniatures, des flèches imposantes et des débris de toutes sortes pour former ses paysages.

    La politique, spirituel et matériel des conflits au sein de ces sanctuaires est édicté en vertu du regard calme des dieux à distance et de la statuaire août. Kuksi parvient à évoquer, à la fois, un sanctuaire et un mausolée pour notre esprit étouffé. "


     
     
     
     

     

     http://kuksi.com/

     

    je vous invite à aller voir ses tableaux enigmatiques sur son site et vous verrez des choses surprenantes qui vous feront voyager entre les créations de poussin et de vinci comme un prolongement de messages allant vers l'infini 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    et d'autres oeuvres visibles sur ce site 

     http://www.visokybes.com/kriso-kukso-skulpturos-2280


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  •   la vouivre souvent comparée à la déesse séquana mais qui n'a d'égale que elle même tant par son pouvoir de séduction que par son symbole de féminité véritable elle incarne la mère des reptiliens ce n'est ni un démon ni une fée mais un être véritable elle fait  la liaison entre  l'homme ancien et le nouveau, gardienne des flots et de la richesse des profondeurs de la terre , la vouivre vous pouvez la croisez aux bords des ruiseaux ,elle vous y attend avec de nombreuses joies ou désagréments suivant votre mode de pensées et de vie.

     

     

     

    Ce conte nous emmène aux environs de 1750, un siècle avant la prise d’habits des religieux Bénédictins du Monastère de la Pierre-qui-Vire, fondé par le Révérend Père Muard à mi-distance de Saint Léger en Morvan(*) et de Quarré les Tombes.

    A cette époque, dans ce coin désert et farouche se dressait un ancien autel druidique, constitué d’énormes pierres superposées.

    En retrait du village de Saint Leger, habitait une femme dont l’avarice opiniâtre était connue de tous. Née pauvre, la vie de «la Vilaine» (car on la surnommait ainsi) avait basculé, le jour où par une habile tromperie, elle avait épousé un homme riche. Les mauvaises langues colportaient que « La Vilaine » avait encore aidé le sort lorsque, au printemps,  son mari était mort en lui laissant toute sa fortune. Ce brusque changement de condition avait encore avivé son désir immodéré d’argent. Devenue riche, elle méprisait les pauvres, se montrant incapable d’un geste de bonté.

    Restée veuve, vivant avec son fils Pierre, un gentil garçon d’une douzaine d’années, elle inspirait néanmoins ce respect que confère l’argent dans nos campagnes. Ses journées se passaient en rêveries et elle se complaisait dans des chimères où son fils était voué aux plus brillantes destinées, dans des villes qu’elle lui dépeignait comme merveilleuses. Le petit Pierre, lui, ne comprenait pas vraiment les beaux discours de sa mère, plus occupé à penser à ses jeux.

     

     

    En classant quelques papiers après la disparition de son mari, comme on le fait naturellement au décès d’un proche, elle avait fait la découverte d’un parchemin qui indiquait clairement la présence d’un trésor, à une lieue à peine de sa maison. Le document, à qui « La Vilaine » avait immédiatement attribué une authenticité certaine, faisait état d’un trésor fabuleux, à l’endroit précis ou de grosses pierres étaient superposées. L’une d’elles basculait tous les ans pendant la  première nuit de Novembre, libérant ainsi un passage qui permettait l’accès à une salle souterraine remplie d’or et de pierres précieuses.

    Mais le parchemin indiquait également l’existence d’un gardien du trésor ; il s’agissait, d’après la description, d’un monstre mi-serpent, mi-dragon : la « Vouivre ». Son corps était couvert d’épaisses écailles qui la rendait invulnérable, et son énorme gueule, d’un rouge vif, crachait le feu. Le monstre se déplaçait en rampant ou en volant avec une rapidité surprenante et un bruit caractéristique dû à ses écailles. Le document précisait que la « Vouivre », animal diabolique veillait jalousement sur son trésor, et qu’aucun de ceux qui s’étaient risqués à l’intérieur de son antre n’étaient réapparus. Elle sortait de son repaire une fois par an, pendant la première nuit de Novembre, (début de la période ou les nuits se rafraîchissent), certainement pour apaiser le feu intérieur qui la dévorait. La légende faisait aussi allusion, pour expliquer cette date, à une ancienne fête Gauloise, le Samain, fête ou les Dieux assuraient la liaison entre les Vivants et les Morts. La Vouivre, incarnation du mal, était-elle dérangée par la présence de quelque esprit ?

     

      

     

    « La Vilaine » qui, après avoir lu et relu le parchemin, avait d’abord frissonné à chaque évocation du monstre, faisait maintenant appel à sa raison ; comment une telle « chose » pouvait elle exister ? Ne s’agissait-il pas plutôt d’une légende rapportée ici pour faire peur aux plus téméraires ? Plus le temps passait, et plus elle se disait que cette « Vouivre » ne pouvait pas exister, concentrant toute son attention sur la description qui était faite du fabuleux trésor.

