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    Vient de paraître  

    Imperceptible mais pourtant bien réel, notre double peut nous guider à chaque instant, pourvu que l'on sache établir avec lui une relation constructive.

    Face à un gros problème et étonné du manque de compréhension de ses parents, un enfant de dix ans n'a pas mis en doute l'existence de ce double et a posé la question cruciale : "Mon double, comment ça marche ?"

    Un livre simple, pratique, scientifique, d'une portée insoupçonnée.

    Instincts, intuitions et prémonitions sont issus d'une propriété fondamentale du temps mise en évidence par une découverte scientifique récente de J.P. Garnier-Malet (1996-2000). Fruit de cette découverte, ce livre va nous donner la possibilité d'apprendre à créer et à trier notre futur dans le seul but de mieux vivre.

       

    Pourquoi ne pas contrôler aujourd’hui, avec une base scientifique rigoureuse, un principe vital connu depuis la nuit des temps, surtout quand on vit sans le savoir la fin de la division de ces mêmes temps ?

     

    CHANGEZ VOTRE FUTUR par les ouvertures du temps n'est pas une utopie.

    Si, au cours d’une randonnée, accablé par la chaleur, vous trouvez une source bien fraîche, vous videz l’eau tiède de votre gourde pour mieux la remplir et vous désaltérer. De même, en évacuant de votre mémoire tout ce que vous avez appris, vous pourrez repartir sur de nouvelles bases aussi stupéfiantes qu’indispensables.

    En effet, bouleversant dogmes, postulats, idées reçues ou préconçues, ce livre vous présente une découverte révolutionnaire* concernant le passé, le présent et le futur, qui impliquera une totale remise en question de votre façon de vivre. En l’utilisant dans le quotidien vous pourrez trouver rapidement un équilibre individuel, physique ou psychique, familial ou professionnel.

    Par des applications immédiates et spectaculaires, il nous fut rapidement possible de prouver ce que nous affirmions déjà : retrouver l’équilibre perdu en contrôlant le passé et le futur est aussi facile que de se mettre dans des situations difficiles ou même impossibles ou de se rendre malade par ignorance.

    Les résultats nous montrèrent alors la prodigieuse efficacité de cet enseignement ne nécessitant aucune connaissance scientifique particulière. Dans ce livre, nous avons essayer, à l’aide d’explications et d’exemples concrets, de vous en donner les bases principales.

    J.P. Garnier Malet

    UNE IDEE TRES CARTESIENNE

    "Pour atteindre la vérité, il faut une fois dans sa vie, se défaire de toutes opinions que l'on a reçues, et reconstruire à nouveau et dès le fondement le système de ses connaissances."


     http://www.garnier-malet.com/les_livres_043.htm

    René Descarte


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  •  « Ce que je sais sur les Anges »

     Les commentaires de Gitta Mallazs sont en italiques, la lettre L. Signifie que la question est posée par Lili. Les textes sans autre mention émanent directement de l'ange, les capitales signalant un moment d'intensité particulière. 



    Lili: Pouvons-vous quelque chose contre les horreurs de la guerre ?
    Lili est arrêtée net par un geste fulgurant de défense.

    - NON ! LA GUERRE EST L'HABITUEL.
    IMPOSSIBLE DE LUTTER CONTRE LE PASSE.
    TOURNEZ-VOUS VERS LE JAMAIS-ENTENDU !

    Je comprends que seule la Force nouvelle à venir peut transformer le vieil instinct de tuer. 

    Tu te mens encore.
    Le mensonge est peur.
    Mais tu n'as pas de raison d'avoir peur.

    Sois attentive !
    Le chemin n'est pas pesant...
    Sois légère !
    (...)
    Si c'est pesant pour toi, tu t'égares.

    La ville est coquille vide,
    elle n'est plus, elle est malédiction pétrifiée,
    même sa poussière est malédiction,
    car rien n'y pousse.


    Je vais te dire un secret :
    La LUMIERE est la même que la lumière,
    seule l'intensité est différente.


    JE NE SUIS PRESENT QUE DANS LA JOIE.

    Le vrai sentiment est immobile,
    IL AIME TOUT ET RAYONNE.