    De sorte que, tout naturellement, lorsque la fin Octobre approcha, la femme avait pris sa décision : la prochaine nuit de Toussaint, elle irait à la découverte du trésor tant convoité.

     Bien sûr, il n’était pas question de laisser le petit Pierre seul. Aussi, dès que la nuit fut tombée « la Vilaine » accompagnée de son fils prenait la direction opposée au village, empruntant le chemin qui mène aux vestiges de l’autel druidique. La nuit était claire et froide, confortant encore la femme dans sa décision.

    Le trajet jusqu’à l’endroit supposé du trésor ne comportait pas de difficultés, hors la luminosité réduite de cette nuit étoilée. « La Vilaine » marchait prestement, tirant son fils par la main, tant sa hâte et son excitation étaient intenses. Les grosses pierres superposées apparaissaient déjà, éclairées par la lune : la vision nocturne de l’endroit saisit la femme, qui pour la première fois douta de son entreprise. Quelque chose de surnaturel émanait de ces lieux : était-ce les vestiges de cet autel qui témoignait des croyances remontant à la nuit des temps, ou simplement la présence  de la « Vouivre » ?

     

     

    L’endroit était pourtant désert, pas la moindre trace d’un monstre. La femme et l’enfant firent donc le tour de l’édifice. La Vilaine était au comble de l’excitation ; son cœur cessa de battre lorsqu’elle constata qu’en pivotant, l’une des pierres avait libéré un passage. La légende du parchemin s’avérait  exacte !

    La femme cacha son fils dans une niche formée par deux énormes rochers, à une vingtaine de mètres de là, et ravivant la flamme de sa  lampe à pétrole, elle se présenta à l’entrée du souterrain : un court raidillon débouchait dans une caverne. La femme se figea devant un spectacle inattendu: là, éparpillées à ces pieds se trouvait une multitude de pièces d’or. Etalant son manteau par terre « La Vilaine » commença à y entasser l’or, raclant le sol de ses mains avec avidité. Toute à son travail, elle se félicitait de sa hardiesse. Comme elle avait bien fait de ne pas croire à cette histoire de monstre ; le trésor était là, à ses pieds et elle n’avait qu’à se baisser pour faire une véritable moisson de pièces d’or. Ses rêves les plus merveilleux lui revenaient en mémoire : une existence bourgeoise pour elle et son fils, dans des maisons luxueuses et des villes illuminées…

    C’est à ce moment qu’un vrombissement  la tira de sa rêverie ; le bruit, que la femme ne parvenait pas à identifier, semblait s’amplifier et se rapprocher. Effrayée, elle rassembla  les quatre coins de son manteau, formant ainsi un baluchon contenant son trésor, prit sa lampe et se précipita vers le passage par lequel elle était entrée. La lune était masquée par un nuage et « La Vilaine » scrutant l’obscurité ne put distinguer des alentours, que les quelques mètres éclairés par le halo de sa lampe. Pressentant un danger, elle décida de retrouver son fils dans sa cachette et entreprit donc de contourner l’édifice. Le bruit, qui devenait oppressant, et lui semblait maintenant provenir des entrailles de la terre, cessa brusquement en même temps que retentissait un vacarme assourdissant : la femme comprit à ce moment que la pierre venait à nouveau de pivoter et que le passage s’était refermé. Elle courut jusqu’à la cachette où elle pensait retrouver son fils, mais celle-ci était vide. Appelant son enfant, elle chercha à la lueur de sa lampe un autre rocher : tout s‘était passé si vite ; elle aurait pu confondre. Non, elle en était maintenant certaine, c’était bien là qu’elle l’avait caché ; elle lui avait pourtant recommandé de l’attendre et de ne pas bouger.

    Il aura eu peur de « ce  bruit » , pensa-t-elle, et sera rentré seul à la maison. Se raccrochant à cette idée, essayant de se rassurer, elle commença le chemin du retour. Son manteau en forme de baluchon lui pesait lourdement et elle prit peu à peu conscience du froid glacial qui régnait : aussi sa progression ne fut-elle pas aussi rapide qu’elle l’aurait souhaité. Arrivée chez elle, son premier mouvement fut de se ruer dans la chambre de son fils, qu’elle trouva vide. Hélas, après avoir fouillé la maison et appelé plusieurs fois, elle dut se rendre à l’évidence : son enfant avait bel et bien disparu.

    Folle d’inquiétude elle résolut d’attendre le jour pour retourner à l’endroit de la découverte du trésor et retrouver la trace de son fils. Pour tromper son angoisse, elle décida de mettre son or en sécurité. Elle avait posé son baluchon à terre en rentrant et elle le retrouva près de la porte. Il lui sembla qu’elle allait défaillir quand elle constata que les pièces d’or s’était transformé en pierres et elle pressentit aussitôt quelque diablerie.

     

    La suite des évènements ne fit que confirmer ses doutes, car malgré ses recherches et ses appels, une semaine, plus tard l’enfant demeurait introuvable. Chaque jour pendant un mois elle retourna à l’endroit ou son fils lui avait été enlevé, et implora le ciel de lui rendre son enfant. Puis, terrassée de douleur et réalisant alors avec peine ce qui lui arrivait, elle resta cloîtrée chez elle, et pendant de longues semaines  on ne la vit pas au village.

    Enfin un jour elle se résolut à rendre visite  à une vieille femme qu’on disait un peu sorcière. Celle ci l’accueillit froidement en lui disant connaître le motif de sa visite. « Tu as été punie, lui dit-elle. La Vouivre t’a pris ton enfant. Il te sera rendu dans un an, jour pour jour, à l’endroit même où il a disparu, mais il te faudra devenir différente, si tu veux le revoir ».

    Le message était clair et la femme pris peu à peu conscience de l’aveuglement auquel sa cupidité l’avait conduit. Petit à petit, on la vit de nouveau au village venir aider les plus démunis et soutenir ceux que le malheur avait durement éprouvé. Mieux, elle n’hésita pas à faire preuve de générosité et son visage perdit bientôt l’air hautain et méprisant qu’on lui connaissait auparavant.

     

       

     

     

    Aussi un an plus tard, lorsque la nuit fut tombée, la femme était-elle au rendez-vous, le cœur serré de contrition. Arrivée face à l’autel druidique, elle appela le prénom de son fils, espérant au plus profond d’elle même que le miracle allait se produire. Elle constata que cette fois encore le passage était dégagé, permettant l’accès au trésor, et elle ne put retenir un cri lorsque son enfant apparut à l’entrée de la caverne. Elle le prit dans ses bras, réalisant à cet instant qu’elle tenait là son véritable trésor. Le petit Pierre, lui, ne semblait pas avoir été affecté par cette séparation et il parla à sa mère comme s’il venait juste de la quitter. Il semblait néanmoins avoir légèrement grandi.

    La femme et son fils reprirent une existence paisible, allant tout deux au devant des plus nécessiteux pour les aider… et la Vilaine perdit peu à peu ce surnom qui désormais lui convenait si mal.

     

     


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  •  Histoire

    Fribourg est une charmante ville située sur un éperon rocheux formé par un méandre de la Sarine. Cet éperon est bordé de trois côtés par des falaises en molasse atteignant 50 mètres par endroits. La ville moyenâgeuse fondée au XIIe siècle s’est développée à partir du XIIIe siècle où de nombreux ordres monastiques sont venus s’installer dans ses murs. C’est en 1283 que le chantier de la cathédrale a débuté avec le soutien financier des bourgeois de la ville. Après de multiples interruptions de chantier, elle fut achevée en 1490 avec la tour de style gothique flamboyant. D’église paroissiale, elle deviendra collégiale dès 1512 avec l’installation d’un chapitre de chanoines, puis siège de l’Evêque en 1615, mais ne sera officiellement désignée comme cathédrale qu’en 1924.

     

     Choix du lieu

    Le choix de l’emplacement est dû à la conjonction de deux puissants courants telluriques (en rose) à ne pas confondre à des réseaux géomagnétiques. Le courant principal remonte la Sarine, passe par les abbayes de Maigrauge et d’Hauterive, continue sur Lausanne où il se sépare en plusieurs branches. Le courant secondaire venant d’Avenches, capitale politique et religieuse de l’Helvétie romaine se mêle au courant principal dans le choeur de la cathédrale. Une superbe sculpture de vouivre orne l’angle sud-est. La vouivre est une sorte de dragon, symbole druidique des courants énergétiques subtils qui sillonnent la surface et les profondeurs de la Terre.

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     Si vous avez la chance de pouvoir accéder au choeur, vous sentirez rapidement l’énergie du courant tellurique vous remonter le long des jambes. Au bout de 3 minutes, tout votre corps est parcouru de fourmillements et votre corps éthérique se dilate jusqu’à plusieurs mètres. La suite ne peut être décrite, car elle doit être vécue.
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     Les phénomènes telluriques

    L’orientation de l’édifice est calée sur l’orientation générale locale du réseau Hartmann, soit l’azimut 102º. L’axe principal est superposé à une large bande du réseau Nickel (bande rouge). Nombreux sont ceux qui confondent cette ligne de réseau géomagnétique avec le réseau sacré ou solaire (réseau Or).

    Les points les plus importants, comme le centre du chœur et celui des stalles, les autels secondaires, le baptistère, la statue du Christ et la mise au tombeau, sont marqués par la présence de cheminées cosmotelluriques de tailles et de vibrations diverses. Si certaines d’entre elles sont là depuis la nuit des temps, d’autres, plus récentes, ont été "importées" consciemment ou inconsciemment par la psyché humaine. Un lieu de prière va attirer une cheminée positive, vibratoirement élevée, au contraire un lieu de souffrances physiques et émotionnelles va attirer une cheminée négative de très basse fréquence vibratoire. La mise au tombeau est représentée par un groupe de statues grandeur nature qui forme un ensemble absolument remarquable au point que vous avez l’impression de faire partie de la scène. Elle dégage une souffrance permanente et intemporelle dès que vous regardez la scène.