    Chacun est responsable de sa propre voix.
    Ainsi elle ne peut pas être fausse.
    Le Destructeur ne peut pas s'y glisser -
    Seul dans le faux il le peut.


    LA PAROLE EST PORTEUSE DE LUMIERE.
    LA PAROLE VRAIE A SON POIDS.
    LA PAROLE MENSONGERE EST SANS POIDS.
    Le Destructeur se réjouit de la faille,
    lui, le père de tous les mensonges,
    il effrite, démolit.
    Ce n'est pas la violence qui détruit les murs,
    mais le mensonge.

     


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  •  Dans une " yeshiva ", lieu discret où l'on étudie la mystique juive, Patrick Levy rencontre un personnage hors du commun, rabbi Isaac Goldman, le Kabbaliste, dont il consigne méticuleusement l'enseignement année après année. Ces extraordinaires tête-à-tête avec ce sage érudit sont autant de prétextes à approfondir les thèmes centraux de la mystique juive tels que la nature de Dieu, de la vie, du rapport aux autres, de la sexualité et la Shoah. Patrick Levy fait d'un sujet ambitieux un ouvrage vivant, y compris dans l'humour. La kabbale cesse ici d'être une science ésotérique pour devenir un véritable art de vivre.

     

     

     

     


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  •  source

     http://www.nouvellescles.com/article.php3?id_article=423

    Gitta Mallasz, l’émerveillement ordinaire

    Propos recueillis par Jeanne Grusson


    Depuis que j’avais lu "Dialogues avec l’Ange", Gitta Mallasz était pour moi une sorte de mythe. Quelqu’un à qui les Anges avaient parlé ne pouvait être qu’une sainte auréolée, impressionnante, sage et déjà surnaturelle. Zéro pour mon image romantique et préfabriquée. J’ai rencontré un petit bout de femme dynamite, pétillante d’humour, pratique, aimant la vie avec passion, et surtout si naturelle !


    (JPG)
    La vieille dame et son ange

    Gitta Mallasz : Mais oui, je suis quelqu’un de très ordinaire, et si l’Ange s’est adressé à 4 personnes aussi ordinaires que nous, c’est bien pour montrer que maintenant l’union avec son Ange est possible à tout le monde. En 1943, Hanna, Joseph, Lilli et Gitta, 4 amis artistes, vivent dans un village proche de Budapest où ils ont installé leur atelier. Les 3 premiers sont juifs, Gitta chrétienne, mais aucun d’entre eux ne pratique sa religion. Tous cependant sont à la recherche de quelque chose d’autre, d’une vérité qu’ils pressentent mais qu’ils ne savent où trouver. Leur questionnement est intense et un jour, le 25 juin exactement, par la voix de Hanna en toute conscience éveillée, les Anges ont commencé un dialogue hebdomadaire qui s’est terminé le 24 novembre 1944. Hanna, Lilli et Joseph sont morts en camps de concentration peu de temps après. Seule Gitta a survécu, et sa tache a été de faire connaître au monde ces 88 entretiens. Actuellement, Dialogues avec l’Ange est traduit en 12 langues. Cet enseignement est individuel et dynamique. Il s’adresse à tous ceux qui ont le désir de devenir responsables de leur propre évolution. Gitta est peut-être ordinaire, mais d’un ordinaire d’où jaillit en permanence la vie, et dialoguer avec elle est un véritable cadeau.


    Nouvelles Clés : Dans ma culture, l’Ange a une image romantique, désuète, pour ne pas dire kitsch. Mais dans les Dialogues, j’ai été surprise, l’Ange est tellement différent !

    G. M. :

    Mais oui, dans mon vécu, "l’Ange est autre, tout à fait autre". C’est d’ailleurs le titre de mon prochain livre qui sera édité chez Aubier. L’Ange, je l’ai ressenti comme notre complément essentiel, comme notre pareil de lumière. Il est notre moitié vivante, et nous sommes sa moitié vivifiée. Il est notre préfiguration invisible, et nous, sa figuration dans le visible. Il est notre pareil intemporel, nous sommes son pareil limité par le temps. Il est notre moitié intuitive dans l’esprit, et nous sommes sa moitié exécutive dans la matière. Un jour, lorsque nous consciemment unis à lui, nous vivrons ces deux moitiés de vie simultanément. Ce sera la vie UNE.