    Les courants d’eau

    J’ai indiqué sur le plan la présence de trois courants d’eau souterrains. Notez la position, inhabituelle, du baptistère placé exactement à l’aplomb de l’un d’entre eux. Beaucoup de géobiologistes passent leur temps à détecter les courants d’eau dans les lieux sacrés, courants dont ils ne peuvent d’ailleurs jamais en vérifier la présence. Les canaux remplis de galets ne sont pas de soi-disant artifices de bâtisseurs pour amener de "l’énergie éthérique" ou une "information" de l’eau dans l’édifice. Il s’agit simplement d’un dispositif technique servant de drainage des eaux de surface. Ce dispositif, logique du point de vue constructif, se retrouve depuis la plus haute Antiquité aussi bien dans des édifices sacrés que profanes. C’est l’étude approfondie de plans de fouilles archéologiques qui m’a permis d’arriver à cette conclusion. D’ailleurs, ce dispositif n’est mis en place que dans les zones où l’eau de surface à de la peine à s’infiltrer. La dimension et le nombre de canaux sont déterminés en fonction du poids de l’édifice, de la stabilité du terrain et de sa perméabilité.

    La présence d’eau dans un lieu sacré, sous n’importe quelle forme, n’a d’intérêt que pour l’information qu’il y a dans l’eau (principe homéopathique) et non pas en tant qu’information "eau". En utilisant ces eaux avec conscience et après avoir activé le lieu, elles acquièrent un pouvoir purificateur et alchimique. Elles décuplent la perception extrasensorielle et établissent un pont vers les entités spirituelles

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     Les réseaux géomagnétiques

    Toutes les lignes des réseaux géomagnétiques (lignes vertes et rouges) à l’intérieur de la cathédrale ont été déplacées par magie opérative, méthode appelée de nos jours " psychokinèse ", ou méthode psychobiophysiologique. Contrairement à une idée reçue, les réseaux ne se placent pas naturellement dans les murs et les murs n’ont pas été construits sur les lignes.

    Vous pouvez constater sur le plan que les lignes sont démultipliées dans les murs et les piliers. Ce mode de faire relève encore de la magie opérative. Cette démultiplication est en principe proportionnelle à l’énergie cosmotellurique qui circule dans les murs. Le même procédé a été utilisé dans le monde entier, depuis que l’homme crée des lieux sacrés.

    Le relevé des réseaux géomagnétiques est une opération de longue haleine, effectuée en général à l’aveugle par plusieurs personnes. En cas de doute, elles sont vérifiées à l’aide d’un instrument qui permet de les entendre. La polarité des lignes est déterminée à l’aide de la mesure du corps éthérique. Cette méthode est décrite dans le dossier consacré au biochamp.

    Une autre idée qui circule est que le réseau Hartmann n’existe que depuis l’invention du courant industriel 50 Hz. Il a toujours existé et les bâtisseurs l’ont déplacé, démultiplié et fixé de façon à ce qu’il corresponde et sous-tende la géométrie de l’édifice. Le but est l’énergétisation de la forme, afin qu’elle puisse rayonner vers l’extérieur et vers l’intérieur.

    L’avantage de la démultiplication du réseau Hartmann est qu’il nous permet actuellement de détecter des édifices enfouis dans le sol depuis des siècles. La précision est telle, qu’avec la pratique, il est possible d’en faire des relevés avec une précision de quelques centimètres. Cette technique de recherche a été vérifiée en plusieurs occasions sur des objets invisibles en surface, mais dont nous possédions les relevés de fouilles archéologiques. La manière dont les lignes sont disposées ainsi que l’écartement des lignes permet de situer l’époque à la laquelle le bâtiment a été construit. Je collabore dans ce sens avec des archéologues qui ont compris l’intérêt de cette technique de prospection. Ce genre de démonstration apporte la preuve que la géobiologie peut être une science exacte, bien qu’empirique, lorsqu’elle est pratiquée par des gens compétents.

     Le carré magique

    La cathédrale peut être activée depuis le carré magique (carré jaune) situé dans l’axe de l’édifice à 12 mètres en avant de la porte d’entrée. Il n’est bien entendu pas dessiné sur le sol, mais il est facilement repérable par le croisement de deux lignes Curry et par un quadrillage formé par une démultiplication volontaire du réseau Hartmann S’il n’y a pas de réseau Hartmann, méfiez-vous de votre mental, votre carré magique n’existe certainement que dans votre tête !

    La raison principale de la présence d’un carré magique n’est pas l’activation du lieu. Promenez-vous sur les cases, utilisez votre intuition, vous finirez par en ressentir les effets savamment calculés et mis en place par les maîtres bâtisseurs.

    Les tubes magiques

    Du choeur partent une série de tubes, appelés " tubes magiques " (lignes jaunes) qui relient la cathédrales à d’autres édifices sacrés de la région. Ces tubes ont été mis en place par magie opérative lors de la construction de l’édifice, d’autres, bien plus anciens, datent des utilisations successives et antérieures de ce site sacré. Lorsque les tubes sont activés, l’énergie arrive en grande quantité sur le point central.

    Nous utilisons ces tubes pour nous envoyer des messages à distance. La transmission, basée sur le principe de Morse, est pratiquement instantanée. Ce genre d’expérience est inoubliable pour ceux dont la sensibilité est suffisante pour participer.

    Géométrie sacrée

    Tout édifice sacré est basé sur les Nombres et la Géométrie. La géométrie utilisée par les bâtisseurs est une géométrie euclidienne dont le tracé, outil de l’architecte, sert à l’élaboration du plan et à la mise en oeuvre de l’édifice.

    Il y a un lien direct et naturel entre l’art de dessiner et l’art de construire.

    Peut-être faut-il être architecte pour comprendre cela. L’art du trait et l’art de construire relèvent d’une même logique. Les réflexions de certains historiens ou occultistes en tout genre me font bien rire. Je ne leur en veux pas de n’avoir jamais tenu en main une pierre et une truelle, mais quand je vois leur tracé où la majorité des lignes ne correspondent à aucun élément d’architecture, je n’appelle pas cela de la géométrie. Ont-ils seulement pris la peine d’aller vérifier leur hypothèse in situ, avec une chevillère (double décamétre) ? Je l’ai fait et je peux vous assurer que cela marche à 1 ou 2 cm près ! Combien de fois ai-je vu des plans de cathédrale superposés à des Fleurs-de-Vie, à des arbres séphirotiques ou à des étoiles à 5, 6 ou 7 branches ? Ce ne sont que des spéculations ésotériques sans fondement, une projection de désirs sans lien avec la réalité.

    L’art du Trait est une science exacte. Elle est opérative et non pas spéculative, s’il en est qui arrivent encore à comprendre la différence entre les deux et qui n’ont pas leur mental embué par la désinformation ésotérique et exotérique.

    Voici la liste des 7 outils géométriques utilisés par les bâtisseurs :

    -   les rapports musicaux de la gamme diatonique 
    -   les polyèdres réguliers et leur bissection 
    -   les racines carrées et la division sacrée 
    -   le nombre d’or (Phi) et ses dérivés 
    -   l’inscription et la circonscription de polyèdres réguliers 
    -   les quadratures du cercle et <pi align="justify">
    -   le cercle et les arcs de cercle.</pi>

    Ces outils sont décrits en détail dans mon cours de géométrie sacrée.

    Tous les édifices construits par des bâtisseurs sont tracés avec au moins un de ces outils géométriques. Ils ont été utilisés avec la même rigueur depuis Sumer jusqu’à la période baroque. Le but de la géométrie sacrée est d’obtenir une cohérence maximale. C’est pour cette raison qu’il faut utiliser le moins possible d’outils géométriques différents. Si, en cherchant le tracé régulateur d’une église, vous découvrez qu’un seul outil géométrique a été utilisé, en plan et en élévation, vous pouvez être certain de détenir la vraie clé.

    En voici la démonstration pour la cathédrale de Fribourg.

    Que l’on prenne les axes des murs et des piliers ou le volume intérieur (nu des murs), tout le tracé géométrique en plan et en coupe repose sur le nombre d’or (Phi = 1,618) et sur ses dérivés, en particulier sa racine carrée. La nef est composée de rectangles homothétiques dont les diagonales forment un angle de 108º (angle du pentagone). Ces rectangles sont basés sur le nombre d’or, car le rapport entre le grand côté et la demi-diagonale vaut Phi. Je n’en dirai pas plus car le tracé parle de lui-même. De l’édifice entier jusqu’au détail d’architecture, la cohérence est totale.

     

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     Les pierres d’angle

    Nous trouvons dans le narthex deux pierres en granit, enchâssées dans un sol en grès. La première pierre est constituée de deux blocs accolés mesurant chacun 29,5 cm par 80,3 cm. Les spécialistes reconnaîtront immédiatement le pied romain. Nous la retrouvons à Fribourg dans la largeur des bases des colonnettes du narthex.

    Notez au passage que le rapport entre le diamètre des colonnettes et leurs bases vaut Phi. La dimension de 80,3 cm correspond à la coudée sacrée locale, à la latitude de Fribourg. Il est difficile de la calculer, en raison de l’aplatissement des pôles de la Terre, mais les Anciens savaient la mesurer de manière empirique en utilisant les étoiles.