    N. C. : Un jour... mais combien de siècles faudra-t-il encore attendre ?

    G. M. : Selon l’Ange, cette transformation est imminente. Mais comme Il n’est pas dans notre espace-temps, il m’est difficile de donner des précisions. Ce qui est certain c’est que maintenant le processus évolutif de l’humanité fait un bond en avant. Un grand Printemps inconnu commence, le Printemps d’une humanité qui n’a encore jamais existé.


    N. C. : Avez-vous le pressentiment de ce que pourrait être ce Printemps inconnu ?

    G. M. : Dans la nature, le printemps est là chaque année. Ses forces éveillent et font croître les germes en attente. Pour l’humanité, le printemps est là pour la première fois. Maintenant vont croître les germes d’une humanité nouvelle.

    "Le printemps est là.

    " Là, où se cache la vie, là, cela doit pousser.

    "Le temps est court :

    "Rêve éternel ou vie éternelle ?

    "L’arbre va porter ses fruits pour la première fois.

    "Bourgeons, promesse de fruits, ne tardez pas !

    "Percez l’ancien !

    "Tout se décide maintenant.

    Quelquefois, dans un instant de perception fulgurante, il m’est donné de percevoir la chance considérable de l’homme d’aujourd’hui. Nous allons bientôt évoluer vers un corps Matière-Lumière. Bientôt un dégagement formidable d’Énergie printanière va se déverser sur notre planète tel un torrent de lumière, éveillant ainsi une Nouvelle Conscience. Chacun de nous recevra ce qu’il est capable de supporter et surtout de transmettre.


    N. C. : Il est en effet souvent question dans les Dialogues de l’Homme Nouveau. Vous n’avez pas l’impression que ce concept est un peu rabâché ?

    G. M. : Rabâché ? Trouvez-vous que la race humaine soit si parfaite qu’elle n’ait plus besoin d’évoluer ? L’homme d’aujourd’hui me semble n’être encore que l’esquisse confuse d’un chef-d’œuvre possible. Tout est déjà là, en état de germe, mais n’a pas encore pris sa juste place. "Il n’y a pas de connaissance juste de l’homme

    "Car l’homme n’est pas encore.

    "L’homme est tellement grand,

    "Que moi non plus, je ne le vois pas encore.

    Ce qui est formidable, c’est que nous sommes simultanément l’artiste et œuvre. Nous sommes nos propres créateurs. Le grand plan divin seul ne suffit pas. Chacun de nous en est responsable et participe par son libre choix de chaque instant à la création nouvelle. L’homme est le pont entre le monde créé et le monde créateur, entre la matière et la lumière.


    N. C. : Et nous, les hommes d’aujourd’hui, où en sommes-nous ?

    G. M. : Nous sommes encore des enfants, déjà presque des adolescents. Et de même qu’après une certaine maturité du corps on devient capable de vivre l’acte d’amour corporel, après une certaine maturité de l’âme, on devient capable de vivre l’acte d’amour universel. Cela commence par une recherche sans répit. Recherche de quoi ? peut-être d’un amour qui ne déçoit plus, d’une tâche passionnante, ou du sens de sa vie. Lorsque cette recherche atteint l’intensité maximum dont on est capable, là seulement l’étincelle peut jaillir, et le premier courant avec son "pareil de lumière" s’installe. Là commence notre histoire d’amour universel. L’être humain est le seul être au monde qui puisse vivre simultanément et consciemment l’union des forces du ciel et des forces de la matière dans l’ivresse de leur interpénétration. De cet acte d’amour naît l’enfant nouveau, l’enfant immortel dont le corps est matière pénétrée par la lumière. Ainsi naît le chef-d’œuvre de la création, et c’est nous-même.


    N. C. : Ces perspectives sont séduisantes, mais ne sont-elles pas tout simplement des fantasmes ? Est-ce que l’Ange peut m’aider aujourd’hui concrètement dans toutes les difficultés de la vie quotidienne ?

    G. M. : Bien sûr ! Le premier pas est de prendre conscience que je peux créer un dialogue avec mon "pareil de lumière", mon Ange, ou encore mon Maître Intérieur, le nom qu’on lui donne n’a aucune importance. Et cette rencontre est une rencontre naturelle.