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    La deuxième pierre mesure 29,5 cm par 55,74 cm. La diagonale vaut 63,069 cm soit exactement une coudée sacrée égyptienne. Elle correspond environ au 1/1’000’000e du rayon terrestre. Cette coudée se retrouve dans la cathédrale, car l’entre axe des piliers de la nef mesure exactement 12 coudées sacrées. L’utilisation de la coudée égyptienne et du pied romain nous démontre la filiation historique de l’art des bâtisseurs. Elle crée une résonance subtile avec les Anciens et leur savoir.

    Parcours énergétique

    L’analyse géobiologique et énergétique nous a permis de dresser la carte des points positifs et négatifs. Partant de là, nous avons imaginé un parcours logique que nous avons testé, avec quelques variantes, sur plus de 40 personnes. Notre dernière expérience, illustrée sur les schémas, a été minutée et mesurée de façon précise. Le parcours, d’une durée totale de 15 minutes, a été effectué en réglant le rythme des pas, la durée des stations et la respiration sur les battements du coeur. A la fin du parcours, l’énergie de la personne est presque multipliée par 4. Elle est encore du double après 12 heures. Précisons toutefois que ces valeurs peuvent fortement varier 

     

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    Conclusion

    Ce dossier n’est qu’un aperçu de ce que nous avons découvert dans cette magnifique cathédrale après plus de 40 heures de recherches et d’expériences. En parler est intéressant, mais le vivre sur place, émotionnellement et énergétiquement, est une expérience toute autre.

     

     Stéphane Cardinaux

    Architecte EPFL

    Praticien et formateur en géobiologie et bioénergie
    spécialiste en bilan bioénergétique et électrophotonique GDV

    info@geniedulieu.ch

     

     

     


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    En Australie, les peintures "Bradshaw" sont vivantes

    Certaines peintures rupestres d’Australie ne sont pas composées de pigments, mais de micro-organismes vivants…

    Les peintures rupestres du style « Bradshaw » se trouvent dans le Kimberley (nord-ouest de l’Australie), et ce nom est celui de l’homme qui les fit connaître au public savant en 1881: Joseph Bradshaw, mais les Aborigènes de la région les appellent Gwion Gwion

     Figure 1
    Ces peintures sont mal datées, comme souvent lorsqu’il s’agit d’art rupestre, mais plusieurs chercheurs pensent qu’elles pourraient être les plus anciennes du monde, et leur origine fait l’objets d’âpres débats: Grahame Walsh, qui les avait étudiées pendant plus de 25 ans, estimait qu’elles auraient pu être réalisées par un peuple inconnu, sans rapport direct avec les Aborigènes actuels, ce à quoi d’autres spécialistes comme Peter White répondent que cet argument est comparable à ceux qu’utilise
    Von Däniken, qui clame depuis des années (évidemment à tort) que tout vestige archéologique « étonnant » ne saurait être créé que par des « étrangers » (ce qui implique que les « autochtones » seraient trop primitifs pour disposer de la créativité suffisante). 
    De toute manière, et quoi qu’on en pense, il est impossible de clore ce genre de débat sans disposer d’une base chronologique solide. Il y a quelques années,
     une image en style Bradshaw a été datée par AMS et OSL d’au moins 17.000 ans (date post quem) par analyse du pollen et des phytolithes emprisonnés dans un nid de guêpes fossile qui lui était superposé, mais certains pensent que plusieurs images représentant des animaux disparus de la mégafaune, ou des plantes éteintes, pourraient être beaucoup plus anciennes: 46.000 ans, voire 70.000. Il s’agirait alors du plus ancien art figuratif du monde. 

     Figure 2

    Or une équipe de chercheurs (1) vient d’étudier 80 de ces peintures, et a prouvé que leur aspect très « frais » vient de ce qu’elles ne sont pas actuellement composées de pigments, comme on pourrait le penser en se contentant de les admirer à l’œil nu. Certes à l’origine elles ont bien été réalisées avec des pigments, comme toute peinture rupestre qui se respecte, mais au fil du temps ceux-ci ont été assimilés par des micro-organismes qui ont acquis leur couleur, et les ont progressivement remplacés. Le résultat est qu’au microscope la majorité des peintures étudiées ne montre plus… aucune trace de peinture! Leur couleur provient désormais de l’association d’une cyanobactérie rougeâtre et d’un champignon noirâtre du groupe des Chaetothyriales. Ces organismes vivant en symbiose forment un « biofilm » qui se reproduit sur la paroi tout en restant dans les limites de l’image originale, assurant la pérennité visuelle de celle-ci alors même qu’elle a disparu. Il est maintenant envisagé d’analyser la séquence ADN de ces organismes pour tenter de mettre en lumière leur phylogénie, et — peut-être — enfin dater les œuvres originales. 
    Pour l’heure, la conclusion la plus surprenante est celle-ci: les peintures sont réellement vivantes! 
    On se prend alors à rêver en se souvenant que l’un des mythes d’origine de l’art rupestre le plus répandu en Australie expose que des êtres du « temps du rêve » arrivèrent dans des abris-sous-roche après une longue pérégrination, et là se précipitèrent contre les parois, où ils se métamorphosèrent en peintures. Ce pourquoi, poursuivent les conteurs aborigènes, il s’agit d’être vivants, susceptibles d’apparaître et de disparaître de temps à autre. 

     Figure 3


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     Près de chez moi aussi 

     

    Pluie d'oiseaux morts en Franche comté en 1676

     

     

    Le phénomène a fait le tour des médias et le buzz continue sur le Web. Durant la nuit du Réveillon, des milliers d'oiseaux morts sont mystérieusement tombés du ciel sur la localité de Beebe, aux États-Unis (Arkansas).

    Depuis, on pense savoir que les volatiles ont été terrorisés par le feu d'artifice tiré durant la nuit du Réveillon. Leur peur panique expliquerait donc cette macabre pluie de plumes.


    Mais voilà, depuis l'on signale d'autres cas de "pluie d'oiseaux morts" : en Louisiane et en Suède.

    Et chez nous ? Rien à signaler dans l'actualité récente. Nos oiseaux vont bien, merci. Toutefois, en cherchant un peu dans les mémoires... les très vieilles mémoires, nous trouvons un cas fort intéressant que Gallica (la prodigieuse bibliothèque numérique de la BNF) porte à notre connaissance.

    Ce document rédigé en mars 1676 relate un phénomène qui se serait déroulé le 26 février de la même année dans notre actuel Jura... 

    son titre:

    Relation véritable du combat prodigieux des oiseaux, donné dans la basse région de l'air, entre les villes de Dôle et de Salins, le 26 février dernier 

     
    Le document imprimé est rédigé en "français d'époque" mais reste parfaitement compréhensible... En substance, l'auteur relate un combat dantesque de plusieurs heures entre des oiseaux de toutes espèces qui auraient ensuite été retrouvés morts par milliers entre Salins(-les-Bains) et Dole. Évidemment, on devine que l'auteur en rajoute (description des oiseaux, quantité d'oiseaux morts...) afin de dramatiser le récit qu'il fait d'événements auxquels il n'a vraisemblablement pas directement assisté. Difficile donc de savoir ce qui s'est réellement passé en 1676... 


    Extraits retranscrits par mes soins dans un français plus contemporain (sous réserve d'erreurs) :

    (...) Mais il y a bien du temps qu'on n'a entendu parler d'une chose aussi surprenante et prodigieuse que de ce qui arriva le 26 du mois passé, entre Dole et Salins en Franche-Comté. Sur les neuf heures du matin il parut des légions d'oiseaux si nombreuses que l'air en devint obscur, et comme s'ils s'étaient donnés là le rendez-vous pour leur champ de Bataille, après avoir tournoyé en confusion l'espace de deux heures, de même que s'il était arrivé quelque querelle ou démêlé entre eux, ils se séparèrent en deux corps avec un espèce de défi dont l'effet suivi bientôt, car après avoir donné le signal par des cris et des sifflements terribles et dont tous les lieux aux environs retentirent, ils vinrent fondre les uns contre les autres avec toutes les formes qui s'observeraient entre deux armées ennemies, conduites par des chefs également braves et expérimentés ; ils commencèrent par des escarmouches et étant venus des prés, aux prises, ils combattirent durant plusieurs heures avec tant d'ardeur et d'animosité de part et d'autre, qu'on en trouva plusieurs milliers sur la terre, tant d'étouffés qu'à demi-morts, qu'ensanglantés, que déchirés et le reste des deux partis ennemis en battant des ailes (…) se retirèrent sans qu'on ait su où ils se sont reposés. Première remarque : le point n'était pas un signe de ponctuation répandu à l'époque... Seconde remarque : on fumait quoi naguère? 

     


    (...) Les buissons de la hauteur d'un homme s'en sont trouvés couverts et on en a trouvé la terre couverte à monceaux en beaucoup de lieux, plus de cinq cent pas en longueur où le fort du combat s'est donné, sans plusieurs centaines que l'on a trouvées dispersées çà et là, outre ceux qui sont allés mourir en plusieurs lieux, selon la vigueur qui leur restait où ils sont tombés. 

    (...) Les Magistrats des Villes ayant une juste appréhension que cette grande quantité d'oiseaux morts n'infectait l'air au lieu où ils sont tombés, ont envoyé là plusieurs pionniers de Dôle pour les y enterrer, dont quelques-uns étant resté malades, soit par la faiblesse de l'imagination qui se laisse facilement blesser d'impressions fâcheuses dans les événements extraordinaires, soit par quelque malignité dont on ignore la cause, cela a donné une telle appréhension à tous ceux de cette Province que beaucoup de gens auront de la peine à s'en remettre. Et cette conclusion toute en prémonition funeste du chroniqueur : Il serait trop long si j'entreprenais de déduire ici toutes les interprétations que chacun donne à un événement si étrange selon que la passion anime ou abaisse les coeurs. Mais se trouvant des morts de toutes les espèces, la plupart conviennent que c'est un étrange présage infaillible de grandes Guerres funestes également à toutes les nations. Dieu nous en préserve. Pour satisfaire la curiosité de ceux qui voudront se confirmer dans cette persuasion de cette vérité ; qu'ils voient les Prophéties de Nostradamus, ils y trouveront la suivante qui est à la fin de la première Centurie, Article cent, la prédiction du combat de ces oiseaux entre Dole et Toscane qui est un petit bourge à quatre lieux de Dole.