    "Qu’y a-t-il de plus naturel

    "Que de parler ensemble ? Il me suffit de formuler ma question en mots simples, précis, concis, mais la demande est nécessaire. La seule exigence de l’Ange est une attention immense.

    "Soyez attentifs !...

    "Le mot est créateur

    "Car il concentre tout

    "Il centre.

    "Tu as mis en mots tes manques

    "Ainsi l’étincelle a pu venir.

    C’est seulement au sommet de ma question que je peux trouver la réponse, et cette réponse n’est jamais une recette. L’Ange nous ouvre des perspectives nouvelles qui nous permettent de trouver nous-mêmes nos propres solutions.


    N. C. : Ce serait donc si simple que ça ?

    G. M. : Oui, mais le dialogue seul ne suffit pas. L’Ange revient sans cesse sur l’importance de l’acte. Depuis mon accident de voiture, il y a environ un an, je vis auprès de mes amis Bernard et Patricia Montaud. J’observe avec un grand intérêt la pratique qui se fait dans Art’ As, association créée par Bernard, et dans laquelle on apprend l’art de "l’acte juste".

    Ce qui me plaît, c’est qu’il ne s’agit pas d’une technique de plus pour s’élever dans les hautes sphères de la spiritualité. Il s’agit d’apprendre à bien vivre concrètement son quotidien. Ils utilisent comme outil le langage du corps dans "l’assise immobile". Les inconforts du corps et la façon dont on les traite sont toujours à l’image de l’attitude que l’on a dans la vie. A partir de chaque prise de conscience, il ne reste plus qu’à trouver l’acte concret, simple, individuel par lequel chacun va avancer sur son propre chemin et ainsi se rapprocher de sa Préfiguration, son Ange.

    Je ne pratique pas du tout l’assise immobile, mais lorsque je rencontre des membres d’Art’ As, je suis étonnée de constater à quel point un enseignement rigoureux, basé sur la responsabilité de l’acte au quotidien, éveille l’individualité et la joie de vivre. Et sur cette base sûre, l’Ange peut poser son pied.


    N. C. : Est-ce que vous pratiquez une autre discipline spirituelle ?

    G. M. : Non, l’Ange m’a dit au contraire :

    "Je te dispense de toute forme.

    "Marche sur ton propre chemin

    "Tout le reste est égarement.

    C’est ma voie individuelle. Il se peut cependant que pour d’autres la forme soit "chemin", à condition qu’elle contienne la possibilité d’être dépassée.


    N. C. : Vous n’avez aucun disciple, n’avez créée aucune école, aucun ashram, est-il possible tout de même d’avoir un contact direct avec vous ?

    G. M. : Bien sûr. Je donne 6 "conférences-rencontres" par an à Lyon. Elles sont sous forme de questions/réponses. J’adore jouer au ping-pong avec les lecteurs des Dialogues.


    N. C. : Si je devais vous définir en un mot, je dirais que vous êtes contagieuse, contagieuse de vie.

    G. M. : Vous avez à la fois tort et raison : tort parce que ce n est pas moi qui suis contagieuse, c’est le message des Anges ; raison parce que la vie peut et va devenir maintenant plus contagieuse que la maladie.


    N. C. : Est-ce que vous avez l’impression de déranger ?

    G. M. : Déranger est un bien grand mot, mais je sais que je déçois certaines âmes, car je ne suis pas un nouveau spécimen ailé facile à classer dans le jardin zoologique de l’ésotérisme. J’ai simplement à témoigner de ceci : la rencontre naturelle avec l’Ange détruit toute attente du sensationnel. Fini le grand frisson mystérieux et romantique. La rencontre avec l’Ange se fait dans les petits actes du quotidien. Par la simple acceptation de notre imperfection nous attirons le parfait. Seul le vide sans attente attire le divin inattendu. Seule la soif attire la boisson enivrante. Et il n’y a plus besoin de miraculeux lorsqu’on vit l’émerveillement au quotidien.

    "Le miracle est déjà en bas, sous vos pieds.

    "Le monde nouveau ne connaît pas le miracle.

    "L’ancien miracle est le marchepied du nouveau !

    "Là sont blottis les petits.

    "Ce qui vient est l’insaisissable cause des causes.



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