    Longtemps au ciel sera veu gris oiseau,
    Aupres de Dole & de Touscane terre :
    Tenant au bec un verdoyant rameau,
    Mourra tost grand & finera la guerre.

     

     

     

    Et voilà comment Nostradamus en personne aurait prévu notre pluie d'oiseaux jurassiens un siècle plus tôt.
    En passant, je ne sais pas de quelle localité proche de Dole il peut bien être question... 
    Quant au présage funeste... rappelons que deux ans plus tard, la Franche-Comté était définitivement rattachée à la France par le Traité de Nimègue. De là à en déduire que ce texte est l'œuvre d'un régionaliste comtois avant l'heure...

    pourtant il se passe des choses bien loin de Nostradamus et il faut arrêter de nous prendre pour des cons :

     

     

     Ok... il se passe quelque chose, c'est indéniable, internet se fait l'écho d'un phénoméne au delà des conspirations habituelles ... hier en postant mon billet, je mentionnai ma perception d'un dégazage au niveau des plaques tectoniques mais à voir la carte , j'avoue que je suis moins sûr de ma théorie .. alors j'ai fouillé un peu ... 


    Différentes théories :
    1/ c'est un fait que certains types d'animaux se regroupent au moment de leur mort, d'où peut être le fait que seuls certains types d'animaux ou d'oiseaux sont touchés ...mais bon, ça n'explique pas la cause, juste l'effet ... 
    2/ ensuite on pourrait peut être fouiller les déréglements du jet stream vu que ça semble toujours pas loin de la mer ??? Les différentes théories sur la modification des courants marins pourraient effectivement expliquer la météo chaotique et ces phénoménes sur la faune ... 
    3/ la dioxine du Golf du mexique est elle rentrée dans les courants et donc par la chaîne alimentaire toucher certains types d'oiseaux ?

    4/ La théorie que je trouve dans le moment la plus "acceptable " serait un changement dans le magnétisme de la terre , avec un déréglement complet de la boussole (magnétite ) dans ces bibittes ? 
    5/ Une combinaison de ces théories là ?? 

    Vous avez une idée appuyée sur votre propre recherche ? internet sert aussi à mettre en connection différentes perceptions/intelligence, pas juste à gober celles des autres !!!

     

     Chine: Des Aigles et des oiseaux tombent du ciel de Chine

    Kentucky: Des femmes rapportent des dizaines d’oiseaux morts dans leurs cours

    Louisiane: Des centaines de morts oiseaux noirs en Louisiane

    Arkansas: Pour les merles d’Arkansas, le Nouvel n’est jamais venue

    Allemagne: les oiseaux de proie mort sur la route

    Japon: Le Japon en état d’alerte après avoir trouvé des oiseaux morts

    Caroline: Le Nombre de pélicans mort en escalade

    Tucson: Près de 70 chauves-souris mortes trouvées à Tucson

    Somerset au Royaume-Uni: Mystère… des dizaines d’étourneaux retrouvés morts dans le jardin du village

    Amérique du Sud et du Nord: Des milliers d’oiseaux morts tombent du ciel de l’Amérique du Sud et du Nord

    Et un nouveau cas ce matin en Suède: Après les États-Unis, il pleut des oiseaux morts en Suède

     

     


    Poisson
    :

    Arkansas: 100.000 poissons tambour meurent dans la rivière de l’Arkansas River, à près de 100 miles du site des décès mystérieux de merles

    L’île Kent: La mortalité de poissons causée par le stress du froid

    Brésil: Mort mystérieuse de poissons dans les zones côtières

    Royaume-Uni Pays de Galles: Royaume-Uni. Les poissons morts découverts dans la marina de canal près d’Abergavenny

    Haïti: Les autorités haïtiennes trouvent des poissons morts dans le lac

    L’Australie: Des poissons morts obstruent le lac à l’aéroport

    Indiana: Des poissons morts échouent sur la plage de Washington Park

    Maryland: Quantité de poissons morts inhabituel trouvés à Annapolis

    Canada: la rivière Victoria transformé mystérieusement en vert fluo

    Italie: Deux miles de plage pleine de poissons, des palourdes et des crabes morts dans un tronçon de côte

    Peterborough Royaume-Uni: préoccupations à propos des poissons qui meurent dans la place de la fontaine à coucou

    Nouvelle-Zélande: Des centaines de poissons morts sur les plages de vivaneau

     

    source

     http://www.dazibaoueb.fr/article.php?art=19245


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